Du 26 mai au 11 juin 2011, le Festival TransAmériques prend Montréal d’assaut comme jamais. Avec 31 spectacles et événements, la sélection de créations contemporaines la plus imposante de sa jeune histoire, il ouvre de façon percutante la saison estivale des festivals de la métropole avec la danse et le théâtre comme principales armes.
Dans cette cinquième édition, la création contemporaine éclate dans toute sa diversité – théâtre, danse, performance, nouvelles formes hybrides, inclassables, excessives et parfois radicales. Les artistes qui y sont invités, venus d’ici ou d’une douzaine de pays – Allemagne, Argentine, Autriche, Belgique, Brésil, Espagne, États-Unis, Japon, Nouvelle-Zélande, Mexique, Pays-Bas, Suisse –, posent leurs regards sur les cinq continents. Logeront à la même enseigne des compagnies emblématiques (les ballets C de la B ou la Schaubühne de Berlin, par exemple), des artistes phares et des créateurs dont les voix émergentes percent la mêlée, influentes et audacieuses.
Pendant ces dix-sept jours dédiés à l’audace et à l’inattendu, on dénombre cinq premières mondiales (les nouvelles créations de Sylvain Bélanger et Étienne Lepage, Philippe Ducros, Sylvain Émard, Brigitte Poupart et Dave St-Pierre, et Chanti Wadge), dix premières nord-américaines et quatre premières canadiennes parmi tous les spectacles présentés dans plus d’une quinzaine de lieux différents, de la Place des Arts à l’Agora de la danse, en passant par la place des Festivals et les rues de la ville de Montréal. Aussi, quatre fois les Montréalais pourront goûter aux fruits de la création contemporaine gratuitement : d’abord avec les spectacles démesurés
Le continental XL et Bodies in Urban Spaces, ensuite à travers les événements La porte du non-retour et SoleNoid.
Du 26 mai au 11 juin 2011, le Festival TransAmériques prend Montréal d’assaut comme jamais. Avec 31 spectacles et événements, la sélection de créations contemporaines la plus imposante de sa jeune histoire, il ouvre de façon percutante la saison estivale des festivals de la métropole avec la danse et le théâtre comme principales armes.
Dans cette cinquième édition, la création contemporaine éclate dans toute sa diversité – théâtre, danse, performance, nouvelles formes hybrides, inclassables, excessives et parfois radicales. Les artistes qui y sont invités, venus d’ici ou d’une douzaine de pays – Allemagne, Argentine, Autriche, Belgique, Brésil, Espagne, États-Unis, Japon, Nouvelle-Zélande, Mexique, Pays-Bas, Suisse –, posent leurs regards sur les cinq continents. Logeront à la même enseigne des compagnies emblématiques (les ballets C de la B ou la Schaubühne de Berlin, par exemple), des artistes phares et des créateurs dont les voix émergentes percent la mêlée, influentes et audacieuses.
Pendant ces dix-sept jours dédiés à l’audace et à l’inattendu, on dénombre cinq premières mondiales (les nouvelles créations de Sylvain Bélanger et Étienne Lepage, Philippe Ducros, Sylvain Émard, Brigitte Poupart et Dave St-Pierre, et Chanti Wadge), dix premières nord-américaines et quatre premières canadiennes parmi tous les spectacles présentés dans plus d’une quinzaine de lieux différents, de la Place des Arts à l’Agora de la danse, en passant par la place des Festivals et les rues de la ville de Montréal. Aussi, quatre fois les Montréalais pourront goûter aux fruits de la création contemporaine gratuitement : d’abord avec les spectacles démesurés
Le continental XL et Bodies in Urban Spaces, ensuite à travers les événements La porte du non-retour et SoleNoid.