ESPACE F
du 22 juin au 29 juillet 2007
(TRANS.FER)
marie-eve dompierre
À la façon du ferrotype mais avec le recours au négatif et à la
chambre noire, Marie-Ève Dompierre fixe sur des plaques de
fer des portraits de personnages fictifs campés en des temps
et des lieux qui semblent révolus ou incongrus. Ces personnages
tiennent souvent des poses empruntées qui vont au-delà
de leurs déguisements; ils posent souvent des gestes dont la
pertinence suit on ne sait quel fil. Leurs propres regards sont
des fois masqués, dautres fois sollicités par ailleurs. Toutes
ces situations plantées sur des arrières-plans confèrent une
enveloppe intrigante à la scène.
Marie-Eve Dompierre caractérise ainsi ces oeuvres récentes :
« Bien quayant lapparence dimages anciennes, il sagit plutôt
de portraits modernes imprégnés de lessence habitant le ferrotype.
Chacune des images comporte un personnage mis
en scène dans un univers imaginaire qui lui est propre. Elles
sont la résultante dun transfert onirique entre le présent et
le passé, là où des contemporains ont été déplacés dans un
monde chimérique et trouble du passé. »
Après avoir terminé des études en photographie au Cégep de
Matane en 2002, Marie-Eve Dompierre sassocie à dautres
diplômés du collège et fonde lannée suivante le Groupe
dintervention photo-vidéo. Le GIPV réalisera 40 ans de développement,
la péninsule en réflexion, projet qui donnera lieu à
de nombreuses expositions. Elle reçoit en 2005 une bourse
du Fonds du Bas-Saint-Laurent pour les arts et les lettres pour
la réalisation de (trans.fer). Elle vit et travaille à Montréal.
Le vernissage aura lieu le vendredi 22 juin à 17 h en présence
de lartiste. Lexposition se poursuit jusquau 29 juillet 2007. La
galerie ESPACE F est ouverte tous les jours de 13 h à 17 h.
ESPACE F
du 22 juin au 29 juillet 2007
(TRANS.FER)
marie-eve dompierre
À la façon du ferrotype mais avec le recours au négatif et à la
chambre noire, Marie-Ève Dompierre fixe sur des plaques de
fer des portraits de personnages fictifs campés en des temps
et des lieux qui semblent révolus ou incongrus. Ces personnages
tiennent souvent des poses empruntées qui vont au-delà
de leurs déguisements; ils posent souvent des gestes dont la
pertinence suit on ne sait quel fil. Leurs propres regards sont
des fois masqués, dautres fois sollicités par ailleurs. Toutes
ces situations plantées sur des arrières-plans confèrent une
enveloppe intrigante à la scène.
Marie-Eve Dompierre caractérise ainsi ces oeuvres récentes :
« Bien quayant lapparence dimages anciennes, il sagit plutôt
de portraits modernes imprégnés de lessence habitant le ferrotype.
Chacune des images comporte un personnage mis
en scène dans un univers imaginaire qui lui est propre. Elles
sont la résultante dun transfert onirique entre le présent et
le passé, là où des contemporains ont été déplacés dans un
monde chimérique et trouble du passé. »
Après avoir terminé des études en photographie au Cégep de
Matane en 2002, Marie-Eve Dompierre sassocie à dautres
diplômés du collège et fonde lannée suivante le Groupe
dintervention photo-vidéo. Le GIPV réalisera 40 ans de développement,
la péninsule en réflexion, projet qui donnera lieu à
de nombreuses expositions. Elle reçoit en 2005 une bourse
du Fonds du Bas-Saint-Laurent pour les arts et les lettres pour
la réalisation de (trans.fer). Elle vit et travaille à Montréal.
Le vernissage aura lieu le vendredi 22 juin à 17 h en présence
de lartiste. Lexposition se poursuit jusquau 29 juillet 2007. La
galerie ESPACE F est ouverte tous les jours de 13 h à 17 h.