La nouvelle proposition de Jeffrey Poirier, Architectonie subversive, vient directement s’inscrire dans les préoccupations dominantes de l’artiste.
Soucieux de lier l’architecture et l’esthétique du multiple, le propos de Jeffrey Poirier pose un regard sur les tensions sociopolitiques et écologiques actuelles.
Une sphère semblant littéralement pénétrer le mur de monstration, ne laissant mirer que sa moitié, une installation photographique à la composante difficilement identifiable. Des œuvres immensurables présentées dans l’espace de Diagonale qui viennent se confronter à l’architecture du lieu et se jouer de formes simples aux motifs répétitifs, puisant leur inspiration au cœur même de la nature et de son jeu d’échelle. Rythmées et binaires, ces sculptures se plaisent à jouer de la transparence et permettent au visiteur d’en retracer le processus créatif.
Architectonie subversive propose des pièces à la lecture polysémique qui se cachent et se montrent au travers des médiums de l’installation et de la photographie. Minutieusement choisi par l’artiste, le titre se veut une référence au béton architectonique utilisé dans les constructions d’après-guerre. Ce matériau économe constituant de certains édifices érigés en monuments significatifs, permet aujourd’hui à l’artiste de discourir sur l’ambigüité
existante entre l’objet et sa composante, entre une structure et son esthétique.
La nouvelle proposition de Jeffrey Poirier, Architectonie subversive, vient directement s’inscrire dans les préoccupations dominantes de l’artiste.
Soucieux de lier l’architecture et l’esthétique du multiple, le propos de Jeffrey Poirier pose un regard sur les tensions sociopolitiques et écologiques actuelles.
Une sphère semblant littéralement pénétrer le mur de monstration, ne laissant mirer que sa moitié, une installation photographique à la composante difficilement identifiable. Des œuvres immensurables présentées dans l’espace de Diagonale qui viennent se confronter à l’architecture du lieu et se jouer de formes simples aux motifs répétitifs, puisant leur inspiration au cœur même de la nature et de son jeu d’échelle. Rythmées et binaires, ces sculptures se plaisent à jouer de la transparence et permettent au visiteur d’en retracer le processus créatif.
Architectonie subversive propose des pièces à la lecture polysémique qui se cachent et se montrent au travers des médiums de l’installation et de la photographie. Minutieusement choisi par l’artiste, le titre se veut une référence au béton architectonique utilisé dans les constructions d’après-guerre. Ce matériau économe constituant de certains édifices érigés en monuments significatifs, permet aujourd’hui à l’artiste de discourir sur l’ambigüité
existante entre l’objet et sa composante, entre une structure et son esthétique.
5455, avenue de Gaspé, espace 110,
Montréal (Québec) H2T 3B3