Dans ce dernier projet vidéo intitulé Les Eux, Jacynthe Carrier met en scène, au cœur d’une sablière, treize personnages qui réalisent une série de gestes intimes, se touchant et se scrutant minutieusement, sans réserve. Le spectateur, intrus au cœur de cette performance, fait ainsi l’expérience d’une familiarité incongrue. Dans cette mouvance, émerge une poésie où les mouvements du corps nous parlent autrement. Avec Les Eux, l’artiste s’interroge sur la limite entre intrusion et intimité, entre agression et douceur.
Dans sa production photographique et vidéographique, Jacynthe Carrier s’intéresse à la relation à l’autre et à son environnement. Elle compose des « tableaux vivants », des compositions poétiques qu’elle met en scène dans des paysages abandonnés. Nommé « cicatrices », ces lieux tracés par l’activité humaine deviennent des interstices à habiter.
Originaire de Lévis, Jacynthe Carrier est titulaire d’une maîtrise en photographie de l’Université Concordia. Son travail fut présenté dans plusieurs événements et expositions autant individuelles que collectives (Fresnoy – Studio national, Nuit blanche de Paris, Triennale québécoise, Manif d’art, Musée régional de Rimouski, VU PHOTO, Galerie de l’UQAM) ainsi que dans le cadre de programmations vidéo. Finaliste pour le Québec à la longue liste des prix Sobeys 2013, elle reçut en 2011 le Prix de la création artistique du Conseil des arts et des lettres du Québec, et en 2012 le Prix Pierre-Ayot reconnaissant l’excellence de la nouvelle création en arts visuels. Elle vit à Québec et travaille à Québec et Montréal.
Dans ce dernier projet vidéo intitulé Les Eux, Jacynthe Carrier met en scène, au cœur d’une sablière, treize personnages qui réalisent une série de gestes intimes, se touchant et se scrutant minutieusement, sans réserve. Le spectateur, intrus au cœur de cette performance, fait ainsi l’expérience d’une familiarité incongrue. Dans cette mouvance, émerge une poésie où les mouvements du corps nous parlent autrement. Avec Les Eux, l’artiste s’interroge sur la limite entre intrusion et intimité, entre agression et douceur.
Dans sa production photographique et vidéographique, Jacynthe Carrier s’intéresse à la relation à l’autre et à son environnement. Elle compose des « tableaux vivants », des compositions poétiques qu’elle met en scène dans des paysages abandonnés. Nommé « cicatrices », ces lieux tracés par l’activité humaine deviennent des interstices à habiter.
Originaire de Lévis, Jacynthe Carrier est titulaire d’une maîtrise en photographie de l’Université Concordia. Son travail fut présenté dans plusieurs événements et expositions autant individuelles que collectives (Fresnoy – Studio national, Nuit blanche de Paris, Triennale québécoise, Manif d’art, Musée régional de Rimouski, VU PHOTO, Galerie de l’UQAM) ainsi que dans le cadre de programmations vidéo. Finaliste pour le Québec à la longue liste des prix Sobeys 2013, elle reçut en 2011 le Prix de la création artistique du Conseil des arts et des lettres du Québec, et en 2012 le Prix Pierre-Ayot reconnaissant l’excellence de la nouvelle création en arts visuels. Elle vit à Québec et travaille à Québec et Montréal.