Partenariat BIEC–Atelier-galerie Alain Piroir
Reconnue comme un événement majeur dans le milieu international de l’estampe, la BIEC vise également à être davantage présente au plan national. Une synergie avec Montréal s’établira plus manifestement en 2012 et dans les années intercalaires subséquentes grâce au partenariat avec l’Atelier-galerie Alain Piroir (www.piroir.com). Cet atelier de grande réputation, cogéré par Agathe et Alain Piroir, offre une résidence de création et une exposition solo à l’un des artistes primés par la BIEC. Leur choix s’est arrêté sur Saskia Jetten, des Pays-Bas, récipiendaire du Prix Banque Nationale Groupe financier. Ils expliquent ainsi les motifs de leur choix : «De par sa recherche approfondie des limites de l’estampe, soit ses impressions sur tissu et installations, cette artiste contemporaine néerlandaise nous inspire par ses mariages de techniques. L’AGAP étant toujours à la recherche du renouvellement dans l’art de l’estampe, nous sommes très heureux d’offrir cette résidence-exposition à Saskia Jetten et d’aider dans le développement de la création et du rayonnement de l’art d’estampe contemporain. L’exposition solo d’une durée de 6 à 8 semaines se tiendra au printemps 2012 et permettra au public montréalais de découvrir un corpus plus complet de l’artiste tout en offrant une étendue du rayonnement de la BIEC dans l’année intercalaire de ses présentations.
Bilan de la fréquentation
Quelques chiffres La 7e Biennale internationale d’estampe contemporaine de Trois-Rivières (BIEC) s’est terminée le 4 septembre dernier. Selon le décompte effectué systématiquement dans les quatre lieux de l’exposition principale, la fréquentation totale se chiffre à 10 016 visiteurs, soit une augmentation de 4 % par rapport à 2009. En ajoutant à ce total les visiteurs des 10 expositions parallèles tenues cet été en lien avec la 7e BIEC, c’est 22 400 personnes qui ont côtoyé et apprécié l’estampe au cours de l’été. Notez que les visiteurs de l’exposition extérieure Nom de code_7 n’ont pas fait l’objet d’un dénombrement systématique, mais en se fiant aux chiffres de 2009, on peut estimer qu’environ 20 000 personnes se sont arrêtées pour regarder les œuvres. Et au moins 2 personnes s’y sont intéressées d’assez près pour en dérober !
Comme le souligne la directrice générale Mireille Pilotto, « la promotion accrue de l’événement, à la fois dans la région et sur l’ensemble du territoire québécois, a permis de rejoindre une plus large clientèle. La collaboration de 10 établissements muséaux et centres d’exposition de la région mauricienne a également contribué à rendre la BIEC et l’estampe plus visibles. Nous sommes conscients que l’art contemporain ne rejoint qu’un certain pourcentage de la population, mais la fréquentation de la BIEC, étalée sur seulement 11 semaines tous les deux ans affiche une vigueur stimulante et enviable. »
Appréciation Pour ce qui est de l’appréciation de cette 7e BIEC, la présidente et directrice artistique Jo Ann Lanneville résume ainsi les commentaires des visiteurs : « Qualité élevée et constante des oeuvres, cohérence et complémentarité des groupes d’oeuvres, variété des thématiques et des styles, intérêt des démarches et préoccupations des artistes, rapport à l’actualité, mise en espace intelligente, renseignements adéquats, superbe introduction au monde de l’estampe, panorama dynamique et stimulant de cette forme d’art. La présentation des œuvres vise à guider le regardeur d’un univers artistique à l’autre et il semble que le parcours proposé génère toujours étonnement et satisfaction. Par ailleurs, nous pouvons constater que l’estampe est une forme d’art qui continue de plaire, car il y a toujours une quarantaine d’œuvres qui trouvent preneur, ce qui est le cas en 2011. »
Prix du Public 2011
La BIEC met ses visiteurs à contribution puisqu’elle sollicite leur opinion pour attribuer un prix important, le prix du Public. Instauré à la 2e Biennale en 2001 et assorti d’une bourse de 1000 $CAD, ce Prix est décerné cette année à Reti Saks, une artiste d’Estonie. Elle a obtenu 114 votes sur les 1257 dénombrés. Rejointe par téléphone et par courriel, l’artiste s’est dite extrêmement honorée et absolument ravie de recevoir une telle appréciation du public de la BIEC. À son avis, «l’artiste a besoin du regard du visiteur, car une personne qui est touchée en voyant une œuvre lui donne un sens et une place dans un monde différent de celui de l’artiste créateur». Les œuvres de Reti Saks sont des pointes sèches noires, cinétiques et épurées. Elles présentent un personnage féminin doté d’une abondante et mystérieuse chevelure, qui bouge dans l’espace papier en créant dans chaque œuvre une nouvelle atmosphère à la fois dramatique, sensuelle et pleine d’énergie.
