Natascha Niederstrass
Behind Closed Doors : Body Of Evidence
L’immanence de la rupture
Avec Tergiverser vers le vide et Behind Closed Doors : Body of Evidence, Yannick De Serre et Natascha Niederstrass mettent en lumière, en scène et en intrigue la rupture dans ce qu’elle a de plus irrationnel, violent et émouvant.
Bien sûr, chacun décline cet acte de séparation brutale dans une forme narrative qui lui est propre. En abordant l’inacceptable, Natascha Niederstrass provoque un inconfort sournois dans une proposition surréaliste qui lie le macabre fait divers du Dahlia noir avec Étant donnés : 1° la chute d’eau, 2° le gaz d’éclairage (1946-1966), dernière œuvre de Marcel Duchamp. Quant à lui, Yannick De Serre capte le poids de l’absence et du vide dans une expression délicate et poétique inspirée du thème du départ.
(…)
Que dire de ces ruptures tout aussi tranchantes, mais cette fois-ci sanglantes qui ôtent la vie? Dans ces conditions macabres, la causalité de l’acte ne trouve parfois ou souvent pas d’explication. Faisant énigme et scandale, le mystère s’épaissit; les suppositions se multiplient. Avec Behind Closed Doors : Body of Evidence, Natascha Niederstrass propose dans une mise en scène inquiétante de fantasmer la réunion de deux événements.
– Extrait du texte d’Émilie Granjon, commissaire
Natascha Niederstrass est titulaire d’un baccalauréat de l’Université Concordia à Montréal (BFA) et d’une maîtrise en arts visuels de l’Université York à Toronto (MFA). Ses œuvres ont été présentées dans diverses expositions individuelles et collectives. Récipiendaire de la Bourse Plein sud en 2005, elle a aussi pris part en 2009 à l’exposition Confluences, présentée conjointement au Musée régional de Rimouski et à la Maison de la culture Frontenac, dans le cadre de l’événement De l’île à la mer, sous le commissariat de Bernard Lamarche. Mettant à profit la vidéo, la photographie et l’installation, le travail de Natascha Niederstrass s’inspire en particulier du fait divers, de la scène de crime et du cinéma d’horreur de façon à souligner l’ambiguïté des signes et des codes culturels face à une réalité qui bien souvent nous échappe.
Yannick De Serre
Tergiverser vers le vide
L’immanence de la rupture
Avec Tergiverser vers le vide et Behind Closed Doors : Body of Evidence, Yannick De Serre et Natascha Niederstrass mettent en lumière, en scène et en intrigue la rupture dans ce qu’elle a de plus irrationnel, violent et émouvant.
Bien sûr, chacun décline cet acte de séparation brutale dans une forme narrative qui lui est propre. En abordant l’inacceptable, Natascha Niederstrass provoque un inconfort sournois dans une proposition surréaliste qui lie le macabre fait divers du Dahlia noir avec Étant donnés : 1° la chute d’eau, 2° le gaz d’éclairage (1946-1966), dernière œuvre de Marcel Duchamp. Quant à lui, Yannick De Serre capte le poids de l’absence et du vide dans une expression délicate et poétique inspirée du thème du départ.
(…)
Chez Yannick De Serre, l’objet de la rupture est in presencia. Au cœur de l’exposition Tergiverser vers le vide se trouve un sécateur, outil horticole destiné aux opérations de taille. C’est d’ailleurs cet objet qui a donné l’impulsion créatrice au projet. Il y a quelques années, l’artiste a demandé à son entourage plus ou moins proche de lui faire parvenir des lettres, en répondant à la question suivante : « Que laisseriez-vous sur la table pour expliquer votre départ? »
– Extrait du texte d’Émilie Granjon, commissaire
L’artiste Yannick De Serre est détenteur d’un baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval. Il expose à travers le Québec en plus d’assurer une présence dans les grandes foires internationales (Papier-2015 à 2017, Art Basel-2013, TIAF-2011, Sydney et New-York-2010). En 2012, le Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul acquiert l’une de ses œuvres. Depuis, nous retrouvons ces œuvres dans de nombreuses collections privées et institutionnelles. La production récente de l’artiste met l’emphase sur l’omniprésence du vide dans nos vies respectives et ce, par l’entremise de techniques épurées, voir minimalistes. À l’hiver 2018, Yannick De Serre réalisera une résidence de création soutenue par le CALQ au Arteles Centre en Finlande. Depuis 2016, il est représenté par la Galerie Bernard à Montréal.
