Commissaire : Nicole Gingras
L’origine d’un mouvement réunit cinq installations récentes. Manon Labrecque poursuit son exploration de thèmes qui lui sont chers : la question du double, le mutisme d’un corps, la relation entre le toucher et le regard, la vitalité d’un souvenir, la puissance d’une épreuve et l’impact du présent sur la mémoire. La vidéo, le son, la sculpture, le dessin ainsi que le mouvement sont ses alliés.
Un corps, celui de l’artiste, est au centre de toutes ses œuvres. Il sert d’ancrage, de mesure étalon et d’antenne émettrice. Une femme observe, dessine, respire, retient un mouvement, camoufle une émotion, relance une action, s’estompe et disparaît. Elle pense son ombre et l’apprivoise.
Depuis le début des années 1990, Manon Labrecque développe un langage qui lui est propre pour traduire et transmettre des expériences qui l’habitent et qui l’animent. L’ensemble de son œuvre occupe une place singulière et respectée dans l’histoire de la vidéo, de la performance et de l’art cinétique au Québec et au Canada.
Nous profiterons du vernissage pour lancer l’opuscule qui accompagne l’exposition. Celui-ci comprend un essai de la commissaire et auteure Nicole Gingras.
Samedi 10 septembre
14 h : Visite commentée en présence de l’artiste et de la commissaire 15 h : Vernissage et lancement de l’opuscule
Manon Labrecque (Montréal), artiste multidisciplinaire, réalise des vidéos (monobandes et installations), des performances, des images fixes ainsi que des installations cinétiques et sonores depuis 1991. Ses œuvres sont diffusées au Canada et à l’étranger. En 2013, elle reçoit le Prix Louis-Comtois, décerné pour l’ensemble de son travail.
Nicole Gingras (Montréal) est commissaire indépendante, auteure et chargée de cours à l’Université Concordia. Ses projets traitent du temps, des processus de création, des traces et de la mémoire.
Commissaire : Nicole Gingras
L’origine d’un mouvement réunit cinq installations récentes. Manon Labrecque poursuit son exploration de thèmes qui lui sont chers : la question du double, le mutisme d’un corps, la relation entre le toucher et le regard, la vitalité d’un souvenir, la puissance d’une épreuve et l’impact du présent sur la mémoire. La vidéo, le son, la sculpture, le dessin ainsi que le mouvement sont ses alliés.
Un corps, celui de l’artiste, est au centre de toutes ses œuvres. Il sert d’ancrage, de mesure étalon et d’antenne émettrice. Une femme observe, dessine, respire, retient un mouvement, camoufle une émotion, relance une action, s’estompe et disparaît. Elle pense son ombre et l’apprivoise.
Depuis le début des années 1990, Manon Labrecque développe un langage qui lui est propre pour traduire et transmettre des expériences qui l’habitent et qui l’animent. L’ensemble de son œuvre occupe une place singulière et respectée dans l’histoire de la vidéo, de la performance et de l’art cinétique au Québec et au Canada.
Nous profiterons du vernissage pour lancer l’opuscule qui accompagne l’exposition. Celui-ci comprend un essai de la commissaire et auteure Nicole Gingras.
Samedi 10 septembre
14 h : Visite commentée en présence de l’artiste et de la commissaire 15 h : Vernissage et lancement de l’opuscule
Manon Labrecque (Montréal), artiste multidisciplinaire, réalise des vidéos (monobandes et installations), des performances, des images fixes ainsi que des installations cinétiques et sonores depuis 1991. Ses œuvres sont diffusées au Canada et à l’étranger. En 2013, elle reçoit le Prix Louis-Comtois, décerné pour l’ensemble de son travail.
Nicole Gingras (Montréal) est commissaire indépendante, auteure et chargée de cours à l’Université Concordia. Ses projets traitent du temps, des processus de création, des traces et de la mémoire.