Michel Campeau fera une présentation suivie d’un échange avec le public, le mercredi 24 septembre 2008 à 19 h 30 au StudiÕ du Centre de production Daïmõn, 80 rue Hanson à Gatineau (Québec). Entrée libre.
Depuis quelques années, Michel Campeau s’est engagé dans la création d’un vaste projet documentaire articulé autour du déclin de la photographie argentique, emportée par la montée des technologies numériques. Il investit la chambre noire, espace iconique qui semble voué à la disparition, comme ruine et débris post- industriel: “ En résonance avec la notion d’endeuillement qui est au fondement de mes actes créatifs, j’observe le réel à la manière d’un expert en sinistre, enquêtant sur l’étrangeté des indices retrouvés sur «le théâtre du crime», là où l’éclairage inactinique et le temps suspendu masquent l’empreinte des lieux ”. Michel Campeau a amorcé la documentation des chambres noires à l’étranger avec des séjours de production à La Havane, à Niamey et à Berlin.
Depuis près de quatre décennies, Michel Campeau réalise une oeuvre qui explore les dimensions subjectives, narratives et ontologiques de la photographie. Il a été lauréat international du Prix de la photographie d’Higashikawa au Japon en 1994. Un survol rétrospectif de son travail a été produit par le Musée canadien de la photographie contemporaine à Ottawa en 1996. Nazraëli Press publiait en 2007 Darkroom et le magazine Aperture diffusait le dossier sur les chambres noires. Michel Campeau figurait en mai 2008 dans l’exposition New Typologies commissariée par Martin Parr pour le New York Photography Festival. On peut voir son travail à la Galerie Simon Blais du 17 septembre au 11 octobre 2008. L’artiste vit et travaille à Montréal.
Michel Campeau fera une présentation suivie d’un échange avec le public, le mercredi 24 septembre 2008 à 19 h 30 au StudiÕ du Centre de production Daïmõn, 80 rue Hanson à Gatineau (Québec). Entrée libre.
Depuis quelques années, Michel Campeau s’est engagé dans la création d’un vaste projet documentaire articulé autour du déclin de la photographie argentique, emportée par la montée des technologies numériques. Il investit la chambre noire, espace iconique qui semble voué à la disparition, comme ruine et débris post- industriel: “ En résonance avec la notion d’endeuillement qui est au fondement de mes actes créatifs, j’observe le réel à la manière d’un expert en sinistre, enquêtant sur l’étrangeté des indices retrouvés sur «le théâtre du crime», là où l’éclairage inactinique et le temps suspendu masquent l’empreinte des lieux ”. Michel Campeau a amorcé la documentation des chambres noires à l’étranger avec des séjours de production à La Havane, à Niamey et à Berlin.
Depuis près de quatre décennies, Michel Campeau réalise une oeuvre qui explore les dimensions subjectives, narratives et ontologiques de la photographie. Il a été lauréat international du Prix de la photographie d’Higashikawa au Japon en 1994. Un survol rétrospectif de son travail a été produit par le Musée canadien de la photographie contemporaine à Ottawa en 1996. Nazraëli Press publiait en 2007 Darkroom et le magazine Aperture diffusait le dossier sur les chambres noires. Michel Campeau figurait en mai 2008 dans l’exposition New Typologies commissariée par Martin Parr pour le New York Photography Festival. On peut voir son travail à la Galerie Simon Blais du 17 septembre au 11 octobre 2008. L’artiste vit et travaille à Montréal.
Gatineau (Québec) J8Y 3M5