Lancement multiple des éditions d’art Le Sabord, le jeudi 25 avril à 17h à la librairie Formats

La librairie Formats sera l’hôte du lancement montréalais des plus récents livres des éditions d’art Le Sabord, le jeudi 25 avril 2013, entre 17h et 20h, en présence des auteurs Frédérique Dubé, Carole Forget, Micheline Morisset, Anthony Phelps et de nombreux collaborateurs aux numéros 93 et 94 de Art Le Sabord. Vin et bouchées seront servis.
 
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À propos des livres lancés —
 
ART LE SABORD no 93 — PERSISTANCE
 
Avec les textes de Pascale Beauregard, Mélina Bernier, Catherine Cormier-Larose, Véronique Cyr, Monique Deland, Carole Forget, Sylvie Gendron, François Godin, Geneviève Gosselin-G., Jonathan Lamy, Mona Latif-Ghattas, Jean-François Létourneau, Aude Maltais-
Landry et Julia Pawlowicz. Avec les oeuvres de Patrick Beaulieu, Carl Bouchard, Martin Brousseau, Michel Depatie, Jannick Deslauriers, Martin Dufrasne, Alain Fleurent, Chan Ky-Yut, Érika Lincoln, Henri Morrissette, Ed Pien, Valérie Potvin et Karen Elaine Spencer.
 
 
ART LE SABORD no 94 — NORMES
Avec les textes de Jean-Philippe Bergeron, Isabelle Blouin-Gagné, Sébastien Chartrand, Mathieu Croisetière, Stéphanie Filion, Sylvie Gendron, Louis Hébert, Carl-Keven Korb, Marcel Labine, Michel Pleau et Virginie Sauzon. Avec les œuvres de Émilie Bernard, Andrée-Anne Dupuis-Bourret, David Elliott, Louis Fortier, Jérôme Fortin, Marc-Antoine K. Phaneuf, Kim Lafontaine, David Lafrance, Geneviève Mongrain, Mélina St-Ours et Huang Li Yan.
 
 
L’ARAIGNÉE CHIROMANCIENNE d’Anthony Phelps, illustré par Sean Rudman
 
Cheval arabe, lézard dansant, mulet rêveur, criquet sauteur, araignée chiromancienne et autres bêtes intrigantes. À travers un univers exotique peuplé de jacarandas, d’orchidées et d’hibiscus, la mémoire intime s’exerce au gré des impressions, des sensations et des expériences. Les souvenirs s’exaltent pour laisser libre cours à l’imagination. Les mots du poète dévoilent un espace de songes et de mystères, de portraits intimes dans lesquels la faune demeure souveraine. Ce bestiaire poétique d’Anthony Phelps illustré par l’artiste Sean Rudman célèbre l’homme et la nature porteuse de symboles, source de dévotion. L’art dans toute sa beauté, son incandescence.
 
 
365 PASSANTS. ET 65 QUI RESTERONT de Frédérique Dubé
 
Frédérique Dubé a toujours voulu vivre plusieurs vies. Connaître l’autre dans l’autre. Être plusieurs personnes à la fois, incarner différentes voix. Car une seule vie ne lui suffit pas. 365 passants. Et 65 qui resteront est un projet un peu fou. Pendant une année, chaque jour, l’auteure s’est plongée dans la peau d’un autre. À l’aube d’une autre existence. De ces 365 rencontres, 65 sont restées.
 
 
SAGESSE DU LOUP de Louis Hébert, illustré par Annie Belletier
 
Un loup livre sa sagesse à ses congénères. Il parle en quelques centaines de poèmes- aphorismes, selon le cas, sérieux, badins, oniriques, provocateurs, paradoxaux, acides, compatissants, absurdes. Il est question ici d’histoires à dé-penser bouddhistes, d’énoncés paradoxaux (koans), de faim, de piège, de rêve, de tuer pour vivre…
 
 
LE COEUR, C’EST FATAL de Micheline Morisset, illustré par Gwenaël Bélanger
 
Après États de manque, Micheline Morisset nous livre le coeur dans tous ses états. On y entend sa respiration, ses battements, le souffle qui réchauffe, celui qui se casse. Portées par une écriture intime et poignante, ces trente-deux nouvelles aussi lucides que mélancoliques nous ramènent tendrement à notre condition humaine, à nos petites et grandes histoires qui se répètent inlassablement.
 
 
ET LE DÉSASTRE, MON AMOUR de Carole Forget
 
Comment un amour naissant peut-il s’épanouir lorsque se multiplient les catastrophes? Écrire de part et d’autre d’une rupture entre une intimité heureuse et un inquiétant destin collectif, telle cette virgule qui sépare le désastre et l’amour. Portée par des promesses, une voix s’enflamme pour n’étreindre qu’un horizon brisé. En un même souffle, Carole Forget nous dépeint l’expression d’un ravissement amoureux lorsqu’il fait face à l’état de notre planète.
 
 
NEGATION N’EST PAS D’ACCORD de François Desaulniers
 
Le cinquième tome de la série jeunesse SUR LE BOUT DE LA LANGUE : Négation n’est pas d’accord. Voici une série unique et ludique sur la langue française conçue pour les 6 à 10 ans. Dans chaque tome, un enfant fait la rencontre d’une créature étrange et rigolote qu’il doit apprivoiser en décodant son langage. Après Lapsus, Hyperbole, Lapsus et Boustrophédon, un nouveau monstre au langage déconcertant fait son apparition. Dans Négation n’est pas d’accord, Éléonore viendra-t-elle à bout de la boudeuse bibitte?
 
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