Timbral (2007) est une installation composée d’une sculpture et d’une projection vidéo. Elle fait référence à un épisode de la vie du compositeur de musique contemporaine Giacinto Scelsi (1905-1988) qui, lors d’un internement en institut psychiatrique, aurait fait la découverte du timbre sonore. Cette œuvre est réalisée à la suite d’une résidence de recherche in situ à Venise et a été présentée à la 10e Biennale d’architecture de cette même ville.
Charles Stankievech est un artiste dont les recherches explorent la notion de « travail de terrain » au sein des paysages, des complexes militaires et industriels, tout en considérant l’histoire de la technologie. Ses œuvres installatives mettent souvent en scène des projections vidéos, des éléments sonores et des constructions architecturales. Il a par ailleurs, une pratique commissariale qu’il qualifie « d’idiosyncrasiques et obsessionnels » et qui comprend les projets Magnetic Norths et CounterIntelligence. Ces derniers ont joui d’une grande reconnaissance critique et se sont inscrits dans le palmarès des meilleures expositions canadiennes en 2010 et en 2014.
Biographie —
L’artiste (1978-) vit et travaille à Toronto (Canada). Son corpus d’œuvres diversifié est montré à l’échelle internationale : Louisiana Museum of Modern Art, Copenhague; Palais de Tokyo, Paris; Haus der Kulturen der Welt, Berlin; Thyssen-Bornemisza Art Contemporary, Vienne; MASS MoCA, North Adams; Musée d’art contemporain de Montréal et le Centre canadien d’architecture, Montréal. De 2010 à 2011, et encore, de 2014 à 2015, il est embauché à titre d’entrepreneur privé pour le ministère de la Défense nationale canadienne où il a mène des recherches indépendantes portant sur les opérations de renseignement sous la rubrique « Programme d’arts des Forces de l’armée canadienne ». Ses conférences lors de la Documenta (13) et la 8e Biennale de Berlin sont autant performatives que pédagogiques et ses écrits sont, entre autres, publiés par Sternberg, eflux Journal, MIT et Princeton Architectural Press.
Timbral (2007) est une installation composée d’une sculpture et d’une projection vidéo. Elle fait référence à un épisode de la vie du compositeur de musique contemporaine Giacinto Scelsi (1905-1988) qui, lors d’un internement en institut psychiatrique, aurait fait la découverte du timbre sonore. Cette œuvre est réalisée à la suite d’une résidence de recherche in situ à Venise et a été présentée à la 10e Biennale d’architecture de cette même ville.
Charles Stankievech est un artiste dont les recherches explorent la notion de « travail de terrain » au sein des paysages, des complexes militaires et industriels, tout en considérant l’histoire de la technologie. Ses œuvres installatives mettent souvent en scène des projections vidéos, des éléments sonores et des constructions architecturales. Il a par ailleurs, une pratique commissariale qu’il qualifie « d’idiosyncrasiques et obsessionnels » et qui comprend les projets Magnetic Norths et CounterIntelligence. Ces derniers ont joui d’une grande reconnaissance critique et se sont inscrits dans le palmarès des meilleures expositions canadiennes en 2010 et en 2014.
Biographie —
L’artiste (1978-) vit et travaille à Toronto (Canada). Son corpus d’œuvres diversifié est montré à l’échelle internationale : Louisiana Museum of Modern Art, Copenhague; Palais de Tokyo, Paris; Haus der Kulturen der Welt, Berlin; Thyssen-Bornemisza Art Contemporary, Vienne; MASS MoCA, North Adams; Musée d’art contemporain de Montréal et le Centre canadien d’architecture, Montréal. De 2010 à 2011, et encore, de 2014 à 2015, il est embauché à titre d’entrepreneur privé pour le ministère de la Défense nationale canadienne où il a mène des recherches indépendantes portant sur les opérations de renseignement sous la rubrique « Programme d’arts des Forces de l’armée canadienne ». Ses conférences lors de la Documenta (13) et la 8e Biennale de Berlin sont autant performatives que pédagogiques et ses écrits sont, entre autres, publiés par Sternberg, eflux Journal, MIT et Princeton Architectural Press.