Il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour.
Depuis un an, la GMAQ n’a cessé de discuter avec le ministre de la Culture et son cabinet, elle a porté ses arguments dans la rue et dans les médias. Le 4 mars dernier, depuis ses propres réseaux sociaux, le ministre de la Culture nous rappelle son soutien et son ambition de faire de la Culture une priorité – nous attendons les preuves.
À l’aube du vote du budget provincial, il nous paraît essentiel de se rassembler dans la rue pour rappeler que la culture et la création permettent de définir une identité plurielle, vivante et tendue vers un devenir commun. Rappeler que la culture, la création, est un des piliers d’une société démocratique saine. Négliger la culture, c’est préparer le terrain à l’obscurantisme et aux régimes autoritaires. Nous ne pouvons pas attaquer la culture sous prétexte d’austérité : il n’y a pas de liberté sans arts, sans pensée, sans création. Nous rappelons qu’un gouvernement qui n’investit pas dans sa culture est responsable d’une société qui s’appauvrit.
Nous rappelons que la culture, loin d’être déficitaire, est un secteur qui rapporte plus que la majorité des autres industries. Investir en culture, c’est réinvestir dans l’économie locale. Investir en culture, c’est créer des emplois et augmenter le PIB. Nous rappelons que nos demandes ne sont pas un simple soutien à la culture : nous exigeons la reconnaissance de son rôle vital dans la construction d’une société libre.
Or, si le ministre de la Culture rappelle son soutien et son ambition de faire de la Culture une priorité, nous rappelons le constat que la Culture, au Québec, ne représente que 1,54% des dépenses publiques et nous faisons encore le constat que le CALQ représente à peine 8,7 % du budget du ministère de la Culture et des Communications et 0,13 % du budget total du gouvernement du Québec. Nous faisons encore le constat que le salaire médian des artistes est inférieur à 17 000$ par année.
Mathieu Lacombe répétait début mars que « le secteur culturel est non seulement nécessaire mais aussi essentiel ». Maintenant, nous voulons des actes, des moyens et une politique culturelle à la hauteur de nos enjeux démocratiques.
La manifestation se tiendra :
À Montréal, à 15h, au 1435 rue de Bleury;
À Rouyn-Noranda, à 15h, au 170 Avenue Principale;
À Sainte-Rose-Du-Nord, à 14h, au Pavillon de la Montagne (213 rue du Quai);
À Rimouski, 15h , 35 Rue St Germain O;
À Gatineau, 15h, 564 Avenue de Buckingham;
À Québec, 15h, 1150 Av. Honoré-Mercier;
Événement facebook
Il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour.
Depuis un an, la GMAQ n’a cessé de discuter avec le ministre de la Culture et son cabinet, elle a porté ses arguments dans la rue et dans les médias. Le 4 mars dernier, depuis ses propres réseaux sociaux, le ministre de la Culture nous rappelle son soutien et son ambition de faire de la Culture une priorité – nous attendons les preuves.
À l’aube du vote du budget provincial, il nous paraît essentiel de se rassembler dans la rue pour rappeler que la culture et la création permettent de définir une identité plurielle, vivante et tendue vers un devenir commun. Rappeler que la culture, la création, est un des piliers d’une société démocratique saine. Négliger la culture, c’est préparer le terrain à l’obscurantisme et aux régimes autoritaires. Nous ne pouvons pas attaquer la culture sous prétexte d’austérité : il n’y a pas de liberté sans arts, sans pensée, sans création. Nous rappelons qu’un gouvernement qui n’investit pas dans sa culture est responsable d’une société qui s’appauvrit.
Nous rappelons que la culture, loin d’être déficitaire, est un secteur qui rapporte plus que la majorité des autres industries. Investir en culture, c’est réinvestir dans l’économie locale. Investir en culture, c’est créer des emplois et augmenter le PIB. Nous rappelons que nos demandes ne sont pas un simple soutien à la culture : nous exigeons la reconnaissance de son rôle vital dans la construction d’une société libre.
Or, si le ministre de la Culture rappelle son soutien et son ambition de faire de la Culture une priorité, nous rappelons le constat que la Culture, au Québec, ne représente que 1,54% des dépenses publiques et nous faisons encore le constat que le CALQ représente à peine 8,7 % du budget du ministère de la Culture et des Communications et 0,13 % du budget total du gouvernement du Québec. Nous faisons encore le constat que le salaire médian des artistes est inférieur à 17 000$ par année.
Mathieu Lacombe répétait début mars que « le secteur culturel est non seulement nécessaire mais aussi essentiel ». Maintenant, nous voulons des actes, des moyens et une politique culturelle à la hauteur de nos enjeux démocratiques.
La manifestation se tiendra :
À Montréal, à 15h, au 1435 rue de Bleury;
À Rouyn-Noranda, à 15h, au 170 Avenue Principale;
À Sainte-Rose-Du-Nord, à 14h, au Pavillon de la Montagne (213 rue du Quai);
À Rimouski, 15h , 35 Rue St Germain O;
À Gatineau, 15h, 564 Avenue de Buckingham;
À Québec, 15h, 1150 Av. Honoré-Mercier;
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