La MAQ est fière de présenter sa toute première exposition consacrée à un unique projet en architec- ture de paysage, qui plus est en cours de réalisation! Déambulez, en temps réel et en toute exclusivité, au cœur du projet phare d’aménagement du quartier industriel de Griffintown conçu par l’agence NIPPAYSAGE, lauréate du concours pancanadien de design urbain lancé par la Ville de Montréal en 2011 et visant le réaménagement de la promenade Smith située aux abords du canal Lachine. Une chance unique de découvrir, bien avant son inauguration, l’arrière-scène du projet mis en valeur par les montages photographiques de l’architecte paysagiste et artiste Danièle Routaboule évoquant sa vision du quartier avec ses multiples strates historiques superposées. L’exposition s’accompagnera d’un Café des Z’A le 19 novembre sur le thème soulevé du maillage possible entre traces du passé et création innovatrice pour l’avenir…
Tandis que la mise à disposition des règlements et dessins du concours organisé par la Ville de Montréal permet de saisir les enjeux du projet et les critères de sélection du lauréat, une station multimédia donne à visionner les 25 panneaux du concours de la pro- menade Smith (dont ceux des 4 finalistes), montrant les multiples propositions élaborées, issues de la vision d’aménagement de cet espace public propre à chaque concurrent. Deux autres stations multimédia plongent le visiteur en plein cœur du projet Granny Smith de NIP- PAYSAGE grâce à un film en stop-motion du chantier en cours et à un diaporama-photo documentant l’état ac- tuel du projet et l’évolution paysagère du quartier par Danièle Routaboule. D’autres éléments ponctuels vien- nent compléter le portrait du projet avec une maquette du site ainsi que des échantillons de matériaux ayant servi au concept de la proposition. Finalement, des pan- neaux suspendus juxtaposent 19 estampes de Danièle Routaboule puis 16 images du projet de NIPPAYSAGE, afin d’illustrer les visions complémentaires des artistes sur les lieux.
La prémisse conceptuelle de la proposition de NIP- PAYSAGE intitulée Granny Smith s’inspire de la friche ferroviaire et de la puissance du règne végétal qui se réapproprie les lieux abandonnés par l’activité humaine. La série d’œuvres numériques Smith en friche de Danièle Routaboule, quant à elle, est le produit d’une interprétation artistique qui fut précédée d’une docu- mentation visuelle effectuée sur le secteur depuis quatre années et qui intègre également des documents d’archives. L’exploration visuelle met en lumière trois vestiges architecturaux du riche passé industriel de Griffintown et l’interprétation artistique nous fait éga- lement pénétrer dans l’ambiance actuelle des lieux pour en faire ressortir le caractère, la mouvance et la métamorphose. L’exposition dévoile ainsi le futur des lieux tout en mettant particulièrement en évidence la dualité entre le passé, le présent et le futur, le réel et l’imaginaire, le tangible et l’intangible. Elle évoque les strates d’histoires qui se sont superposées dans ce paysage en pleine mutation.
Marquant un temps d’arrêt entre passé, présent, futur, l’exposition nous convie à une réflexion sur ce qu’est un véritable quartier et lieu de vie et ce qui est important de dévoiler de ce passé pour le bénéfice des générations futures. Elle nous invite également à nous questionner sur les processus de travail et démarches intellectuelles susceptibles de nous éclairer à cet égard.
Notez qu’une présentation dynamique de type 20 images x 20 secondes sera organisée à la MAQ le jeudi 15 janvier 2015 sous la direction de Bernard St-Denis, professeur à l’École d’architecture de paysage de l’Université de Montréal. Ses étudiants présenteront les propositions paysagères élaborées pour Griffintown à l’occasion de deux ateliers tenus récem- ment à l’École d’architecture de paysage.
