Dans le cadre de la 3e édition du programme de laboratoire-résidence
Verticale — centre d’artistes invite Stéphanie Nuckle, artiste de la relève d’origine lavalloise à participer à la 3e édition de son programme de laboratoire-résidence de création.
Cette année, le centre offre à l’artiste membre sélectionné la chance de prendre part à la désignation de son mentor. Pour l’élaboration de son projet de résidence, Stéphanie Nuckle a choisi l’artiste visuelle Caroline Boileau comme complice. Au cours de la résidence, les deux artistes se rencontrent régulièrement pour arpenter les quartiers Vimont et Chomedey à Laval, ainsi que pour partager lectures et discussions en vue de la présentation d’Habitat COMMODORE, une œuvre qui allie installation éphémère et performance participative.
La performance est suivie d’une présentation d’artistes et d’un vin de l’amitié.
Lieu : Terrain situé rue Jacques-Tétreault, entre le boul. L’Avenir et la rue Lucien-Paiement, en face de la station Montmorency et du campus de l’Université de Montréal à Laval.
Pour lire davantage : http://verticale.ca/programmes/stephanie-nuckle-habitat-commodore/
Stéphanie Nuckle
Originaire de Laval, Stéphanie Nuckle accorde une sensibilité particulière aux problématiques de la banlieue et aux développements de l’art actuel au sein de sa communauté. Sa démarche aborde une réflexion sur la consommation de masse et sur la notion de standardisation de l’image par le biais de la signalétique urbaine. C’est par les codes omniprésents qui régissent nos actions routinières et qui façonnent notre conception du monde qu’elle tente de leur donner un sens nouveau et ludique. Plus spécifiquement, elle leur donne un côté absurde afin de les détourner de leurs fonctions primaires entretenues par l’autorité en général.
Elle utilise la sérigraphie à travers diverses notions liées au multiple et à la série afin de favoriser l’apparition du hasard, de l’ambiguïté, du doute, de l’accident et des défectuosités. Composées majoritairement de papiers imprimés, ses installations proposent des cadres structurés dans lesquels se développe une narration et où les interactions entre le public et les performeur(e)s favorisent un espace de jeu.
Stéphanie Nuckle a obtenu un baccalauréat en arts visuels et médiatiques profil pratique à l’UQAM en 2015. Elle s’implique activement dans divers collectifs dont le projet Complot (13e édition) et Local 16, un collectif d’artistes émergents dont la mission vise à démocratiser l’art actuel en Montérégie. Récemment, elle a réalisé une résidence d’artiste à l’Atelier d’estampe IMAGO (Moncton).
Caroline Boileau
Caroline Boileau poursuit une réflexion sur le corps et la santé à travers une pratique qui conjugue l’action performative, le dessin, la vidéo et l’installation. Elle s’intéresse aux différentes façons d’habiter, de représenter et de parler du corps. Depuis 1995, elle a participé à plusieurs résidences au Canada et en Europe. Son travail a été présenté lors d’expositions au Canada, aux États-Unis, en Belgique, en Espagne, en Autriche, en Finlande, en Norvège et au Brésil. Elle détient une maitrise de l’université Concordia.
Elle a récemment présenté La peau entre les mondes, une performance sous forme de tableau vivant au Parc Walter-Stewart dans le cadre d’ODYSSÉE 2004-2014 diffusé par le centre Dare-Dare. En 2016, elle a présenté son travail en performance au centre Mobius à Boston ainsi que lors d’une résidence d’une semaine au Musée d’art de Joliette dans le cadre de l’exposition Le catalogue des futurs de Stéphane Gilot.
Durant l’année 2016-2017, elle est artiste en résidence au Pavillon des Sœurs Grises de l’Université Concordia où, tout en poursuivant sa recherche elle développe aussi des actions et interventions pour la communauté étudiante vivant dans le bâtiment. Durant la même période, elle partage aussi son temps avec la ville de Granby où elle réalise un projet de résidence de longue durée avec le 3e impérial, Centre d’essai en art actuel. Ce projet de résidence suscite une réflexion sur nos visions d’avenir, par un processus de collaboration et de création collective intergénérationnel.
Son travail en dessin est représenté par la Galerie Robert Poulin à Montréal et son travail en vidéo est diffusé par le GIV [Groupe intervention vidéo].
