FLORINE LEONI / SYLVAIN BAUMANN
Persistance
Galerie I
Élément central de l’installation, l’échafaudage instaure différentes formes de contrastes qui, malgré leur forte présence matérielle, sont dominées par une charge métaphorique. C’est ainsi que le filet noir qui se rattache à la structure statique, laissant par endroits traverser la lumière, superpose une autre grille de lecture, une autre manière de filtrer. Plus flexible, mais aussi plus obscure, le filet participe à la force magnétique que semble dégager l’ensemble. Cet amalgame fonctionne à la manière d’une entité haptique capable d’attirer les objets les plus divers, d’en saisir certains au passage et de les garder captifs.
DOMINIQUE SIROIS
L’amour et la guerre
Galerie II
Dans un univers noir et blanc où la sévérité de l’acier est amplifiée par la parade de son éclat froid, Sirois met en scène deux mannequins habillés de cottes de mailles artisanales entourés de part et d’autre par une tapisserie tirée d’un photomontage publicitaire et un étalage courant de produits de beauté. (…) Avec cette nouvelle installation, Sirois examine les dualités immanentes de l’univers économique. S’opposent dans son oeuvre, les identités aux marchés et les matières aux produits, mais sans démonstration de brutalité.
FLORINE LEONI / SYLVAIN BAUMANN
Persistance
Galerie I
Élément central de l’installation, l’échafaudage instaure différentes formes de contrastes qui, malgré leur forte présence matérielle, sont dominées par une charge métaphorique. C’est ainsi que le filet noir qui se rattache à la structure statique, laissant par endroits traverser la lumière, superpose une autre grille de lecture, une autre manière de filtrer. Plus flexible, mais aussi plus obscure, le filet participe à la force magnétique que semble dégager l’ensemble. Cet amalgame fonctionne à la manière d’une entité haptique capable d’attirer les objets les plus divers, d’en saisir certains au passage et de les garder captifs.
DOMINIQUE SIROIS
L’amour et la guerre
Galerie II
Dans un univers noir et blanc où la sévérité de l’acier est amplifiée par la parade de son éclat froid, Sirois met en scène deux mannequins habillés de cottes de mailles artisanales entourés de part et d’autre par une tapisserie tirée d’un photomontage publicitaire et un étalage courant de produits de beauté. (…) Avec cette nouvelle installation, Sirois examine les dualités immanentes de l’univers économique. S’opposent dans son oeuvre, les identités aux marchés et les matières aux produits, mais sans démonstration de brutalité.
Montréal (Québec) H3B 1A2