Biographies
NIPPAYSAGE
Fondé en 2001 par cinq diplômés de l’Université de Mont- réal (Mathieu Casavant, France Cormier, Josée Labelle, Michel Langevin, Mélanie Mignault), NIPPAYSAGE figure en tête d’une nouvelle vague d’architectes paysagistes. Après avoir participé à plusieurs projets internationaux aux côtés de Martha Schwartz inc. et Hargreaves Associates, les fondateurs de NIP font souche à Montréal pour apporter un regard neuf et audacieux sur le champ d’action de l’architecte paysagiste.
Le nom NIPPAYSAGE traduit le souci de révéler le carac- tère identitaire de chacun des lieux d’intervention. NIP vise ainsi à dévoiler le sens propre du milieu sur lequel il œuvre. Son processus de conception se définit par une ap- proche collective enrichie par la multiplication de points de vue. Cette ouverture permet d’établir des choix éclai- rés et d’attribuer à chaque projet une idée forte capable d’orienter clairement les diverses composantes dans une réponse cohérente. Ambitieux d’offrir une vision renou- velée de la profession, le travail de NIPPAYSAGE propose des environnements alliant force conceptuelle, approche durable et souci du détail dans la construction.
NIPPAYSAGE dessert une clientèle diversifiée développant des projets de types et d’échelles variés. Les activités du bureau vont de la conception à la réalisation et son large éventail d’interventions porte sur la redéfinition de l’espace public dans une vision contemporaine, tournée vers l’avenir. Dans cette optique, NIP travaille entre autres sur des mandats de planification et de développement urbain, d’études paysagères, d’aménagement de parcs publics, d’axes routiers, d’aires de jeu pour enfants, de jardins institutionnels ainsi que sur la réalisation d’installations diverses. L’agence a réalisé des projets au Canada, aux États-Unis, en France, en Italie, en Chine, au Royaume-Uni, en Équateur, au Mexique, en Inde et au Pays-Bas. Grâce à l’intérêt que suscite son travail à l’échelle nationale et internationale, l’équipe est invitée à donner diverses conférences sur sa pratique, à participer à de nombreux concours d’aménagement et à enseigner des ateliers d’architecture de paysage à l’Université de Montréal.
Danièle Routaboule
Architecte paysagiste, elle a tout au long de sa carrière de praticienne et de professeure titulaire à l’Université de Montréal, développé en parallèle le dessin, la peinture et la photographie.
Sa pratique en art est liée à ses expériences en architec- ture de paysage. Dans les deux cas le croquis in situ et la photographie effectués sous différents éclairages lui ser- vent de révélateurs et de point de départ à l’intervention ou à la création. Se consacrant à des explorations visuelles à partir des nouvelles technologies numériques, elle utilise parfois la photo telle qu’elle, mais réalise plus couramment des montages (collages, dessins, écritures et peinture nu- mériques).
Ses productions et recherches scrutent les notions de temps, de mouvements, de passages et de métamor- phoses. Tout comme dans le domaine de l’intervention en architecture de paysage ses champs d’investigations en art visuel sont vastes et portent aussi bien sur la grande nature, sur des éléments du paysage, que sur les ensembles urbains et architecturaux.
Elle s’attache à mettre en valeur les scènes observées en faisant ressortir leurs transformations et dématérialisa- tions sous l’effet de jeux d’ombre ou de lumière, du vent, du temps ou d’un processus naturel, ou bien encore sous l’effet des actions humaines. De ces explorations naissent des questionnements et des perceptions nouvelles.
Développant actuellement une approche sur la dyna- mique des paysages urbains de Griffintown à Montréal, elle y explore la manière de représenter le passage du temps par des juxtapositions et superpositions d’images et d’informations, incluant des photos et documents d’archives.
Elle expose régulièrement à Montréal, Toronto et à l’étran- ger, a reçu prix et distinctions, et plusieurs de ses œuvres ont été remarquées entre autres aux États-Unis et en France et font partie de collections privées.