En parallèle de son exposition concours, la 7e BIEC a réalisé un projet avec l’Atelier Presse Papier : Comme au 7e ciel, création et diffusion de bannières de rues du 21 juillet au 5 septembre. une capsule vidéo de 2 min 40 s témoigne du travail des artistes en atelier et de l’accrochage dans les rues.
La production complète (tournage, montage, réalisation) de la capsule vidéo a été confiée à David Leblanc, de Trois-Rivières. D’une durée de 2 min 38 s, cette capsule synthétise les étapes de création et de diffusion du projet Comme au 7e ciel dans un but de valorisation du travail des artistes et de promotion de l’accrochage des bannières dans d’autres villes. À ce sujet, ces bannières pourront probablement remonter au 7e ciel dans la prochaine année en France et au Mexique : des démarches en ce sens sont en cours. D’ici là, on peut visionner la capsule vidéo sur YouTube : lien à fournir par DL.
Lien de la capsule sur YouTube :
http://youtu.be/wXG9QKmUzBw?hd=1
Partenariat BIEC–Atelier-galerie Alain Piroir
Reconnue comme un événement majeur dans le milieu international de l’estampe, la BIEC vise également à être davantage présente au plan national. Une synergie avec Montréal s’établira plus manifestement en 2012 et dans les années intercalaires subséquentes grâce au partenariat avec l’Atelier-galerie Alain Piroir (www.piroir.com). Cet atelier de grande réputation, cogéré par Agathe et Alain Piroir, offre une résidence de création et une exposition solo à l’un des artistes primés par la BIEC. Leur choix s’est arrêté sur Saskia Jetten, des Pays-Bas, récipiendaire du Prix Banque Nationale Groupe financier. Ils expliquent ainsi les motifs de leur choix : «De par sa recherche approfondie des limites de l’estampe, soit ses impressions sur tissu et installations, cette artiste contemporaine néerlandaise nous inspire par ses mariages de techniques. L’AGAP étant toujours à la recherche du renouvellement dans l’art de l’estampe, nous sommes très heureux d’offrir cette résidence-exposition à Saskia Jetten et d’aider dans le développement de la création et du rayonnement de l’art d’estampe contemporain. L’exposition solo d’une durée de 6 à 8 semaines se tiendra au printemps 2012 et permettra au public montréalais de découvrir un corpus plus complet de l’artiste tout en offrant une étendue du rayonnement de la BIEC dans l’année intercalaire de ses présentations.
Bilan de la fréquentation
Quelques chiffres La 7e Biennale internationale d’estampe contemporaine de Trois-Rivières (BIEC) s’est terminée le 4 septembre dernier. Selon le décompte effectué systématiquement dans les quatre lieux de l’exposition principale, la fréquentation totale se chiffre à 10 016 visiteurs, soit une augmentation de 4 % par rapport à 2009. En ajoutant à ce total les visiteurs des 10 expositions parallèles tenues cet été en lien avec la 7e BIEC, c’est 22 400 personnes qui ont côtoyé et apprécié l’estampe au cours de l’été. Notez que les visiteurs de l’exposition extérieure Nom de code_7 n’ont pas fait l’objet d’un dénombrement systématique, mais en se fiant aux chiffres de 2009, on peut estimer qu’environ 20 000 personnes se sont arrêtées pour regarder les œuvres. Et au moins 2 personnes s’y sont intéressées d’assez près pour en dérober !
