Présentation d’artiste samedi 9 juin, 15h
Jouant entre la performance, la dessin murale et la sculpture, Walls to the Ball est une installation basée sur un processus évolutif d’une durée de quatre semaines. À partir d’une rencontre imaginée entre Anni Albers (tisseuse formée au Bauhaus) and Dirk Nowitzki (joueur étoile du NBA ), Walls to the Ball, réunit le ballon-panier et l’artisanat textile en tête-à-tête en révelant leurs ressemblances et leurs différences.
Une murale immersive couvrira les murs et le plancher durant le temps de l’exposition avec des bannières et des paniers faits main et transformeront la galerie en un gymnase/espace de travail idiosynchratique.
Autant proccessus que corpus de travail, le projet revendique le sport et l’artisanat comme une façon puissante et significative d’aborder la relation nuancée entre genre et valeur. Walls to the Ball contourne l’expression idiomatique machiste “balls to the wall” en jouant à parts égales entre l’absurdité, le jeu, et la persistance hardcore. En tant que processus, Walls to the Ball est bordélique, faillible et sujet aux crampes, mais il a de l’endurance, de la résistance et il a aussi l’impertinence d’avoir l’ambiance d’une équipe à domicile – cette merde est réelle!
Les visiteurs de Walls to the Ball seront invités à échanger leurs compétences et à les partager par l’intermediaire d’images GIFS. En créant des vidéos en GIF en boucle, le public contribuera à une banque de connaissances sur le sport et l’artisanat. Ils relieront ces deux activités par la répétition, l’entraînement et l’endurance. De plus, une émission sportive Ponytail Express, édition Montréal, sera tournée LIVE dans la galerie et s’adressera aux athlètes apathiques.
Hazel Meyer est une artiste et une enthousiaste du sport, résidant à Toronto, Canada. Sa pratique artistique est à la fois socialement engagée et ancrée dans la matérialité.
Elle surmonte ces tendances par la création d’installations qui deviennent des environnements performatifs, des ateliers et des jeux sportifs amateurs. Elle a obtenu un baccalauréat à l’université Concordia (Montréal) et une maitrîse de l’OCAD University (Toronto). Meyer est actuellement une artiste en résidence dans des écoles secondaires à Toronto, dans le cadre du projet The Pedagogical Impulse.
Récemment, elle a présenté son travail dans les expositions suivantes: Schlaegermusik, avec Annesley Black pour Zukunftsmusik à Stuttgart (Allemagne), Walls to the Ball, pour Struts Gallery à Sackville (Nouveau-Brunswick) et All Hands on the Archive : An Audience of Enablers Cannot Fail, avec Logan McDonald à F.A.G. à Toronto (Ontario). Ses prochains projets sont d’amener Walls to the Balls à St. John’s et à Saskatoon et What I Talk About When I Talk About Weaving à WARC à Toronto et de terminer un roman graphique intitulé Pattern Slander: A semiautobiographical account of disease, shit and repeat-patterns
Présentation d’artiste samedi 9 juin, 15h
Jouant entre la performance, la dessin murale et la sculpture, Walls to the Ball est une installation basée sur un processus évolutif d’une durée de quatre semaines. À partir d’une rencontre imaginée entre Anni Albers (tisseuse formée au Bauhaus) and Dirk Nowitzki (joueur étoile du NBA ), Walls to the Ball, réunit le ballon-panier et l’artisanat textile en tête-à-tête en révelant leurs ressemblances et leurs différences.
Une murale immersive couvrira les murs et le plancher durant le temps de l’exposition avec des bannières et des paniers faits main et transformeront la galerie en un gymnase/espace de travail idiosynchratique.
Autant proccessus que corpus de travail, le projet revendique le sport et l’artisanat comme une façon puissante et significative d’aborder la relation nuancée entre genre et valeur. Walls to the Ball contourne l’expression idiomatique machiste “balls to the wall” en jouant à parts égales entre l’absurdité, le jeu, et la persistance hardcore. En tant que processus, Walls to the Ball est bordélique, faillible et sujet aux crampes, mais il a de l’endurance, de la résistance et il a aussi l’impertinence d’avoir l’ambiance d’une équipe à domicile – cette merde est réelle!
Les visiteurs de Walls to the Ball seront invités à échanger leurs compétences et à les partager par l’intermediaire d’images GIFS. En créant des vidéos en GIF en boucle, le public contribuera à une banque de connaissances sur le sport et l’artisanat. Ils relieront ces deux activités par la répétition, l’entraînement et l’endurance. De plus, une émission sportive Ponytail Express, édition Montréal, sera tournée LIVE dans la galerie et s’adressera aux athlètes apathiques.
Hazel Meyer est une artiste et une enthousiaste du sport, résidant à Toronto, Canada. Sa pratique artistique est à la fois socialement engagée et ancrée dans la matérialité.
Elle surmonte ces tendances par la création d’installations qui deviennent des environnements performatifs, des ateliers et des jeux sportifs amateurs. Elle a obtenu un baccalauréat à l’université Concordia (Montréal) et une maitrîse de l’OCAD University (Toronto). Meyer est actuellement une artiste en résidence dans des écoles secondaires à Toronto, dans le cadre du projet The Pedagogical Impulse.
Récemment, elle a présenté son travail dans les expositions suivantes: Schlaegermusik, avec Annesley Black pour Zukunftsmusik à Stuttgart (Allemagne), Walls to the Ball, pour Struts Gallery à Sackville (Nouveau-Brunswick) et All Hands on the Archive : An Audience of Enablers Cannot Fail, avec Logan McDonald à F.A.G. à Toronto (Ontario). Ses prochains projets sont d’amener Walls to the Balls à St. John’s et à Saskatoon et What I Talk About When I Talk About Weaving à WARC à Toronto et de terminer un roman graphique intitulé Pattern Slander: A semiautobiographical account of disease, shit and repeat-patterns
Montréal (Québec) H2W 1Z3