La MAQ est fière de présenter sa toute première exposition consacrée à un unique projet en architec- ture de paysage, qui plus est en cours de réalisation! Déambulez, en temps réel et en toute exclusivité, au cœur du projet phare d’aménagement du quartier industriel de Griffintown conçu par l’agence NIPPAYSAGE, lauréate du concours pancanadien de design urbain lancé par la Ville de Montréal en 2011 et visant le réaménagement de la promenade Smith située aux abords du canal Lachine. Une chance unique de découvrir, bien avant son inauguration, l’arrière-scène du projet mis en valeur par les montages photographiques de l’architecte paysagiste et artiste Danièle Routaboule évoquant sa vision du quartier avec ses multiples strates historiques superposées. L’exposition s’accompagnera d’un Café des Z’A le 19 novembre sur le thème soulevé du maillage possible entre traces du passé et création innovatrice pour l’avenir…
Tandis que la mise à disposition des règlements et dessins du concours organisé par la Ville de Montréal permet de saisir les enjeux du projet et les critères de sélection du lauréat, une station multimédia donne à visionner les 25 panneaux du concours de la pro- menade Smith (dont ceux des 4 finalistes), montrant les multiples propositions élaborées, issues de la vision d’aménagement de cet espace public propre à chaque concurrent. Deux autres stations multimédia plongent le visiteur en plein cœur du projet Granny Smith de NIP- PAYSAGE grâce à un film en stop-motion du chantier en cours et à un diaporama-photo documentant l’état ac- tuel du projet et l’évolution paysagère du quartier par Danièle Routaboule. D’autres éléments ponctuels vien- nent compléter le portrait du projet avec une maquette du site ainsi que des échantillons de matériaux ayant servi au concept de la proposition. Finalement, des pan- neaux suspendus juxtaposent 19 estampes de Danièle Routaboule puis 16 images du projet de NIPPAYSAGE, afin d’illustrer les visions complémentaires des artistes sur les lieux.
La prémisse conceptuelle de la proposition de NIP- PAYSAGE intitulée Granny Smith s’inspire de la friche ferroviaire et de la puissance du règne végétal qui se réapproprie les lieux abandonnés par l’activité humaine. La série d’œuvres numériques Smith en friche de Danièle Routaboule, quant à elle, est le produit d’une interprétation artistique qui fut précédée d’une docu- mentation visuelle effectuée sur le secteur depuis quatre années et qui intègre également des documents d’archives. L’exploration visuelle met en lumière trois vestiges architecturaux du riche passé industriel de Griffintown et l’interprétation artistique nous fait éga- lement pénétrer dans l’ambiance actuelle des lieux pour en faire ressortir le caractère, la mouvance et la métamorphose. L’exposition dévoile ainsi le futur des lieux tout en mettant particulièrement en évidence la dualité entre le passé, le présent et le futur, le réel et l’imaginaire, le tangible et l’intangible. Elle évoque les strates d’histoires qui se sont superposées dans ce paysage en pleine mutation.
Marquant un temps d’arrêt entre passé, présent, futur, l’exposition nous convie à une réflexion sur ce qu’est un véritable quartier et lieu de vie et ce qui est important de dévoiler de ce passé pour le bénéfice des générations futures. Elle nous invite également à nous questionner sur les processus de travail et démarches intellectuelles susceptibles de nous éclairer à cet égard.
Notez qu’une présentation dynamique de type 20 images x 20 secondes sera organisée à la MAQ le jeudi 15 janvier 2015 sous la direction de Bernard St-Denis, professeur à l’École d’architecture de paysage de l’Université de Montréal. Ses étudiants présenteront les propositions paysagères élaborées pour Griffintown à l’occasion de deux ateliers tenus récem- ment à l’École d’architecture de paysage.
