VERTIGE : Sensation subjective erronée, en vertu de laquelle le malade croit tourner alors qu’il est immobile ou voir tourner les objets environnants alors qu’ils sont fixes. Quand le vertige est très accentué, il peut déterminer la chute du sujet, s’il est debout.
CAUSES : un changement brusque d’attitude, de direction, de mouvement, une ascension rapide vers un lieu élevé, le fait de regarder en bas suffisent à donner le vertige à certains sujets.
‘’Je marche sur une corde raide, je chambranle, je bascule, je vire et me rattrape. Je tends l’oreille, j’écoute et je ne comprends rien. Je me roule en boule. Je me projette, je glisse et retombe sur mes pattes… Je me tiens debout. Tout juste.’’
Vertiges propose le journal de survie d’un monde s’écroule. Dans ses collages d’encre sur papier de riz, Annie Beaugrand-Champagne dépeint l’effort de résister dans un monde qui bouge, se désarticule et se transforme. Le déséquilibre de la forme se joint à l’aléatoire de la tache d’encre pour créer l’hésitation. Noir sur blanc tout fout le camp
VERTIGE : Sensation subjective erronée, en vertu de laquelle le malade croit tourner alors qu’il est immobile ou voir tourner les objets environnants alors qu’ils sont fixes. Quand le vertige est très accentué, il peut déterminer la chute du sujet, s’il est debout.
CAUSES : un changement brusque d’attitude, de direction, de mouvement, une ascension rapide vers un lieu élevé, le fait de regarder en bas suffisent à donner le vertige à certains sujets.
‘’Je marche sur une corde raide, je chambranle, je bascule, je vire et me rattrape. Je tends l’oreille, j’écoute et je ne comprends rien. Je me roule en boule. Je me projette, je glisse et retombe sur mes pattes… Je me tiens debout. Tout juste.’’
Vertiges propose le journal de survie d’un monde s’écroule. Dans ses collages d’encre sur papier de riz, Annie Beaugrand-Champagne dépeint l’effort de résister dans un monde qui bouge, se désarticule et se transforme. Le déséquilibre de la forme se joint à l’aléatoire de la tache d’encre pour créer l’hésitation. Noir sur blanc tout fout le camp