Florine Leoni / Sylvain Baumann, Pierre Baumann
BLIND SPOT
Du 24 mars au 2 mai 2010
Vernissage le mercredi 24 mars 2010, 18h30
« Blind Spot découle d’une situation dans laquelle nous nous sommes retrouvés, dans une cafétéria sous-terraine d’un centre commercial d’ottawa. de cet endroit se dégagent un inconfort et une monotonie, à laquelle nous sommes quotidiennement confrontés, au point que nous ne la voyons plus. » SB/Fl
Salle d’entraînement sportif, salle d’attente, grands espaces de bureau subdivisés de manière schématique, espaces publics de circulation, etc : ces espaces qui ont pour fonction d’organiser leurs utilisateurs, Sylvain Baumann et Florine leoni les utilisent pour questionner la nature du model humain qui a été pris en considération lors de la confection de ces lieux. Blind Spot ne tente pas de reproduire un lieu particulier, mais au contraire, une synthèse de ces différents espaces, à travers laquelle est proposée une critique des structures physiques et virtuelles qui s’imposent à l’homme comme guides comportementaux.
En parallèle sera présenté le travail de Pierre Baumann dont le projet prend appui sur la formule d’Herman Melville « I would prefer not to… ». Il s’agit, là encore, d’interroger les processus de dépersonnalisation et d’effacement de nos espaces contemporains.
Robbin Deyo
Imaging the invisible
Du 24 mars au 2 mai 2010
Vernissage le mercredi 24 mars, 18h30
Pour son exposition Imaging the invisible, Robbin Deyo utilisera des lignes de couleur hautement saturées pour suggérer, de manière poétique, et rendre visibles les énergies qui remplissent les espaces publics et privés que nous habitons; surchargés, dans notre ère technologique, d’invisibles vibrations de champs magnétiques transmises sous forme d’ondes radio, de micro-ondes, etc.
Ce projet prend sa source dans un questionnement autour de l’hygiène et des effets que ce nouvel environnement peut avoir sur notre bien-être. Il fait suite à un premier travail mural in situ Flow (2009) où l’artiste a délimité la surface irrégulière de la galerie de La Chambre Blanche par des traits obtenus avec le jouet Super Spirographe. Les lignes droites et ondulatoires créaient un environnement décoratif suggérant des strates comme si la pièce vide avait été creusée dans une forme solide en même temps qu’elles soulignaient certains détails et modifiaient l’expérience de l’espace.
Ce même soir ( le 24 mars ), DAÏMÕN présente :
Films d’actions de Mathieu Latulippe
au Studiõ de DAÏMÕN
Florine Leoni / Sylvain Baumann, Pierre Baumann
BLIND SPOT
Du 24 mars au 2 mai 2010
Vernissage le mercredi 24 mars 2010, 18h30
« Blind Spot découle d’une situation dans laquelle nous nous sommes retrouvés, dans une cafétéria sous-terraine d’un centre commercial d’ottawa. de cet endroit se dégagent un inconfort et une monotonie, à laquelle nous sommes quotidiennement confrontés, au point que nous ne la voyons plus. » SB/Fl
Salle d’entraînement sportif, salle d’attente, grands espaces de bureau subdivisés de manière schématique, espaces publics de circulation, etc : ces espaces qui ont pour fonction d’organiser leurs utilisateurs, Sylvain Baumann et Florine leoni les utilisent pour questionner la nature du model humain qui a été pris en considération lors de la confection de ces lieux. Blind Spot ne tente pas de reproduire un lieu particulier, mais au contraire, une synthèse de ces différents espaces, à travers laquelle est proposée une critique des structures physiques et virtuelles qui s’imposent à l’homme comme guides comportementaux.
En parallèle sera présenté le travail de Pierre Baumann dont le projet prend appui sur la formule d’Herman Melville « I would prefer not to… ». Il s’agit, là encore, d’interroger les processus de dépersonnalisation et d’effacement de nos espaces contemporains.
Robbin Deyo
Imaging the invisible
Du 24 mars au 2 mai 2010
Vernissage le mercredi 24 mars, 18h30
Pour son exposition Imaging the invisible, Robbin Deyo utilisera des lignes de couleur hautement saturées pour suggérer, de manière poétique, et rendre visibles les énergies qui remplissent les espaces publics et privés que nous habitons; surchargés, dans notre ère technologique, d’invisibles vibrations de champs magnétiques transmises sous forme d’ondes radio, de micro-ondes, etc.
Ce projet prend sa source dans un questionnement autour de l’hygiène et des effets que ce nouvel environnement peut avoir sur notre bien-être. Il fait suite à un premier travail mural in situ Flow (2009) où l’artiste a délimité la surface irrégulière de la galerie de La Chambre Blanche par des traits obtenus avec le jouet Super Spirographe. Les lignes droites et ondulatoires créaient un environnement décoratif suggérant des strates comme si la pièce vide avait été creusée dans une forme solide en même temps qu’elles soulignaient certains détails et modifiaient l’expérience de l’espace.
Ce même soir ( le 24 mars ), DAÏMÕN présente :
Films d’actions de Mathieu Latulippe
au Studiõ de DAÏMÕN
Gatineau (Québec) J8Y 3M5