ATSA s’active à ce que le propos esthétique et symbolique de l’art nous confronte à nos responsabilités individuelles et collectives en redonnant à la place publique sa dimension d’espace ouvert à la rencontre, à la réflexion. La dimension participative qui interpelle le public dans sa citoyenneté est au cœur de la démarche.
ATSA s’engage dans un mouvement féministe, pacifiste et écoresponsable, faisant la promotion d’un développement durable et respectueux des droits fondamentaux de l’humain et de la nature.
ATSA est récipiendaire de la Médaille de la Paix du YMCA pour Cuisine ta ville 2019, du Prix du Jury offert par la Caisse de la Culture pour le 33ième Grand Prix du Conseil des Arts de Montréal en 2018, du Prix Giverny Capital 2011, du prix Pratt & Whitney du Conseil des Arts de Montréal : Nature de l’Art, du prix Citoyen de la Culture 2008 décerné par les Arts et la Ville pour l’État d’Urgence et du prix Artistes pour la Paix 2008.
De nombreuses réalisations forgent le parcours de l’ATSA qui s’est tout d’abord fait connaître par La banque à bas (1997), manœuvre devant le Musée d’art contemporain à Montréal, puis par l’État d’Urgence (1998-2010), camp de réfugiés effectif pour les sans-abri relayé par la suite par Fin Novembre (2011 à 2013) puis Prendre…Le Temps d’une Soupe (2015) en collaboration avec la Nuit des sans-abri sur les enjeux de l’itinérance. Une exposition intitulée 10 ans d’Urgence découlant de ces manifestations, a été présentée dans 8 lieux culturels à Montréal et sept villes canadiennes entre 2010 et 2014. Le Temps d’une Soupe (TDS), mécanique relationnelle mettant en scène des duos spontanés de conversations entre inconnuEs sur des enjeux actuels du vivre ensemble, est en tournée depuis 2017. Terminant le cycle des États d’Urgence avec la population itinérante avec ses 20 ans, ATSA crée l’événement Cuisine ta Ville lors du 375ième de Montréal et du 150ième du Canada. Située sur la Place des Festivals depuis 2017, cette biennale se construit avec les personnes immigrantes qui forment le tissu social montréalais
ATSA s’active à ce que le propos esthétique et symbolique de l’art nous confronte à nos responsabilités individuelles et collectives en redonnant à la place publique sa dimension d’espace ouvert à la rencontre, à la réflexion. La dimension participative qui interpelle le public dans sa citoyenneté est au cœur de la démarche.
ATSA s’engage dans un mouvement féministe, pacifiste et écoresponsable, faisant la promotion d’un développement durable et respectueux des droits fondamentaux de l’humain et de la nature.
ATSA est récipiendaire de la Médaille de la Paix du YMCA pour Cuisine ta ville 2019, du Prix du Jury offert par la Caisse de la Culture pour le 33ième Grand Prix du Conseil des Arts de Montréal en 2018, du Prix Giverny Capital 2011, du prix Pratt & Whitney du Conseil des Arts de Montréal : Nature de l’Art, du prix Citoyen de la Culture 2008 décerné par les Arts et la Ville pour l’État d’Urgence et du prix Artistes pour la Paix 2008.
De nombreuses réalisations forgent le parcours de l’ATSA qui s’est tout d’abord fait connaître par La banque à bas (1997), manœuvre devant le Musée d’art contemporain à Montréal, puis par l’État d’Urgence (1998-2010), camp de réfugiés effectif pour les sans-abri relayé par la suite par Fin Novembre (2011 à 2013) puis Prendre…Le Temps d’une Soupe (2015) en collaboration avec la Nuit des sans-abri sur les enjeux de l’itinérance. Une exposition intitulée 10 ans d’Urgence découlant de ces manifestations, a été présentée dans 8 lieux culturels à Montréal et sept villes canadiennes entre 2010 et 2014. Le Temps d’une Soupe (TDS), mécanique relationnelle mettant en scène des duos spontanés de conversations entre inconnuEs sur des enjeux actuels du vivre ensemble, est en tournée depuis 2017. Terminant le cycle des États d’Urgence avec la population itinérante avec ses 20 ans, ATSA crée l’événement Cuisine ta Ville lors du 375ième de Montréal et du 150ième du Canada. Située sur la Place des Festivals depuis 2017, cette biennale se construit avec les personnes immigrantes qui forment le tissu social montréalais