Les oeuvres de what bonds are these ? tournent autour d’une exploration continue d’une ancienne technique de tissage danoise, qui s’appelle sprang. Le sprang est réalisé seulement à l’aide de fils de chaînes tendus ou de fils verticaux, liés dans une tresse allongée. Le matériel qui en résulte est flasque, extensible, pliable et englobant.
Stuart emploie ce matériel et le processus de sa fabrication comme une sorte de support à la peinture en extrusion, poussant littéralement et métaphoriquement les limites du rectangle et qui déforme la grille. Les limites matérielles de la peinture traditionnelle – support, toile, surface et pigment, sont à la fois une contrainte et une étreinte.
Peinture n’est peut-être pas la meilleure façon de décrire les choses présentées dans l’exposition. Quelques-unes sont plus sculpturales, tandis que d’autres évoquent plutôt un artisanat vernaculaire. Pourtant, le point d’origine, l’impulsion, le premier problème, la première question, est la problématique persistante de la peinture moderne sur la relation entre la figure et le fond.
Pour Stuart, ce qui est en jeu dans ce rapport n’est pas un désir de créer quelque chose de transcendant ou sublime, ou de concret et discutable. En fait, les oeuvres explorent en profondeur la physicalité de l’abstraction, et quelque chose de corporel qui se ressent à la fois comme intime et étranger, particulier et incertain.
Beth Stuart est une artiste résidant à Toronto dont le travail est présenté à l’échelle nationale et internationale. Elle a obtenu son baccalauréat en arts visuels à l’Université Concordia et sa maîtrise en arts visuels à l’Université de Guelph. Ses expositions solo incluent two sticks in a shed à la Battat Contemporary à Montréal et the Cliques au Erin Stump Projects à Toronto. Elle est la récipiendaire de plusieurs bourses et prix, incluant une mention honorable récente dans Le Concours de peintures canadiennes de RBC. Elle enseigne actuellement à l’OCADU.
L’artiste aimerait reconnaître l’aide généreuse du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts de l’Ontario ainsi que de Battat Contemporary
Les oeuvres de what bonds are these ? tournent autour d’une exploration continue d’une ancienne technique de tissage danoise, qui s’appelle sprang. Le sprang est réalisé seulement à l’aide de fils de chaînes tendus ou de fils verticaux, liés dans une tresse allongée. Le matériel qui en résulte est flasque, extensible, pliable et englobant.
Stuart emploie ce matériel et le processus de sa fabrication comme une sorte de support à la peinture en extrusion, poussant littéralement et métaphoriquement les limites du rectangle et qui déforme la grille. Les limites matérielles de la peinture traditionnelle – support, toile, surface et pigment, sont à la fois une contrainte et une étreinte.
Peinture n’est peut-être pas la meilleure façon de décrire les choses présentées dans l’exposition. Quelques-unes sont plus sculpturales, tandis que d’autres évoquent plutôt un artisanat vernaculaire. Pourtant, le point d’origine, l’impulsion, le premier problème, la première question, est la problématique persistante de la peinture moderne sur la relation entre la figure et le fond.
Pour Stuart, ce qui est en jeu dans ce rapport n’est pas un désir de créer quelque chose de transcendant ou sublime, ou de concret et discutable. En fait, les oeuvres explorent en profondeur la physicalité de l’abstraction, et quelque chose de corporel qui se ressent à la fois comme intime et étranger, particulier et incertain.
Beth Stuart est une artiste résidant à Toronto dont le travail est présenté à l’échelle nationale et internationale. Elle a obtenu son baccalauréat en arts visuels à l’Université Concordia et sa maîtrise en arts visuels à l’Université de Guelph. Ses expositions solo incluent two sticks in a shed à la Battat Contemporary à Montréal et the Cliques au Erin Stump Projects à Toronto. Elle est la récipiendaire de plusieurs bourses et prix, incluant une mention honorable récente dans Le Concours de peintures canadiennes de RBC. Elle enseigne actuellement à l’OCADU.
L’artiste aimerait reconnaître l’aide généreuse du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts de l’Ontario ainsi que de Battat Contemporary
Montréal (Québec) H2W 1Z3