Commissaire : Marie-Hélène Leblanc
Conférence de Mirna Boyadjian et vernissage le mercredi 10 janvier à 17h
Atelier de réflexion le 2 février à partir de 13h avec plusieurs conférenciers invités
Vidéoconférence consiste à la présentation de l’œuvre The Pixelated Revolution, 2012, dans la forme d’une installation vidéo (Part I of the series The Fall of a Hair, 2012), de l’artiste libanais Rabih Mroué. En 2011, l’artiste élabore une série d’œuvres qui abordent frontalement le rôle des écrans dans la révolution syrienne. Plutôt que de fournir l’explication de ce qui se passe, il opte plutôt pour une extrême déconstruction qui nous confronte à l’impossibilité paradoxale de tout « voir », même le moment le plus réel, c’est-à-dire la documentation de sa propre mort.
The Pixelated Revolution traite d’un changement important de paradigme dans la façon de rendre visibles les conflits, de diffuser l’information sur ces conflits et d’introduire une nouvelle forme de narrativité. Dans ce travail, les enjeux politiques occupent le deuxième plan, c’est le rôle des images en temps de guerre qui est le principal vecteur de l’œuvre. Bien qu’il ne s’agisse pas d’affirmer notre conviction dans la vérité de la représentation de la réalité, il est d’abord et avant tout question de la fonction des images comme acteurs de cette réalité. Dans le cadre de cette exposition, plusieurs conférenciers analyseront les différents enjeux reliés à cette œuvre.
Commissaire : Marie-Hélène Leblanc
Conférence de Mirna Boyadjian et vernissage le mercredi 10 janvier à 17h
Atelier de réflexion le 2 février à partir de 13h avec plusieurs conférenciers invités
Vidéoconférence consiste à la présentation de l’œuvre The Pixelated Revolution, 2012, dans la forme d’une installation vidéo (Part I of the series The Fall of a Hair, 2012), de l’artiste libanais Rabih Mroué. En 2011, l’artiste élabore une série d’œuvres qui abordent frontalement le rôle des écrans dans la révolution syrienne. Plutôt que de fournir l’explication de ce qui se passe, il opte plutôt pour une extrême déconstruction qui nous confronte à l’impossibilité paradoxale de tout « voir », même le moment le plus réel, c’est-à-dire la documentation de sa propre mort.
The Pixelated Revolution traite d’un changement important de paradigme dans la façon de rendre visibles les conflits, de diffuser l’information sur ces conflits et d’introduire une nouvelle forme de narrativité. Dans ce travail, les enjeux politiques occupent le deuxième plan, c’est le rôle des images en temps de guerre qui est le principal vecteur de l’œuvre. Bien qu’il ne s’agisse pas d’affirmer notre conviction dans la vérité de la représentation de la réalité, il est d’abord et avant tout question de la fonction des images comme acteurs de cette réalité. Dans le cadre de cette exposition, plusieurs conférenciers analyseront les différents enjeux reliés à cette œuvre.