Dans le cadre de la 3e édition du programme de laboratoire-résidence
Verticale — centre d’artistes invite Stéphanie Nuckle, artiste de la relève d’origine lavalloise à participer à la 3e édition de son programme de laboratoire-résidence de création.
Cette année, le centre offre à l’artiste membre sélectionné la chance de prendre part à la désignation de son mentor. Pour l’élaboration de son projet de résidence, Stéphanie Nuckle a choisi l’artiste visuelle Caroline Boileau comme complice. Au cours de la résidence, les deux artistes se rencontrent régulièrement pour arpenter les quartiers Vimont et Chomedey à Laval, ainsi que pour partager lectures et discussions en vue de la présentation d’Habitat COMMODORE, une œuvre qui allie installation éphémère et performance participative.
La performance est suivie d’une présentation d’artistes et d’un vin de l’amitié.
Lieu : Terrain situé rue Jacques-Tétreault, entre le boul. L’Avenir et la rue Lucien-Paiement, en face de la station Montmorency et du campus de l’Université de Montréal à Laval.
Pour lire davantage : http://verticale.ca/programmes/stephanie-nuckle-habitat-commodore/
Stéphanie Nuckle
Originaire de Laval, Stéphanie Nuckle accorde une sensibilité particulière aux problématiques de la banlieue et aux développements de l’art actuel au sein de sa communauté. Sa démarche aborde une réflexion sur la consommation de masse et sur la notion de standardisation de l’image par le biais de la signalétique urbaine. C’est par les codes omniprésents qui régissent nos actions routinières et qui façonnent notre conception du monde qu’elle tente de leur donner un sens nouveau et ludique. Plus spécifiquement, elle leur donne un côté absurde afin de les détourner de leurs fonctions primaires entretenues par l’autorité en général.
Elle utilise la sérigraphie à travers diverses notions liées au multiple et à la série afin de favoriser l’apparition du hasard, de l’ambiguïté, du doute, de l’accident et des défectuosités. Composées majoritairement de papiers imprimés, ses installations proposent des cadres structurés dans lesquels se développe une narration et où les interactions entre le public et les performeur(e)s favorisent un espace de jeu.
Stéphanie Nuckle a obtenu un baccalauréat en arts visuels et médiatiques profil pratique à l’UQAM en 2015. Elle s’implique activement dans divers collectifs dont le projet Complot (13e édition) et Local 16, un collectif d’artistes émergents dont la mission vise à démocratiser l’art actuel en Montérégie. Récemment, elle a réalisé une résidence d’artiste à l’Atelier d’estampe IMAGO (Moncton).
Caroline Boileau
Caroline Boileau poursuit une réflexion sur le corps et la santé à travers une pratique qui conjugue l’action performative, le dessin, la vidéo et l’installation. Elle s’intéresse aux différentes façons d’habiter, de représenter et de parler du corps. Depuis 1995, elle a participé à plusieurs résidences au Canada et en Europe. Son travail a été présenté lors d’expositions au Canada, aux États-Unis, en Belgique, en Espagne, en Autriche, en Finlande, en Norvège et au Brésil. Elle détient une maitrise de l’université Concordia.
Elle a récemment présenté La peau entre les mondes, une performance sous forme de tableau vivant au Parc Walter-Stewart dans le cadre d’ODYSSÉE 2004-2014 diffusé par le centre Dare-Dare. En 2016, elle a présenté son travail en performance au centre Mobius à Boston ainsi que lors d’une résidence d’une semaine au Musée d’art de Joliette dans le cadre de l’exposition Le catalogue des futurs de Stéphane Gilot.
Durant l’année 2016-2017, elle est artiste en résidence au Pavillon des Sœurs Grises de l’Université Concordia où, tout en poursuivant sa recherche elle développe aussi des actions et interventions pour la communauté étudiante vivant dans le bâtiment. Durant la même période, elle partage aussi son temps avec la ville de Granby où elle réalise un projet de résidence de longue durée avec le 3e impérial, Centre d’essai en art actuel. Ce projet de résidence suscite une réflexion sur nos visions d’avenir, par un processus de collaboration et de création collective intergénérationnel.
Son travail en dessin est représenté par la Galerie Robert Poulin à Montréal et son travail en vidéo est diffusé par le GIV [Groupe intervention vidéo].
Laval (Québec) H7N 2W6