Dans le cadre du dernier appel à dossiers programmation, L’Artothèque présente conjointement deux projets d’exposition pour son édition 2017. Du 9 novembre au 9 décembre, les visiteurs sont invités à découvrir l’univers esthétique de Caroline Ariane Bergeron ainsi que de Marianne Chevalier.
L’œuvre de Marianne Chevalier se présente à nous par un amoncellement de symboles, de textures et de motifs qui, joints ensemble, forment un long diaporama étrange et fantaisiste parcouru de minuscules personnages tout aussi insolites. Telle une œuvre immersive, elle désire faire plonger le spectateur dans ce parcours visuel où il pourra vagabonder par la pensée, tout en ressentant une impression d’étrangeté. Inspirée par les contes de fées dans leur version d’origine, par les mythologies, les imageries alchimiques et les fabliaux du Moyen-âge, Marianne s’intéresse à l’ambiance brutale et inquiétante qui émane de ces sources imagées.
Les pièces sculpturales de Caroline Ariane Bergeron, généralement présentées en série et sous forme d’installation, ont souvent une apparence organique, parfois ambiguë, évoquant le corps humain sans le dépeindre exactement, ou reprenant d’autres formes de la nature. L’installation, Objets de la Mer — Noli Me Tangere comprend une série de sculptures de céramique imitant des spécimens qu’on aurait trouvé au bord de la mer : coquillages, coraux, éponges, pierres ponces et autres curiosités d’origine animale ou minérale, dont la surface est ponctuée de pores et de traces laissées par l’érosion et la fossilisation. La transformation, la métamorphose, l’évolution des corps et des matières sont au cœur de sa recherche pseudo-scientifique à la fois formelle et conceptuelle.
L’exposition « Hauts fonds », c’est un alliage organique entre deux démarches artistiques uniques aux médiums différents.
Dans le cadre du dernier appel à dossiers programmation, L’Artothèque présente conjointement deux projets d’exposition pour son édition 2017. Du 9 novembre au 9 décembre, les visiteurs sont invités à découvrir l’univers esthétique de Caroline Ariane Bergeron ainsi que de Marianne Chevalier.
L’œuvre de Marianne Chevalier se présente à nous par un amoncellement de symboles, de textures et de motifs qui, joints ensemble, forment un long diaporama étrange et fantaisiste parcouru de minuscules personnages tout aussi insolites. Telle une œuvre immersive, elle désire faire plonger le spectateur dans ce parcours visuel où il pourra vagabonder par la pensée, tout en ressentant une impression d’étrangeté. Inspirée par les contes de fées dans leur version d’origine, par les mythologies, les imageries alchimiques et les fabliaux du Moyen-âge, Marianne s’intéresse à l’ambiance brutale et inquiétante qui émane de ces sources imagées.
Les pièces sculpturales de Caroline Ariane Bergeron, généralement présentées en série et sous forme d’installation, ont souvent une apparence organique, parfois ambiguë, évoquant le corps humain sans le dépeindre exactement, ou reprenant d’autres formes de la nature. L’installation, Objets de la Mer — Noli Me Tangere comprend une série de sculptures de céramique imitant des spécimens qu’on aurait trouvé au bord de la mer : coquillages, coraux, éponges, pierres ponces et autres curiosités d’origine animale ou minérale, dont la surface est ponctuée de pores et de traces laissées par l’érosion et la fossilisation. La transformation, la métamorphose, l’évolution des corps et des matières sont au cœur de sa recherche pseudo-scientifique à la fois formelle et conceptuelle.
L’exposition « Hauts fonds », c’est un alliage organique entre deux démarches artistiques uniques aux médiums différents.