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Marsh, Tremblay et Pawlikowski

Vernissage le jeudi 24 octobre à 20h à Clark

(…) Puisque les récipients sont habitués à recevoir une substance, les moules sont emplis de ciment humide ou de plâtre. Les moulages des mains sont ensuite frottés avec une poudre de pigment, souvent un argent grisâtre – une forme de frottage qui accentue les textures et les volumes
JENINE MARSH /
THE DIRT UNDER MY NAILS
Tous ces contacts sont autant le processus que l’œuvre elle-même et ton intérêt pour le toucher à tout à voir avec la surface. Tu me dis que la peau des choses n’est ni à l’intérieur, ni à l’extérieur – résistant aux définitions de l’un ou de l’autre, ou ni de l’un ni de l’autre, comme un excès de possibilités d’être, ou une personne ou un animal ou une chose.
Tu es de celles qui écrasent les pièces de monnaie sur les voies ferrées, et tu le fais depuis que tu es petite. Tu me parles du sifflement des trains que tu entendais toute la nuit quand tu étais enfant, jusqu’à ce que les lois sur la pollution sonore soient modifiées. (…)
– Texte complet par Celia Perrin Sidarous et plus d’informations ici –

Salle 2
INGRID TREMBLAY /
MADELEINE

(…) Intitulée madeleine, cette première exposition individuelle d’Ingrid Tremblay depuis son retour des États-Unis, s’inspire d’expériences passées, d’images, d’affects et de souvenirs qui se rencontrent dans le présent et qu’elle matérialise sous forme d’objets. Son processus créatif inclut parfois l’écriture descriptive, ce qui lui permet de construire des récits autour de sensations, de moments vécus ou d’observations. Bien que les œuvres ne soient pas toutes créées à partir de cette technique, l’artiste s’intéresse aussi à la relation entre langage, perception et expérience par l’exploration de contes, de mythes et d’histoires. À l’image de la mémoire et des affects, les sculptures de Tremblay incluent texture et mouvement, en plus d’inciter au toucher. (…)
– Texte complet par Manon Tourigny et plus d’informations ici –

Poste audio
KARINA PAWLIKOWSKI /
SANS OBJET : L’AUDIOGUIDE

À l’intersection des arts visuels et de la littérature, Karina Pawlikowski questionne les limites du faire et de l’achèvement en défigurant le média de l’exposition. Son travail donne à voir des œuvres où tout reste à construire par celui/celle qui écoute. La matérialité de l’œuvre se concentre dans la capacité de l’auditeur·trice à mettre en images; tantôt un objet, ensuite un espace, un éclairage, et même une trajectoire avec l’information audio transmise. Ses récits sont empreints de références à l’intime et à l’espace domestique en considérant le corps physique de l’auditeur·trice et/ou de la narratrice. (…)
– Texte complet de Karina Pawlikowski et plus d’informations ici –

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