Natascha Niederstrass
Behind Closed Doors : Body Of Evidence
L’immanence de la rupture
Avec Tergiverser vers le vide et Behind Closed Doors : Body of Evidence, Yannick De Serre et Natascha Niederstrass mettent en lumière, en scène et en intrigue la rupture dans ce qu’elle a de plus irrationnel, violent et émouvant.
Bien sûr, chacun décline cet acte de séparation brutale dans une forme narrative qui lui est propre. En abordant l’inacceptable, Natascha Niederstrass provoque un inconfort sournois dans une proposition surréaliste qui lie le macabre fait divers du Dahlia noir avec Étant donnés : 1° la chute d’eau, 2° le gaz d’éclairage (1946-1966), dernière œuvre de Marcel Duchamp. Quant à lui, Yannick De Serre capte le poids de l’absence et du vide dans une expression délicate et poétique inspirée du thème du départ.
(…)
Que dire de ces ruptures tout aussi tranchantes, mais cette fois-ci sanglantes qui ôtent la vie? Dans ces conditions macabres, la causalité de l’acte ne trouve parfois ou souvent pas d’explication. Faisant énigme et scandale, le mystère s’épaissit; les suppositions se multiplient. Avec Behind Closed Doors : Body of Evidence, Natascha Niederstrass propose dans une mise en scène inquiétante de fantasmer la réunion de deux événements.
– Extrait du texte d’Émilie Granjon, commissaire
Natascha Niederstrass est titulaire d’un baccalauréat de l’Université Concordia à Montréal (BFA) et d’une maîtrise en arts visuels de l’Université York à Toronto (MFA). Ses œuvres ont été présentées dans diverses expositions individuelles et collectives. Récipiendaire de la Bourse Plein sud en 2005, elle a aussi pris part en 2009 à l’exposition Confluences, présentée conjointement au Musée régional de Rimouski et à la Maison de la culture Frontenac, dans le cadre de l’événement De l’île à la mer, sous le commissariat de Bernard Lamarche. Mettant à profit la vidéo, la photographie et l’installation, le travail de Natascha Niederstrass s’inspire en particulier du fait divers, de la scène de crime et du cinéma d’horreur de façon à souligner l’ambiguïté des signes et des codes culturels face à une réalité qui bien souvent nous échappe.
Yannick De Serre
Tergiverser vers le vide
L’immanence de la rupture
Avec Tergiverser vers le vide et Behind Closed Doors : Body of Evidence, Yannick De Serre et Natascha Niederstrass mettent en lumière, en scène et en intrigue la rupture dans ce qu’elle a de plus irrationnel, violent et émouvant.
Bien sûr, chacun décline cet acte de séparation brutale dans une forme narrative qui lui est propre. En abordant l’inacceptable, Natascha Niederstrass provoque un inconfort sournois dans une proposition surréaliste qui lie le macabre fait divers du Dahlia noir avec Étant donnés : 1° la chute d’eau, 2° le gaz d’éclairage (1946-1966), dernière œuvre de Marcel Duchamp. Quant à lui, Yannick De Serre capte le poids de l’absence et du vide dans une expression délicate et poétique inspirée du thème du départ.
(…)
Chez Yannick De Serre, l’objet de la rupture est in presencia. Au cœur de l’exposition Tergiverser vers le vide se trouve un sécateur, outil horticole destiné aux opérations de taille. C’est d’ailleurs cet objet qui a donné l’impulsion créatrice au projet. Il y a quelques années, l’artiste a demandé à son entourage plus ou moins proche de lui faire parvenir des lettres, en répondant à la question suivante : « Que laisseriez-vous sur la table pour expliquer votre départ? »
– Extrait du texte d’Émilie Granjon, commissaire
L’artiste Yannick De Serre est détenteur d’un baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval. Il expose à travers le Québec en plus d’assurer une présence dans les grandes foires internationales (Papier-2015 à 2017, Art Basel-2013, TIAF-2011, Sydney et New-York-2010). En 2012, le Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul acquiert l’une de ses œuvres. Depuis, nous retrouvons ces œuvres dans de nombreuses collections privées et institutionnelles. La production récente de l’artiste met l’emphase sur l’omniprésence du vide dans nos vies respectives et ce, par l’entremise de techniques épurées, voir minimalistes. À l’hiver 2018, Yannick De Serre réalisera une résidence de création soutenue par le CALQ au Arteles Centre en Finlande. Depuis 2016, il est représenté par la Galerie Bernard à Montréal.
Montréal (Québec) H3B 1A2