Une œuvre d’art biotechnologique activée par les eaux usées :
La Galerie de l’UQAM présente l’artiste mexicain Gilberto Esparza
Commissaires : Nuria Carton de Grammont et Véronique Leblanc
La Galerie de l’UQAM présente la première exposition individuelle au Canada de l’artiste mexicain Gilberto Esparza : Plantas autofotosintéticas. Les œuvres d’Esparza, créées avec la complicité de chercheurs tels que des ingénieurs, des biologistes et des roboticiens, sont des entités hybrides. Mi-appareils, mi-organismes, elles abordent divers enjeux de la crise environnementale. La pratique de l’artiste établit un dialogue stimulant entre l’art contemporain, la science et les nouvelles technologies afin de réfléchir à l’impact de l’activité humaine sur la nature.
Les interfaces tactiles comme rapport au monde :
Charles-Antoine Blais Métivier. Objet de recherche à la Galerie de l’UQAM
La Galerie de l’UQAM présente l’exposition Objet de recherche de Charles-Antoine Blais Métivier, finissant à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. L’exposition prend la forme d’une installation où l’artiste – par le biais d’objets que les visiteurs sont amenés à manipuler – explore le rapport que nous entretenons avec les interfaces tactiles et les appareils qui les supportent. Ce faisant, Blais Métivier s’intéresse à la relation intime qui lie l’utilisateur et son appareil mobile, ainsi qu’aux perceptions synesthésiques acquises par l’accoutumance à ses interfaces. Par l’entremise d’un dispositif participatif, l’exposition tente de révéler les conquêtes culturelles, voire même politiques, dont les expériences sensorielles des usagers font aujourd’hui l’objet.
Une œuvre d’art biotechnologique activée par les eaux usées :
La Galerie de l’UQAM présente l’artiste mexicain Gilberto Esparza
Commissaires : Nuria Carton de Grammont et Véronique Leblanc
La Galerie de l’UQAM présente la première exposition individuelle au Canada de l’artiste mexicain Gilberto Esparza : Plantas autofotosintéticas. Les œuvres d’Esparza, créées avec la complicité de chercheurs tels que des ingénieurs, des biologistes et des roboticiens, sont des entités hybrides. Mi-appareils, mi-organismes, elles abordent divers enjeux de la crise environnementale. La pratique de l’artiste établit un dialogue stimulant entre l’art contemporain, la science et les nouvelles technologies afin de réfléchir à l’impact de l’activité humaine sur la nature.
Les interfaces tactiles comme rapport au monde :
Charles-Antoine Blais Métivier. Objet de recherche à la Galerie de l’UQAM
La Galerie de l’UQAM présente l’exposition Objet de recherche de Charles-Antoine Blais Métivier, finissant à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. L’exposition prend la forme d’une installation où l’artiste – par le biais d’objets que les visiteurs sont amenés à manipuler – explore le rapport que nous entretenons avec les interfaces tactiles et les appareils qui les supportent. Ce faisant, Blais Métivier s’intéresse à la relation intime qui lie l’utilisateur et son appareil mobile, ainsi qu’aux perceptions synesthésiques acquises par l’accoutumance à ses interfaces. Par l’entremise d’un dispositif participatif, l’exposition tente de révéler les conquêtes culturelles, voire même politiques, dont les expériences sensorielles des usagers font aujourd’hui l’objet.