L’exposition Antonia’s Garden comprend une série de trente photographies dans laquelle Marisa Portolese propose une incursion au cœur de scènes autobiographiques intimistes et émouvantes.
Le projet émane d’un corpus de travail débuté il y a quelques années dans lequel la photographe explore la fragilité de la vie au travers de thématiques relatives à la famille, notamment le rôle de la femme au sein de cette institution, l’intimité, l’autobiographie et la relation complexe mère-enfant. La série constituant Antonia’s Garden découle naturellement des préoccupations de l’artiste et se concentre particulièrement sur les questions relatives à l’identité, au déplacement, à l’abandon et à la mortalité maternelle.
Chacune des trente images apparait comme un portrait formel empruntant au genre du film narratif, du portrait traditionnel, du paysage et de la nature morte. Ces mises en scène sophistiquées servent à dépeindre des moments intimes issus des observations de l’artiste faites des propres membres de sa famille. Ces derniers ont été posés dans des moments de réflexion perméables jusqu’au spectateur, autant de moments s’interrogeant sur les limites de la survie émotionnelle, la perte et l’échec dans les communications intrafamiliales.
Marisa Portolese est née à Montréal en 1969, où elle vit et travaille. Elle est professeure agrégée au sein du programme de photographie de la Faculté des beaux-arts à l’Université Concordia. Elle a une pratique en photographie et en vidéo et a agi comme commissaire d’exposition pour de nombreuses institutions. Après l’obtention d’une maitrise en beaux-arts de l’Université Concordia en 2001, elle a réalisé de nombreux projets photographiques qui lui ont mérités l’appréciation de la critique. Elle a beaucoup voyagé au Canada, en Europe et aux États-Unis et son travail a fait l’objet de nombreuses expositions. En 2007, elle a été invitée à participer à la prestigieuse biennale internationale de photographie contemporaine, Le Mois de la Photo à Montréal, dont Marie Fraser était la commissaire invitée. En parallèle à ses expositions, les critiques ont écrit sur ses travaux dans divers magazines, revues, journaux, livres d’art et périodiques. Elle est lauréate de plusieurs bourses et récompenses des Conseils des arts du Canada et du Québec, de même que de la Fondation des Arts DuMaurier. Ses œuvres font parties de collections particulières et publiques. Elle est représentée par la Galerie Lilian Rodriguez à Montréal.
L’artiste remercie le Conseil des art et lettres du Québec et la Faculté des beaux-arts et le Bureau du vice-président, Research and Graduate Studies – Aid to Research Related Events de l’Université Concordia.
L’exposition Antonia’s Garden comprend une série de trente photographies dans laquelle Marisa Portolese propose une incursion au cœur de scènes autobiographiques intimistes et émouvantes.
Le projet émane d’un corpus de travail débuté il y a quelques années dans lequel la photographe explore la fragilité de la vie au travers de thématiques relatives à la famille, notamment le rôle de la femme au sein de cette institution, l’intimité, l’autobiographie et la relation complexe mère-enfant. La série constituant Antonia’s Garden découle naturellement des préoccupations de l’artiste et se concentre particulièrement sur les questions relatives à l’identité, au déplacement, à l’abandon et à la mortalité maternelle.
Chacune des trente images apparait comme un portrait formel empruntant au genre du film narratif, du portrait traditionnel, du paysage et de la nature morte. Ces mises en scène sophistiquées servent à dépeindre des moments intimes issus des observations de l’artiste faites des propres membres de sa famille. Ces derniers ont été posés dans des moments de réflexion perméables jusqu’au spectateur, autant de moments s’interrogeant sur les limites de la survie émotionnelle, la perte et l’échec dans les communications intrafamiliales.
Marisa Portolese est née à Montréal en 1969, où elle vit et travaille. Elle est professeure agrégée au sein du programme de photographie de la Faculté des beaux-arts à l’Université Concordia. Elle a une pratique en photographie et en vidéo et a agi comme commissaire d’exposition pour de nombreuses institutions. Après l’obtention d’une maitrise en beaux-arts de l’Université Concordia en 2001, elle a réalisé de nombreux projets photographiques qui lui ont mérités l’appréciation de la critique. Elle a beaucoup voyagé au Canada, en Europe et aux États-Unis et son travail a fait l’objet de nombreuses expositions. En 2007, elle a été invitée à participer à la prestigieuse biennale internationale de photographie contemporaine, Le Mois de la Photo à Montréal, dont Marie Fraser était la commissaire invitée. En parallèle à ses expositions, les critiques ont écrit sur ses travaux dans divers magazines, revues, journaux, livres d’art et périodiques. Elle est lauréate de plusieurs bourses et récompenses des Conseils des arts du Canada et du Québec, de même que de la Fondation des Arts DuMaurier. Ses œuvres font parties de collections particulières et publiques. Elle est représentée par la Galerie Lilian Rodriguez à Montréal.
L’artiste remercie le Conseil des art et lettres du Québec et la Faculté des beaux-arts et le Bureau du vice-président, Research and Graduate Studies – Aid to Research Related Events de l’Université Concordia.
Montréal (Québec) H2T 3B3