Depuis les dix dernières années, je produis de larges broderies murales à caractère narratif et figuratif. Plus récemment, mon travail s’inspire de l’art primitif, de l’art marginal et de l’art des enfants. J’aime la franchise qui s’en dégage, ainsi que leur capacité à communiquer une émotion à un large public.
Je rassemble souvent des textes et autres écrits provenant de diverses sources, par exemple, d’amis et de membres de la famille, de différentes scènes culturelles de mon nouvel environnement au Nouveau-Brunswick, ou encore, de mes premières expériences traditionnelles hongroises dont je me souviens encore très vivement. Ils deviennent alors une sorte de journal intime sur tissu, composé de dessins, photographies et autres fragments visuels de mon passé et de mon présent.
En principe, je fais de la broderie à l’aiguille. Cette vieille technique bien connue, quoique lente parfois, me fascine car j’aspire à lui transmettre une signification contemporaine. En travaillant à une plus grande échelle, je conçois une broderie murale imprégnée de son héritage, tout en gardant des liens avec le médium de la peinture et du dessin.
À partir de vieux fragments de textile, de tissus trouvés ou de vêtements, je crée, en les superposant, un motif de base intéressant pour mes broderies. Il en résulte une courtepointe kantha traditionnelle, broderie indienne, dont l’arrière-plan est finalisé par des points de couture faufilés pour créer une surface plane.
Anna Torma est une artiste internationale. Elle a présenté ses oeuvres dans de nombreuses galeries .Pour n’en nommer que quelques-unes, citons : Fables, Rebecca Hossack Art Gallery, Londres, Angleterre (2008); Art gallery of Hamilton, Ontario (2006); Art Gallery, Sackville, N.B. (2004), etc. Elle a obtenu de nombreux prix et récompense : Stasthbutler Award (2008), le City of Tournai Prize, Dia-Logue, Tournai, Belgique (2008), la Bourse UNESCO de la fondation Aschberg (2005) et le Chalmers Visual Art Fellowship (2002).
Depuis les dix dernières années, je produis de larges broderies murales à caractère narratif et figuratif. Plus récemment, mon travail s’inspire de l’art primitif, de l’art marginal et de l’art des enfants. J’aime la franchise qui s’en dégage, ainsi que leur capacité à communiquer une émotion à un large public.
Je rassemble souvent des textes et autres écrits provenant de diverses sources, par exemple, d’amis et de membres de la famille, de différentes scènes culturelles de mon nouvel environnement au Nouveau-Brunswick, ou encore, de mes premières expériences traditionnelles hongroises dont je me souviens encore très vivement. Ils deviennent alors une sorte de journal intime sur tissu, composé de dessins, photographies et autres fragments visuels de mon passé et de mon présent.
En principe, je fais de la broderie à l’aiguille. Cette vieille technique bien connue, quoique lente parfois, me fascine car j’aspire à lui transmettre une signification contemporaine. En travaillant à une plus grande échelle, je conçois une broderie murale imprégnée de son héritage, tout en gardant des liens avec le médium de la peinture et du dessin.
À partir de vieux fragments de textile, de tissus trouvés ou de vêtements, je crée, en les superposant, un motif de base intéressant pour mes broderies. Il en résulte une courtepointe kantha traditionnelle, broderie indienne, dont l’arrière-plan est finalisé par des points de couture faufilés pour créer une surface plane.
Anna Torma est une artiste internationale. Elle a présenté ses oeuvres dans de nombreuses galeries .Pour n’en nommer que quelques-unes, citons : Fables, Rebecca Hossack Art Gallery, Londres, Angleterre (2008); Art gallery of Hamilton, Ontario (2006); Art Gallery, Sackville, N.B. (2004), etc. Elle a obtenu de nombreux prix et récompense : Stasthbutler Award (2008), le City of Tournai Prize, Dia-Logue, Tournai, Belgique (2008), la Bourse UNESCO de la fondation Aschberg (2005) et le Chalmers Visual Art Fellowship (2002).