La directrice d’ARCA, Anne Bertrand, quittera son poste le 31 juillet, après avoir bien servi cet organisme depuis son entrée en fonction en 2012.
Anne Bertrand peut se targuer de plusieurs réalisations majeures. La première est d’avoir réussi à positionner ses membres auprès des partenaires gouvernementaux comme le Conseil des arts du Canada (CAC) et le ministère du Patrimoine canadien (PCH). Plus particulièrement, l’ARCA aura obtenu au CAC une augmentation de 60% du financement alloué à ses membres pour leur fonctionnement.
Anne Bertrand a été aussi très active au sein des réseaux artistiques comme l’organisation des rencontres annuelles des organismes nationaux de services aux arts (ONSA), la Coalition canadienne des arts et surtout l’Alliance pour les arts visuels, une coalition nationale d’une douzaine d’organismes nationaux en arts visuels. La représentante d’ARCA a été élue co-présidente de l’Alliance à quelques reprises un gage de respect de ses collègues et de la reconnaissance de sa maîtrise des enjeux du secteur des arts visuels.
Sur le plan de la consolidation du réseau, Anne Bertrand s’est investie à appuyer stratégiquement le développement des conférences nationales dans des régions qui n’avaient jamais tenu de tel événement. Après Flottille, qui avait lieu à Charlottetown en septembre 2017, la prochaine conférence était prévue à Calgary en août 2020, mais sera reportée en 2021 dans le contexte de la COVID-19. Cette stratégie a largement contribué à augmenter la visibilité du secteur des centres d’artistes de ces régions.
Sous son initiative, l’ARCA s’est dotée de plusieurs outils de visibilité pour mieux appuyer son positionnement et mieux communiquer avec ses membres. En plus de l’infolettre mensuelle l’ARCA dans la poche, Anne a aussi intégré au sein d’ARCA la gestion d’une version en ligne et consultable du Répertoire national des collectifs et centres d’artistes autogérés développé par le RCAAQ et élaboré plusieurs publications comme L’ARCA en douze rubriques, Le Petit Gris : guide de l’édition en art et de la distribution autogérée et, La littératie numérique en six microbouchées.
Récemment, réagissant à un critère du nouveau modèle de financement du CAC, elle produit avec l’appui du Patrimoine canadien un nouvel outil pour gérer et comptabiliser les revenus en nature intitulé (PAS) JUSTE UNE QUESTION D’ARGENT qui sera lancé d’ici peu. Elle a joué un rôle déterminant dans l’évaluation des conditions socio-économiques des artistes de la performance au Canada, ce qui a entraîné d’importantes mises à jour du barème des droits à la CARFAC. Elle a aussi permis, grâce à ses interventions, de faire dernièrement entrer à ARCA le centre SPiLL, un centre d’artistes qui se consacre à la création et à la production en langue des signes au Canada.
Anne Bertrand, qui était avant de diriger l’ARCA, directrice du centre SKOL, un centre d’artiste dynamique de Montréal entend retourner à sa pratique artistique, tout en se rendant disponible pour agir comme consultante dans le milieu. Le conseil d’administration d’ARCA lui souhaite beaucoup de succès dans ses projets et la remercie chaleureusement pour le temps et l’énergie qu’elle a consacrés au développement de l’association.
ARCA réunit les 9 associations canadiennes de centres d’artistes autogérés et ses affiliés, lesquels regroupent plus de 180 centres d’artistes autogérés et collectifs d’artistes consacrés aux arts visuels et médiatiques, aux métiers d’art et à l’architecture à travers le Canada.
La directrice d’ARCA, Anne Bertrand, quittera son poste le 31 juillet, après avoir bien servi cet organisme depuis son entrée en fonction en 2012.
Anne Bertrand peut se targuer de plusieurs réalisations majeures. La première est d’avoir réussi à positionner ses membres auprès des partenaires gouvernementaux comme le Conseil des arts du Canada (CAC) et le ministère du Patrimoine canadien (PCH). Plus particulièrement, l’ARCA aura obtenu au CAC une augmentation de 60% du financement alloué à ses membres pour leur fonctionnement.
Anne Bertrand a été aussi très active au sein des réseaux artistiques comme l’organisation des rencontres annuelles des organismes nationaux de services aux arts (ONSA), la Coalition canadienne des arts et surtout l’Alliance pour les arts visuels, une coalition nationale d’une douzaine d’organismes nationaux en arts visuels. La représentante d’ARCA a été élue co-présidente de l’Alliance à quelques reprises un gage de respect de ses collègues et de la reconnaissance de sa maîtrise des enjeux du secteur des arts visuels.
Sur le plan de la consolidation du réseau, Anne Bertrand s’est investie à appuyer stratégiquement le développement des conférences nationales dans des régions qui n’avaient jamais tenu de tel événement. Après Flottille, qui avait lieu à Charlottetown en septembre 2017, la prochaine conférence était prévue à Calgary en août 2020, mais sera reportée en 2021 dans le contexte de la COVID-19. Cette stratégie a largement contribué à augmenter la visibilité du secteur des centres d’artistes de ces régions.
Sous son initiative, l’ARCA s’est dotée de plusieurs outils de visibilité pour mieux appuyer son positionnement et mieux communiquer avec ses membres. En plus de l’infolettre mensuelle l’ARCA dans la poche, Anne a aussi intégré au sein d’ARCA la gestion d’une version en ligne et consultable du Répertoire national des collectifs et centres d’artistes autogérés développé par le RCAAQ et élaboré plusieurs publications comme L’ARCA en douze rubriques, Le Petit Gris : guide de l’édition en art et de la distribution autogérée et, La littératie numérique en six microbouchées.
Récemment, réagissant à un critère du nouveau modèle de financement du CAC, elle produit avec l’appui du Patrimoine canadien un nouvel outil pour gérer et comptabiliser les revenus en nature intitulé (PAS) JUSTE UNE QUESTION D’ARGENT qui sera lancé d’ici peu. Elle a joué un rôle déterminant dans l’évaluation des conditions socio-économiques des artistes de la performance au Canada, ce qui a entraîné d’importantes mises à jour du barème des droits à la CARFAC. Elle a aussi permis, grâce à ses interventions, de faire dernièrement entrer à ARCA le centre SPiLL, un centre d’artistes qui se consacre à la création et à la production en langue des signes au Canada.
Anne Bertrand, qui était avant de diriger l’ARCA, directrice du centre SKOL, un centre d’artiste dynamique de Montréal entend retourner à sa pratique artistique, tout en se rendant disponible pour agir comme consultante dans le milieu. Le conseil d’administration d’ARCA lui souhaite beaucoup de succès dans ses projets et la remercie chaleureusement pour le temps et l’énergie qu’elle a consacrés au développement de l’association.
ARCA réunit les 9 associations canadiennes de centres d’artistes autogérés et ses affiliés, lesquels regroupent plus de 180 centres d’artistes autogérés et collectifs d’artistes consacrés aux arts visuels et médiatiques, aux métiers d’art et à l’architecture à travers le Canada.