Jusqu’au samedi 29 octobre 2005 (Entrée libre)
Happy Screen
3 installations vidéo de lartiste français Lucas Grandin
Glass house
Douala feed-back
Métropolyphone
Une présentation de L’Espace Vidéographe
Galerie Art Mûr (Espace 5)
5826, rue St-Hubert, Montréal
Lucas Grandin, adepte du bricolage, développe des processus qui questionnent le comportement dune société par rapport à ses attributs sonores. Que cela soit sous forme de performance, de machine, de vidéo ou bien dinstallation, ces travaux ludiques prennent à contre pied lidée de luvre dart fragile ou sinscrivant dans une logique de marché.
Lexposition Happy Screen est composée dune installation vidéo de lartiste, « Glass House », qui nous confronte au problème « réalité/virtualité » de la télévision et des projections de « Douala feed-back », nous présentant une certaine esthétique sonore de la ville de Douala au Cameroun et de « Métropolyphone », vidéo réalisée à Montréal dans le cadre d’une résidence à Vidéographe.
Dernière pièce ajoutée à lexposition, cette vidéo sarticule telle une partition, écrite selon les parcours ou attentes des futurs passagers dun métro. Le bloc des sept sièges dattente est assimilé à une partie de clavier composée de sept blanches. Chaque personne sasseyant ou passant devant un des sièges va déclencher la note respective au bloc et au clavier. En dehors du choix de linstrument, le morceau joué respecte les lois de ce projet, une heure dans le métro, à la même station, sans quintervienne un choix esthétique, quil soit musical ou vidéographique.
Jusqu’au samedi 29 octobre 2005 (Entrée libre)
Happy Screen
3 installations vidéo de lartiste français Lucas Grandin
Glass house
Douala feed-back
Métropolyphone
Une présentation de L’Espace Vidéographe
Galerie Art Mûr (Espace 5)
5826, rue St-Hubert, Montréal
Lucas Grandin, adepte du bricolage, développe des processus qui questionnent le comportement dune société par rapport à ses attributs sonores. Que cela soit sous forme de performance, de machine, de vidéo ou bien dinstallation, ces travaux ludiques prennent à contre pied lidée de luvre dart fragile ou sinscrivant dans une logique de marché.
Lexposition Happy Screen est composée dune installation vidéo de lartiste, « Glass House », qui nous confronte au problème « réalité/virtualité » de la télévision et des projections de « Douala feed-back », nous présentant une certaine esthétique sonore de la ville de Douala au Cameroun et de « Métropolyphone », vidéo réalisée à Montréal dans le cadre d’une résidence à Vidéographe.
Dernière pièce ajoutée à lexposition, cette vidéo sarticule telle une partition, écrite selon les parcours ou attentes des futurs passagers dun métro. Le bloc des sept sièges dattente est assimilé à une partie de clavier composée de sept blanches. Chaque personne sasseyant ou passant devant un des sièges va déclencher la note respective au bloc et au clavier. En dehors du choix de linstrument, le morceau joué respecte les lois de ce projet, une heure dans le métro, à la même station, sans quintervienne un choix esthétique, quil soit musical ou vidéographique.