Biographies
NIPPAYSAGE
Fondé en 2001 par cinq diplômés de l’Université de Mont- réal (Mathieu Casavant, France Cormier, Josée Labelle, Michel Langevin, Mélanie Mignault), NIPPAYSAGE figure en tête d’une nouvelle vague d’architectes paysagistes. Après avoir participé à plusieurs projets internationaux aux côtés de Martha Schwartz inc. et Hargreaves Associates, les fondateurs de NIP font souche à Montréal pour apporter un regard neuf et audacieux sur le champ d’action de l’architecte paysagiste.
Le nom NIPPAYSAGE traduit le souci de révéler le carac- tère identitaire de chacun des lieux d’intervention. NIP vise ainsi à dévoiler le sens propre du milieu sur lequel il œuvre. Son processus de conception se définit par une ap- proche collective enrichie par la multiplication de points de vue. Cette ouverture permet d’établir des choix éclai- rés et d’attribuer à chaque projet une idée forte capable d’orienter clairement les diverses composantes dans une réponse cohérente. Ambitieux d’offrir une vision renou- velée de la profession, le travail de NIPPAYSAGE propose des environnements alliant force conceptuelle, approche durable et souci du détail dans la construction.
NIPPAYSAGE dessert une clientèle diversifiée développant des projets de types et d’échelles variés. Les activités du bureau vont de la conception à la réalisation et son large éventail d’interventions porte sur la redéfinition de l’espace public dans une vision contemporaine, tournée vers l’avenir. Dans cette optique, NIP travaille entre autres sur des mandats de planification et de développement urbain, d’études paysagères, d’aménagement de parcs publics, d’axes routiers, d’aires de jeu pour enfants, de jardins institutionnels ainsi que sur la réalisation d’installations diverses. L’agence a réalisé des projets au Canada, aux États-Unis, en France, en Italie, en Chine, au Royaume-Uni, en Équateur, au Mexique, en Inde et au Pays-Bas. Grâce à l’intérêt que suscite son travail à l’échelle nationale et internationale, l’équipe est invitée à donner diverses conférences sur sa pratique, à participer à de nombreux concours d’aménagement et à enseigner des ateliers d’architecture de paysage à l’Université de Montréal.
Danièle Routaboule
Architecte paysagiste, elle a tout au long de sa carrière de praticienne et de professeure titulaire à l’Université de Montréal, développé en parallèle le dessin, la peinture et la photographie.
Sa pratique en art est liée à ses expériences en architec- ture de paysage. Dans les deux cas le croquis in situ et la photographie effectués sous différents éclairages lui ser- vent de révélateurs et de point de départ à l’intervention ou à la création. Se consacrant à des explorations visuelles à partir des nouvelles technologies numériques, elle utilise parfois la photo telle qu’elle, mais réalise plus couramment des montages (collages, dessins, écritures et peinture nu- mériques).
Ses productions et recherches scrutent les notions de temps, de mouvements, de passages et de métamor- phoses. Tout comme dans le domaine de l’intervention en architecture de paysage ses champs d’investigations en art visuel sont vastes et portent aussi bien sur la grande nature, sur des éléments du paysage, que sur les ensembles urbains et architecturaux.
Elle s’attache à mettre en valeur les scènes observées en faisant ressortir leurs transformations et dématérialisa- tions sous l’effet de jeux d’ombre ou de lumière, du vent, du temps ou d’un processus naturel, ou bien encore sous l’effet des actions humaines. De ces explorations naissent des questionnements et des perceptions nouvelles.
Développant actuellement une approche sur la dyna- mique des paysages urbains de Griffintown à Montréal, elle y explore la manière de représenter le passage du temps par des juxtapositions et superpositions d’images et d’informations, incluant des photos et documents d’archives.
Elle expose régulièrement à Montréal, Toronto et à l’étran- ger, a reçu prix et distinctions, et plusieurs de ses œuvres ont été remarquées entre autres aux États-Unis et en France et font partie de collections privées.
Sutton (Québec)
Canada (Québec) JOE 2K0