Lalie Douglas
Broken Land : histoires contées et racontées
Commissaire : Barbara Wisnoski
Pour notre traditionnelle grande exposition d’hiver, nous avons invité l’artiste Lalie Douglas à partager son univers peuplé de formes fabuleuses. Avec Broken Land : histoires contées et racontées l’artiste transforme la salle Alfred-Pellan en un ciel étoilé et nous convie dans l’intimité de sa maison, lieu symbolisant sécurité, chaleur et quiétude. Ici cependant, aucun répit. Par différents points de vue, nous devenons les témoins d’un siège où orages, tempêtes et forêts magiques assaillent son refuge. L’artiste et la commissaire, Barbara Wisnoski, exploitent à belle capacité les 400m2 de la salle et proposent une œuvre immersive macro (l’espace d’exposition) et micro (les animations image par image dans les installations).
Dans la section médiation, sont exposés les dessins des jeunes lauréats du concours intitulé Ma maison : espace domestique et fantastique.
― Jasmine Colizza, muséologue-responsable arts visuels
Dans Broken Land : histoires contées et racontées, l’artiste Lalie Douglas invente un monde à la fois familier et étrange, où les environnements domestiques et naturels entrent en collision dans une expression métaphorique d’une catastrophe imminente. À première vue, tout semble parfait, mais une étrange dissonance imprègne ces mondes intérieurs et extérieurs. Avec un vocabulaire visuel qui se meut avec fluidité entre 2D et 3D — dessin, gravure, animation image par image et modèles réduits — Lalie Douglas affiche une polyvalence et une prouesse matérielle qui caractérisent sa pratique créative. Comme ce fut le cas lors de ses œuvres précédentes, cette exposition reprend un certain nombre de thèmes incontournables tels l’utilisation de la miniature comme une métaphore de l’intériorité; la notion de récits vagues ou non résolus qui déclenche notre tendance à tracer des lignes entre deux points, c’est-à-dire, à inventer des histoires en établissant des relations entre éléments; et « la puissance du faux » pour révéler la vérité.
― Barbara Wisnoski, commissaire
EUGÉNIE CLICHE
LES UNIVERS PÉRILLEUX
À cette même période, le foyer de la MDA accueille l’exposition Les univers périlleux de l’artiste Eugénie Cliche. L’artiste revisite avec brio l’imaginaire de la broderie grâce à un corpus d’œuvres qui allie également le dessin et la peinture. À partir de photographies, l’artiste réalise des images brodées qui font basculer l’univers des photos de famille vers un monde métaphorique où l’absurde et le tragique s’unissent de manière ingénieuse et époustouflante.
Eugénie Cliche détient un baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval et une maîtrise en beaux-arts de l’Université Concordia. Elle s’intéresse à la condition humaine qu’elle explore par le biais de la performance, de la vidéo, de la photographie et plus récemment de la broderie.
Lalie Douglas
Broken Land : histoires contées et racontées
Commissaire : Barbara Wisnoski
Pour notre traditionnelle grande exposition d’hiver, nous avons invité l’artiste Lalie Douglas à partager son univers peuplé de formes fabuleuses. Avec Broken Land : histoires contées et racontées l’artiste transforme la salle Alfred-Pellan en un ciel étoilé et nous convie dans l’intimité de sa maison, lieu symbolisant sécurité, chaleur et quiétude. Ici cependant, aucun répit. Par différents points de vue, nous devenons les témoins d’un siège où orages, tempêtes et forêts magiques assaillent son refuge. L’artiste et la commissaire, Barbara Wisnoski, exploitent à belle capacité les 400m2 de la salle et proposent une œuvre immersive macro (l’espace d’exposition) et micro (les animations image par image dans les installations).
Dans la section médiation, sont exposés les dessins des jeunes lauréats du concours intitulé Ma maison : espace domestique et fantastique.
― Jasmine Colizza, muséologue-responsable arts visuels
Dans Broken Land : histoires contées et racontées, l’artiste Lalie Douglas invente un monde à la fois familier et étrange, où les environnements domestiques et naturels entrent en collision dans une expression métaphorique d’une catastrophe imminente. À première vue, tout semble parfait, mais une étrange dissonance imprègne ces mondes intérieurs et extérieurs. Avec un vocabulaire visuel qui se meut avec fluidité entre 2D et 3D — dessin, gravure, animation image par image et modèles réduits — Lalie Douglas affiche une polyvalence et une prouesse matérielle qui caractérisent sa pratique créative. Comme ce fut le cas lors de ses œuvres précédentes, cette exposition reprend un certain nombre de thèmes incontournables tels l’utilisation de la miniature comme une métaphore de l’intériorité; la notion de récits vagues ou non résolus qui déclenche notre tendance à tracer des lignes entre deux points, c’est-à-dire, à inventer des histoires en établissant des relations entre éléments; et « la puissance du faux » pour révéler la vérité.
― Barbara Wisnoski, commissaire
EUGÉNIE CLICHE
LES UNIVERS PÉRILLEUX
À cette même période, le foyer de la MDA accueille l’exposition Les univers périlleux de l’artiste Eugénie Cliche. L’artiste revisite avec brio l’imaginaire de la broderie grâce à un corpus d’œuvres qui allie également le dessin et la peinture. À partir de photographies, l’artiste réalise des images brodées qui font basculer l’univers des photos de famille vers un monde métaphorique où l’absurde et le tragique s’unissent de manière ingénieuse et époustouflante.
Eugénie Cliche détient un baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval et une maîtrise en beaux-arts de l’Université Concordia. Elle s’intéresse à la condition humaine qu’elle explore par le biais de la performance, de la vidéo, de la photographie et plus récemment de la broderie.