Karine Payette cherche à rendre visible la façon dont nous percevons le monde qui nous entoure par l’intermédiaire d’une mise en scène énigmatique. Le dernier intervalle est une installation qui suggère un questionnement sur la mesure de l’intangible et le caractère transitoire de la vie.
Une vidéo montre une nature morte composée d’objets multiples qui flottent en apesanteur. Les objets, bien qu’ils semblent au premier abord se déplacer, restent toujours à la même position. La caméra, par contre, fait une rotation et donne l’illusion d’une distance entre les objets annulant nos repères spatiaux.
À la manière d’un linceul avec lequel on voile les morts, les sculptures au sol sont recouvertes totalement ou en partie. Le drapé cache et révèle à la fois des formes animales. Ces corps semblent être en attente d’une renaissance imminente, d’une seconde vie.
L’artiste réfléchit au vide, à la disparition, à ce dernier intervalle qui nous définit comme être humain.
Notice biographique
Utilisant principalement le médium de l’installation, mais aussi ceux de la photographie et de la vidéo, Karine Payette réalise des environnements fictifs qui font office d’arrêt sur image et de narration suspendue.
Dans son travail, elle construit de vastes mises en scène oniriques dans le but de produire une narration qui évoque la précarité du monde qui nous entoure. Par l’utilisation ludique d’objets du quotidien transposés dans des situations extraordinaires, elle joue et déjoue notre vision des choses, afin de nous faire réfléchir sur l’instabilité de la matière et des formes avec lesquelles nous cohabitons. Elle s’interroge sur les notions de confort et de contrariété dans un monde en perpétuelle transformation.
Karine Payette est née en 1983. Elle vit et travaille à Montréal. Son travail a fait l’objet de plusieurs expositions collectives et individuelles, notamment à la Galerie de l’UQAM (Confort instable, 2012) et à Le lieu, Centre en art actuel à Québec (L’autre dimanche matin, 2012). Ses œuvres font parties de collections privées et publiques dont le Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul.
www.karinepayette.com
Karine Payette cherche à rendre visible la façon dont nous percevons le monde qui nous entoure par l’intermédiaire d’une mise en scène énigmatique. Le dernier intervalle est une installation qui suggère un questionnement sur la mesure de l’intangible et le caractère transitoire de la vie.
Une vidéo montre une nature morte composée d’objets multiples qui flottent en apesanteur. Les objets, bien qu’ils semblent au premier abord se déplacer, restent toujours à la même position. La caméra, par contre, fait une rotation et donne l’illusion d’une distance entre les objets annulant nos repères spatiaux.
À la manière d’un linceul avec lequel on voile les morts, les sculptures au sol sont recouvertes totalement ou en partie. Le drapé cache et révèle à la fois des formes animales. Ces corps semblent être en attente d’une renaissance imminente, d’une seconde vie.
L’artiste réfléchit au vide, à la disparition, à ce dernier intervalle qui nous définit comme être humain.
Notice biographique
Utilisant principalement le médium de l’installation, mais aussi ceux de la photographie et de la vidéo, Karine Payette réalise des environnements fictifs qui font office d’arrêt sur image et de narration suspendue.
Dans son travail, elle construit de vastes mises en scène oniriques dans le but de produire une narration qui évoque la précarité du monde qui nous entoure. Par l’utilisation ludique d’objets du quotidien transposés dans des situations extraordinaires, elle joue et déjoue notre vision des choses, afin de nous faire réfléchir sur l’instabilité de la matière et des formes avec lesquelles nous cohabitons. Elle s’interroge sur les notions de confort et de contrariété dans un monde en perpétuelle transformation.
Karine Payette est née en 1983. Elle vit et travaille à Montréal. Son travail a fait l’objet de plusieurs expositions collectives et individuelles, notamment à la Galerie de l’UQAM (Confort instable, 2012) et à Le lieu, Centre en art actuel à Québec (L’autre dimanche matin, 2012). Ses œuvres font parties de collections privées et publiques dont le Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul.
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