SCULPTURE, SON ET IMAGE
Depuis le début de sa pratique en 1983, Michel Archambault s’est intéressé à mettre la sculpture en parallèle avec différentes disciplines : photographie, peinture, son, textile et vidéo. À ce travail interdisciplinaire s’est associée l’utilisation de divers matériaux bruts, faits main et machinés; toutes ces composantes lui ont permis de penser l’objet sculptural, sa place dans l’espace et sa force d’évocation en relation avec le corps en termes intérieur-extérieur, à l’habitat, ce qui l’habille, le constitue, à l’émotion qui l’habite. « À Frontenac, mon intention est de donner une intensité au lieu et à la lecture des œuvres, chercher à scénariser l’espace pour transmettre l’énergie du travail d’atelier au lieu d’exposition ».
SCULPTURE, SON ET IMAGE
Depuis le début de sa pratique en 1983, Michel Archambault s’est intéressé à mettre la sculpture en parallèle avec différentes disciplines : photographie, peinture, son, textile et vidéo. À ce travail interdisciplinaire s’est associée l’utilisation de divers matériaux bruts, faits main et machinés; toutes ces composantes lui ont permis de penser l’objet sculptural, sa place dans l’espace et sa force d’évocation en relation avec le corps en termes intérieur-extérieur, à l’habitat, ce qui l’habille, le constitue, à l’émotion qui l’habite. « À Frontenac, mon intention est de donner une intensité au lieu et à la lecture des œuvres, chercher à scénariser l’espace pour transmettre l’énergie du travail d’atelier au lieu d’exposition ».