Gatineau le 10 janvier 2012. Le 1er janvier 2012, la Filature, ainsi que le centre d’artistes AXENÉO7 et le Centre de production DaÏmõn qui y sont hébergés, ont été victime d’une importante inondation causée par une défectuosité du système de gicleurs. Après une intervention rapide des pompiers de Gatineau pour arrêter l’hémorragie, des membres du conseil d’administration et des employés des organismes ont passé une bonne partie du jour de l’An à évacuer l’eau. Cette rapide intervention a permis de minimiser les dégâts au bâtiment patrimonial restauré en 2002.
Selon les premières constatations, les dommages au bâtiment ne mettent aucunement sa vie en danger. Une des trois salles d’exposition d’AXENÉO7 a été particulièrement touchée et l’installation de Hugo Gaudet Dion inaugurée le 14 décembre dernier et qui devait y être présentée jusqu’au 5 février, a été complètement détruite. L’exposition de Stéphanie Chabot présentée en même temps dans une autre salle a, quant à elle, échappé au sinistre. Le centre d’artiste AXENÉO7 espère reprendre rapidement ses activités normales et préparer la prochaine exposition prévue en février avec les artistes Rober Racine et Karina Pawlikowski.
Le centre de production DaÏmõn a subi de sérieux dommages. Son Studio, ses salles de production et ses archives ont été généreusement arrosés et la plupart de ses équipements sont une perte totale. Ses bureaux devraient réouvrir sous peu dès que l’état des lieux le permettra mais ses activités artistiques sont suspendues pour une période indéterminée pendant laquelle les ressources du Centre seront affectées à la remise en état de ses ateliers de production et au remplacement des équipements détruits par l’eau.
Cet événement fortuit est un coup dur pour La filature et les deux organismes artistiques qui se préparent à fêter leurs dix ans dans l’édifice patrimonial de la rue Hanson à Gatineau. Les assurances devraient couvrir une bonne partie des dommages et des pertes mais on y perd toujours, sans compter le courage et l’énergie qu’il faudra déployer pour tout remettre en marche. Cependant, les artistes et les organismes se sont vite retrouss
Gatineau le 10 janvier 2012. Le 1er janvier 2012, la Filature, ainsi que le centre d’artistes AXENÉO7 et le Centre de production DaÏmõn qui y sont hébergés, ont été victime d’une importante inondation causée par une défectuosité du système de gicleurs. Après une intervention rapide des pompiers de Gatineau pour arrêter l’hémorragie, des membres du conseil d’administration et des employés des organismes ont passé une bonne partie du jour de l’An à évacuer l’eau. Cette rapide intervention a permis de minimiser les dégâts au bâtiment patrimonial restauré en 2002.
Selon les premières constatations, les dommages au bâtiment ne mettent aucunement sa vie en danger. Une des trois salles d’exposition d’AXENÉO7 a été particulièrement touchée et l’installation de Hugo Gaudet Dion inaugurée le 14 décembre dernier et qui devait y être présentée jusqu’au 5 février, a été complètement détruite. L’exposition de Stéphanie Chabot présentée en même temps dans une autre salle a, quant à elle, échappé au sinistre. Le centre d’artiste AXENÉO7 espère reprendre rapidement ses activités normales et préparer la prochaine exposition prévue en février avec les artistes Rober Racine et Karina Pawlikowski.
Le centre de production DaÏmõn a subi de sérieux dommages. Son Studio, ses salles de production et ses archives ont été généreusement arrosés et la plupart de ses équipements sont une perte totale. Ses bureaux devraient réouvrir sous peu dès que l’état des lieux le permettra mais ses activités artistiques sont suspendues pour une période indéterminée pendant laquelle les ressources du Centre seront affectées à la remise en état de ses ateliers de production et au remplacement des équipements détruits par l’eau.
Cet événement fortuit est un coup dur pour La filature et les deux organismes artistiques qui se préparent à fêter leurs dix ans dans l’édifice patrimonial de la rue Hanson à Gatineau. Les assurances devraient couvrir une bonne partie des dommages et des pertes mais on y perd toujours, sans compter le courage et l’énergie qu’il faudra déployer pour tout remettre en marche. Cependant, les artistes et les organismes se sont vite retrouss