La Galerie McClure est heureuse de présenter l’exposition L’Horizon ultime des œuvres de David Sorensen. Ces abstractions de champs de couleurs, sélectionnées par la commissaire invitée Sandra Grant Marchant, représentent les dernières peintures de Sorensen.
Échelonnée sur une décennie, elles sont le résultat d’une exploration profonde de l’horizon tel un leitmotiv. Nous sommes honorés de pouvoir exposer ces œuvres, exécutées, pour la plupart, dans l’année précédant le décès de l’artiste en 2011.
Sorensen a écrit en 2004 : «À mon sens, cette célébration qui vaut la peine d’être peinte existe encore; il est question d’une porte ouverte à l’intérieur de l’artiste que l’on appelait jadis muse.» Bien qu’il se soit tenu au courant des divers mouvements artistiques et qu’il ait été influencé par les questionnements qui lui étaient contemporains, Sorensen demeurait fidèle à la poursuite d’un «ordre classique libéré de l’ironie. » Incessamment, il cherchait à distiller la lumière à la manière de Turner, à réconcilier l’abstraction avec une inspiration venue de la terre et du ciel et à marier le minimalisme et la géométrie au lyrisme du geste humain. Maintenant, sa quête en peinture nous interpelle.
L’exposition à la galerie McClure sera accompagnée d’un catalogue. Pour nous, la publication de ce catalogue comprenant plus de 40 images des séries Horizon est un honneur tout aussi significatif que de présenter l’exposition. Ce dernier compte, de surcroît, une analyse perceptive des œuvres par Grant Marchand, ainsi qu’une appréciation de Verona Sorensen, la fille de l’artiste.
Né à Vancouver (C.-B.) en 1937, David Sorensen a étudié à l’Université de la Colombie-Britannique et à la Vancouver School of Art.Suite à un déménagement à Montréal en 1966, et un autre, plus tard, dans les Cantons de L’Est, Sorensen a enseigné à l’École d’art et de design du Musée des beaux-arts de Montréal, au Collège Dawson et à l’Université Bishop’s à Sherbrooke, de 1981 à 2000. Sorensen est représenté par des galeries à travers le Canada, dont la Moore Gallery à Toronto, la Michael Gibson à London (ON) et le Studio 21 à Halifax. Il a exposé à maints endroits sur la scène internationale : à Mexico, Guadalajara, Basel, Milan, Paris, Chicago, New York, Boston, Tokyo, Manille et Hong Kong. En 1996, il a été fait membre de l’Académie royale des arts du Canada. Il a reçu plusieurs bourses du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres du Québec. Son œuvre est représentée dans des collections publiques telles que celles du Musée des beaux-arts de Montréal, du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée des beaux-arts de Sherbrooke, de la Art Gallery en Nouvelle-Écosse et de la Hamilton Art Gallery, pour ne nommer que celles-ci.
La Galerie McClure est heureuse de présenter l’exposition L’Horizon ultime des œuvres de David Sorensen. Ces abstractions de champs de couleurs, sélectionnées par la commissaire invitée Sandra Grant Marchant, représentent les dernières peintures de Sorensen.
Échelonnée sur une décennie, elles sont le résultat d’une exploration profonde de l’horizon tel un leitmotiv. Nous sommes honorés de pouvoir exposer ces œuvres, exécutées, pour la plupart, dans l’année précédant le décès de l’artiste en 2011.
Sorensen a écrit en 2004 : «À mon sens, cette célébration qui vaut la peine d’être peinte existe encore; il est question d’une porte ouverte à l’intérieur de l’artiste que l’on appelait jadis muse.» Bien qu’il se soit tenu au courant des divers mouvements artistiques et qu’il ait été influencé par les questionnements qui lui étaient contemporains, Sorensen demeurait fidèle à la poursuite d’un «ordre classique libéré de l’ironie. » Incessamment, il cherchait à distiller la lumière à la manière de Turner, à réconcilier l’abstraction avec une inspiration venue de la terre et du ciel et à marier le minimalisme et la géométrie au lyrisme du geste humain. Maintenant, sa quête en peinture nous interpelle.
L’exposition à la galerie McClure sera accompagnée d’un catalogue. Pour nous, la publication de ce catalogue comprenant plus de 40 images des séries Horizon est un honneur tout aussi significatif que de présenter l’exposition. Ce dernier compte, de surcroît, une analyse perceptive des œuvres par Grant Marchand, ainsi qu’une appréciation de Verona Sorensen, la fille de l’artiste.
Né à Vancouver (C.-B.) en 1937, David Sorensen a étudié à l’Université de la Colombie-Britannique et à la Vancouver School of Art.Suite à un déménagement à Montréal en 1966, et un autre, plus tard, dans les Cantons de L’Est, Sorensen a enseigné à l’École d’art et de design du Musée des beaux-arts de Montréal, au Collège Dawson et à l’Université Bishop’s à Sherbrooke, de 1981 à 2000. Sorensen est représenté par des galeries à travers le Canada, dont la Moore Gallery à Toronto, la Michael Gibson à London (ON) et le Studio 21 à Halifax. Il a exposé à maints endroits sur la scène internationale : à Mexico, Guadalajara, Basel, Milan, Paris, Chicago, New York, Boston, Tokyo, Manille et Hong Kong. En 1996, il a été fait membre de l’Académie royale des arts du Canada. Il a reçu plusieurs bourses du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres du Québec. Son œuvre est représentée dans des collections publiques telles que celles du Musée des beaux-arts de Montréal, du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée des beaux-arts de Sherbrooke, de la Art Gallery en Nouvelle-Écosse et de la Hamilton Art Gallery, pour ne nommer que celles-ci.