jeudi 5 mai à 20h
Il est assis à la vitrine droite de la GNO. Il tape et tape à la dactylo, il rédige un texte qui ne sera pas lu. Le son est projeté sur le trottoir de la rue Elgin.
vendredi 6 mai à 20h
Il est assis à la vitrine gauche de la GNO. Il joue et joue du piano miniature, il improvise une mélodie sans arrangements musicaux. Le son est projeté sur le trottoir de la rue Elgin.
samedi 7 mai à 20h
Il se promène de long en large dans l’espace de la galerie. Il va nulle part. Le son de ses pas est projeté sur le trottoir de la rue Elgin.
dimanche 8 mai à 13h
La salle d’exposition est complètement vide, seul le son des performances réverbère sur les murs. Le collage sonore des trois soirées précédant l’ouverture habite entièrement la galerie.
Sans référence visuelle, le visiteur est laissé à ses propres ressources.
Avec son projet Three Ghosts Daniel Olson poursuit son investigation sur les fantômes, une recherche qu’il chérit depuis de nombreuses années. Olson ne croit pas au surnaturel, il s’amuse plutôt à tenter de capter l’insaisissable.
Daniel Olson vit et œuvre à Montréal. Ses œuvres ont été présentées de Vancouver à Halifax ainsi qu’en Europe.
jeudi 5 mai à 20h
Il est assis à la vitrine droite de la GNO. Il tape et tape à la dactylo, il rédige un texte qui ne sera pas lu. Le son est projeté sur le trottoir de la rue Elgin.
vendredi 6 mai à 20h
Il est assis à la vitrine gauche de la GNO. Il joue et joue du piano miniature, il improvise une mélodie sans arrangements musicaux. Le son est projeté sur le trottoir de la rue Elgin.
samedi 7 mai à 20h
Il se promène de long en large dans l’espace de la galerie. Il va nulle part. Le son de ses pas est projeté sur le trottoir de la rue Elgin.
dimanche 8 mai à 13h
La salle d’exposition est complètement vide, seul le son des performances réverbère sur les murs. Le collage sonore des trois soirées précédant l’ouverture habite entièrement la galerie.
Sans référence visuelle, le visiteur est laissé à ses propres ressources.
Avec son projet Three Ghosts Daniel Olson poursuit son investigation sur les fantômes, une recherche qu’il chérit depuis de nombreuses années. Olson ne croit pas au surnaturel, il s’amuse plutôt à tenter de capter l’insaisissable.
Daniel Olson vit et œuvre à Montréal. Ses œuvres ont été présentées de Vancouver à Halifax ainsi qu’en Europe.