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Monica Maria Moraru, Santiago Tamayo Soler et Amélie Laurence-Fortin

Vernissage le vendredi 17 janvier à 17h à CLARK

monica maria moraru
𝘛𝘩𝘦 𝘍𝘰𝘶𝘯𝘥𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘗𝘪𝘵

monica maria moraru est une artiste visuelle et cinéaste dont le travail vise la quête de résonances sensorielles et cinématographiques à travers un assemblage d’histoires terrestres, relationnelles et politiques. Basée à la fois sur des mythologies personnelles, des récits oraux et des réimaginations narratives, sa pratique artistique se matérialise par la sculpture ainsi que l’installation sonore et vidéo. Elle aborde les enjeux politiques liés à la fabrication d’images par le biais de liens matériels et poétiques. Son travail a été présenté dans des expositions à Rupert (Vilnius, Lituanie), Bunker 2 (Toronto, Ontario), Trinity Square Video (Toronto) et à l’international dans des festivals tels que le European Media Arts Festival (Osnabrück, Allemagne), Rencontres Internationales Paris/Berlin (Paris, France), Diffusion (Toronto), Stuttgarter Filmwinter (Stuttgarter, Allemagne) et London Shorts Film Festival (Londres, Angleterre), entre autres.

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SANTIAGO TAMAYO SOLER
𝘝𝘦𝘯𝘦𝘯𝘰 𝘦𝘯 𝘭𝘢 𝘚𝘢𝘯𝘨𝘳𝘦

Santiago Tamayo Soler est un artiste multidisciplinaire né à Bogotá (Colombie) et résidant à Montréal. Il travaille principalement la vidéo, à partir de son expérience connexe en art performance et en cinéma. Il détient un baccalauréat en arts visuels de l’Université Concordia (Montréal). Il a été artiste en résidence en 2024 au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) dans le cadre de la résidence Empreintes. Santiago a reçu le prix EDAA 2023 pour les artistes émergents en art numérique, décerné par la EQ Bank et Trinity Square Video en 2022. En 2024, il est lauréat du Prix en art actuel du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ).

La pratique de Santiago Tamayo Soler se consacre à la construction d’univers (world-building). L’artiste propose des mondes élaborés numériquement dans lesquels se mêlent des éléments d’archives échantillonnés, tels que des vidéos, photographies et images glanées en ligne. Ces environnements virtuels offrent une réflexion sur l’identité latino-américaine à travers le prisme de l’expérience diasporique. Ses explorations imitent souvent le langage visuel de formes communes issues de jeux vidéo, des telenovelas et de cartographie numérique. Ces méthodologies deviennent des dispositifs narratifs lui permettant de mettre en forme des histoires qui pointent vers un futur aux fantasmes radicaux.

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AMÉLIE LAURENCE FORTIN
𝘕𝘺-Å𝘭𝘦𝘴𝘶𝘯𝘥

Poste audio

Amélie Laurence Fortin vit et travaille entre Québec et Varsovie (Pologne). À travers ses installations, sculptures et œuvres sonores, elle crée des récits futuristes, dans lesquels les objets sont les témoins d’actions passées ou futures. Ses derniers corpus sont l’occasion d’interroger les bouleversements technologiques actuels par le biais d’une approche formelle radicale, monumentale et performative.

Ses récentes expositions ont été présentées à OBORO (Montréal), au Tallinn Art Hall (Tallinn, Estonie), à la Fonderie Darling (Montréal), à la BWA Wrocław (Wrocław, Pologne), au festival du Mois Multi (Montréal), à Stroboskop (Warsaw, Pologne), au KIKK Festival (Namur, Belgique), au Künstlerhaus Bethanien (Berlin, Allemagne), à la Alfa Gallery (New York, États-Unis) à la Manif d’art 9 (Québec), ainsi que dans plusieurs foires locales et internationales. En 2020, Fortin a été retenue pour la résidence du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) d’un an à la Künstlerhaus Bethanien (Berlin). Elle a effectué d’autres résidences, notamment à la Radio28 CS (Mexico, Mexique), à Arctic Circle (Svalbard, Norvège) et à Avatar (Québec). Elle a été retenue pour le Prix Videre en 2020. Son travail a entre autres fait l’objet de critiques dans BerlinArtLink, BE Magazine, BLOK Magazine, EFSYN Magazine, Esse arts + opinions, ESPACE art actuel et Magazyn Szum. Amélie Laurence Fortin a obtenu une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval (Québec) en 2011.

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𝗟𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀

MANON TOURIGNY et FANNY MESNARD
𝘐𝘭 é𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘶𝘯 𝘭𝘢𝘤 𝘢𝘶 𝘳𝘢𝘵 𝘮𝘶𝘴𝘲𝘶é

Ayant comme ancrage historique la procession masquée Requiem pour le Lac Osisko, qui a eu lieu en 1985 telle une manifestation contre la pollution, ce conte illustré est évocateur du passé et porteur d’espoir pour l’avenir.

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VYTAUTAS KUMZA
𝘏𝘰𝘭𝘭𝘰𝘸

𝘏𝘰𝘭𝘭𝘰𝘸 est également un livre d’artiste et une monographie qui retrace la pratique de Vytautas Kumža et le développement d’un langage visuel singulier mais ouvert. Grâce à la myriade d’expériences et de traitements de l’image réalisés par Kumža, l’œuvre s’étend aux domaines de la sculpture, de la performance et de l’installation, remettant ainsi en question la délimitation de chaque médium.