À l’origine littéraire et photographique, l’œuvre de Karoline Georges est devenu transdisciplinaire, faisant appel à la vidéo, aux trames sonores et à la modélisation 3D. À l’aide des technologies numériques, où le virtuel, le réel et la fiction se nourrissent l’un l’autre, elle façonne un langage inédit qui emprunte à la poésie. L’exposition intitulée De la quête du sublime au temps de la virtualité retrace une décennie de cette exploration hybride.
Mue par une ferme « volonté de puissance », confiante en nos capacités à détourner les méfaits de la société des communications dans laquelle nous vivons désormais, l’artiste nous propose de l’accompagner dans sa quête du sublime. Pour ce faire, elle nous invite à une introspection, à nous émanciper grâce aux possibilités quasi illimitées d’un monde à la fois virtuel et poétique. En tant que spectateurs, nous éprouvons l’étrange sensation que l’auteure de ces œuvres est un androïde dont la sensibilité, de nature humaine, aurait été amplifiée.
Faisant référence à une utopie qui séduit les adeptes de la « société numérique », fort habilement, Karoline Georges nous convie à réfléchir les notions de transcendance, de quête spirituelle, de volonté de se réaliser dans le corps et l’esprit d’un « moi reconfiguré ».
Vernissage et lancement de l’opuscule le samedi 21 mai à 15 h
Nous profiterons du vernissage pour lancer l’opuscule qui accompagne l’exposition. Celui-ci comprend un essai du poète, critique et chercheur Jonathan Lamy.
Visite commentée en présence de l’artiste le samedi 21 mai à 14h.
À l’origine littéraire et photographique, l’œuvre de Karoline Georges est devenu transdisciplinaire, faisant appel à la vidéo, aux trames sonores et à la modélisation 3D. À l’aide des technologies numériques, où le virtuel, le réel et la fiction se nourrissent l’un l’autre, elle façonne un langage inédit qui emprunte à la poésie. L’exposition intitulée De la quête du sublime au temps de la virtualité retrace une décennie de cette exploration hybride.
Mue par une ferme « volonté de puissance », confiante en nos capacités à détourner les méfaits de la société des communications dans laquelle nous vivons désormais, l’artiste nous propose de l’accompagner dans sa quête du sublime. Pour ce faire, elle nous invite à une introspection, à nous émanciper grâce aux possibilités quasi illimitées d’un monde à la fois virtuel et poétique. En tant que spectateurs, nous éprouvons l’étrange sensation que l’auteure de ces œuvres est un androïde dont la sensibilité, de nature humaine, aurait été amplifiée.
Faisant référence à une utopie qui séduit les adeptes de la « société numérique », fort habilement, Karoline Georges nous convie à réfléchir les notions de transcendance, de quête spirituelle, de volonté de se réaliser dans le corps et l’esprit d’un « moi reconfiguré ».
Vernissage et lancement de l’opuscule le samedi 21 mai à 15 h
Nous profiterons du vernissage pour lancer l’opuscule qui accompagne l’exposition. Celui-ci comprend un essai du poète, critique et chercheur Jonathan Lamy.
Visite commentée en présence de l’artiste le samedi 21 mai à 14h.