La Centrale s’engage envers les artistes à offrir un soutien financier décent, à promouvoir leurs expositions ou leurs activités avec des outils de promotion efficaces et à assurer un suivi des expositions en produisant des publications qui permettent une longévité au travail des artistes et de développer davantage la réflexion sur les enjeux de l’art actuel des femmes.
La Centrale a établi un service de documentation en mettant à la disponibilité des membres et du public une bibliothèque contenant des revues d’art, des revues fémi-nistes, des catalogues d’artistes, des livres de référence ainsi qu’un babillard diffusant des informations sur les événements et les activités d’autres centres. Nous rendons également accessible toute l’information archivée sur les activités passées, sur les expositions et les artistes que nous avons présentées. Les archives du centre de 1973 à 1996 sont situées à l’Université Concordia.
Depuis sa fondation, La Centrale diffuse l’art actuel d’artistes québécoises, cana-diennes et étrangères en touchant à des médiums et cultures diversifiés. Le développement de nouvelles pistes d’exploration artistique, le rayonnement de l’art des femmes et les échanges demeurent ainsi les moteurs des activités du centre. Nous parlons aujourd’hui d’un féminisme intégré et individualisé, la relation entre les mouvements féministes et l’art contemporain s’est raffinée et est devenue plus subtile. À travers nos différentes activités, cette relation est continuellement remise en question, critiquée et transformée. Plutôt que de renforcer l’idée qu’une position critique et fémi-niste s’exprimerait uniquement dans un art lié de façon explicite à des questions de genre, de sexualité et de relations de pouvoir dans nos sociétés, nous visons à intégrer une pluralité de pratiques et de tendances esthétiques. La Centrale, par son existence même, offre un cadre d’interprétation et de réflexion critique unique pour toutes les œuvres qui y sont exposées.
La Centrale s’engage envers les artistes à offrir un soutien financier décent, à promouvoir leurs expositions ou leurs activités avec des outils de promotion efficaces et à assurer un suivi des expositions en produisant des publications qui permettent une longévité au travail des artistes et de développer davantage la réflexion sur les enjeux de l’art actuel des femmes.
La Centrale a établi un service de documentation en mettant à la disponibilité des membres et du public une bibliothèque contenant des revues d’art, des revues fémi-nistes, des catalogues d’artistes, des livres de référence ainsi qu’un babillard diffusant des informations sur les événements et les activités d’autres centres. Nous rendons également accessible toute l’information archivée sur les activités passées, sur les expositions et les artistes que nous avons présentées. Les archives du centre de 1973 à 1996 sont situées à l’Université Concordia.
Depuis sa fondation, La Centrale diffuse l’art actuel d’artistes québécoises, cana-diennes et étrangères en touchant à des médiums et cultures diversifiés. Le développement de nouvelles pistes d’exploration artistique, le rayonnement de l’art des femmes et les échanges demeurent ainsi les moteurs des activités du centre. Nous parlons aujourd’hui d’un féminisme intégré et individualisé, la relation entre les mouvements féministes et l’art contemporain s’est raffinée et est devenue plus subtile. À travers nos différentes activités, cette relation est continuellement remise en question, critiquée et transformée. Plutôt que de renforcer l’idée qu’une position critique et fémi-niste s’exprimerait uniquement dans un art lié de façon explicite à des questions de genre, de sexualité et de relations de pouvoir dans nos sociétés, nous visons à intégrer une pluralité de pratiques et de tendances esthétiques. La Centrale, par son existence même, offre un cadre d’interprétation et de réflexion critique unique pour toutes les œuvres qui y sont exposées.