Comme le souligne la directrice générale Mireille Pilotto, « la promotion accrue de l’événement, à la fois dans la région et sur l’ensemble du territoire québécois, a permis de rejoindre une plus large clientèle. La collaboration de 10 établissements muséaux et centres d’exposition de la région mauricienne a également contribué à rendre la BIEC et l’estampe plus visibles. Nous sommes conscients que l’art contemporain ne rejoint qu’un certain pourcentage de la population, mais la fréquentation de la BIEC, étalée sur seulement 11 semaines tous les deux ans affiche une vigueur stimulante et enviable. »
Appréciation Pour ce qui est de l’appréciation de cette 7e BIEC, la présidente et directrice artistique Jo Ann Lanneville résume ainsi les commentaires des visiteurs : « Qualité élevée et constante des oeuvres, cohérence et complémentarité des groupes d’oeuvres, variété des thématiques et des styles, intérêt des démarches et préoccupations des artistes, rapport à l’actualité, mise en espace intelligente, renseignements adéquats, superbe introduction au monde de l’estampe, panorama dynamique et stimulant de cette forme d’art. La présentation des œuvres vise à guider le regardeur d’un univers artistique à l’autre et il semble que le parcours proposé génère toujours étonnement et satisfaction. Par ailleurs, nous pouvons constater que l’estampe est une forme d’art qui continue de plaire, car il y a toujours une quarantaine d’œuvres qui trouvent preneur, ce qui est le cas en 2011. »
Prix du Public 2011
La BIEC met ses visiteurs à contribution puisqu’elle sollicite leur opinion pour attribuer un prix important, le prix du Public. Instauré à la 2e Biennale en 2001 et assorti d’une bourse de 1000 $CAD, ce Prix est décerné cette année à Reti Saks, une artiste d’Estonie. Elle a obtenu 114 votes sur les 1257 dénombrés. Rejointe par téléphone et par courriel, l’artiste s’est dite extrêmement honorée et absolument ravie de recevoir une telle appréciation du public de la BIEC. À son avis, «l’artiste a besoin du regard du visiteur, car une personne qui est touchée en voyant une œuvre lui donne un sens et une place dans un monde différent de celui de l’artiste créateur». Les œuvres de Reti Saks sont des pointes sèches noires, cinétiques et épurées. Elles présentent un personnage féminin doté d’une abondante et mystérieuse chevelure, qui bouge dans l’espace papier en créant dans chaque œuvre une nouvelle atmosphère à la fois dramatique, sensuelle et pleine d’énergie.
En parallèle de son exposition concours, la 7e BIEC a réalisé un projet avec l’Atelier Presse Papier : Comme au 7e ciel, création et diffusion de bannières de rues du 21 juillet au 5 septembre. une capsule vidéo de 2 min 40 s témoigne du travail des artistes en atelier et de l’accrochage dans les rues.
La production complète (tournage, montage, réalisation) de la capsule vidéo a été confiée à David Leblanc, de Trois-Rivières. D’une durée de 2 min 38 s, cette capsule synthétise les étapes de création et de diffusion du projet Comme au 7e ciel dans un but de valorisation du travail des artistes et de promotion de l’accrochage des bannières dans d’autres villes. À ce sujet, ces bannières pourront probablement remonter au 7e ciel dans la prochaine année en France et au Mexique : des démarches en ce sens sont en cours. D’ici là, on peut visionner la capsule vidéo sur YouTube : lien à fournir par DL.
Lien de la capsule sur YouTube :
http://youtu.be/wXG9QKmUzBw?hd=1