La maison de la culture de Côte-des-Neiges a le plaisir de vous inviter à l’exposition multidisciplinaire Nous sommes la nature, du 13 juin au 17 août 2013, réunissant les artistes Pier Chartrand, Jean-Robert Drouillard et Carolina Hernandez-Hernandez.
Le corpus Trophées est né de la préoccupation personnelle de Pier Chartrand de dénoncer une forme d’exploitation de la nature : exposer ses trophées de chasse, s’enrichir par la vente de produits rares provenant d’espèces animales en danger, chasser en contrebande, piéger, tuer, détruire. Les œuvres présentées, des dessins d’espèces en voie de disparition, grandeur nature et exécutés au fusain, lancent un message troublant de vérité sur ce que nous légue- rons aux générations futures.
Avec son projet Nous sommes la nature, Jean-Robert Drouillard souhaite explorer de nouvel- les perspectives. En effet, l’utilisation de véritables crânes d’ours déplace son discours de la fabulation théâtrale vers un récit culturel plus engagé, où les reliques animales ne font plus office de costumes d’apparat, mais d’éléments littéralement fusionnés aux personnages, transfigurant ainsi le couple moderne en vestige d’un peuple boréal. L’ours noir, symbole par excellence de la croyance animiste autochtone, enrichit le propos de l’artiste par un réalisme déroutant et un référent culturel éloquent.
La maison de la culture de Côte-des-Neiges a le plaisir de vous inviter à l’exposition multidisciplinaire Nous sommes la nature, du 13 juin au 17 août 2013, réunissant les artistes Pier Chartrand, Jean-Robert Drouillard et Carolina Hernandez-Hernandez.
Le corpus Trophées est né de la préoccupation personnelle de Pier Chartrand de dénoncer une forme d’exploitation de la nature : exposer ses trophées de chasse, s’enrichir par la vente de produits rares provenant d’espèces animales en danger, chasser en contrebande, piéger, tuer, détruire. Les œuvres présentées, des dessins d’espèces en voie de disparition, grandeur nature et exécutés au fusain, lancent un message troublant de vérité sur ce que nous légue- rons aux générations futures.
Avec son projet Nous sommes la nature, Jean-Robert Drouillard souhaite explorer de nouvel- les perspectives. En effet, l’utilisation de véritables crânes d’ours déplace son discours de la fabulation théâtrale vers un récit culturel plus engagé, où les reliques animales ne font plus office de costumes d’apparat, mais d’éléments littéralement fusionnés aux personnages, transfigurant ainsi le couple moderne en vestige d’un peuple boréal. L’ours noir, symbole par excellence de la croyance animiste autochtone, enrichit le propos de l’artiste par un réalisme déroutant et un référent culturel éloquent.