Dans l’exposition The Present Future is Written In The Past, Diyan Achjadi s’approprie les imageries de toutes cultures et toutes origines pour révéler à quel point chaque culture se nourrit des autres par imitation, ingurgitation, transformation, recyclage permanent.
L’artiste déploie dans ses tableaux un mash-up captivant et coloré : imageries de la Renaissance, textiles indonésiens, motifs de papiers peints ou de vaissellerie, figures de folklore international, gravures, livres d’enfants ou encore bandes dessinées. Les beaux-arts se mêlent aux arts décoratifs, le noble au populaire, l’antique à l’exotique. De ce chaos surgit un bestiaire fabuleux, improbable et fascinant, peuplé de créatures hybrides qui apparaissent déconnectées d’origines précises, dans des espaces incertains. Une mythologie très contemporaine.
Tout au long de l’histoire (échanges, colonisations, conquêtes, assimilations…), c’est cette dissémination des arts, cette pollinisation des imaginaires et des représentations qui composent nos univers mentaux, individuels aussi bien que collectifs; nos perceptions du quotidien, des gens, des idées.
Achjadi redonne vie aux images et aux artefacts en se les appropriant crânement au fil d’un long et minutieux travail de reproduction. Ses tableaux exubérants explorent ce qui fonde nos imaginaires, les liens artistiques et culturels qui nous relient tous.
Artiste d’origine indonésienne, diplômée de Concordia et de Cooper Union (NYC), Diyan Achjadi vit et travaille à Vancouver. Depuis Sugar Bombs – sa première exposition présentée au MAI en 2009 sous le commissariat de Zoë Chan –, l’artiste vancouvéroise expose son travail à l’échelle internationale.
Dans l’exposition The Present Future is Written In The Past, Diyan Achjadi s’approprie les imageries de toutes cultures et toutes origines pour révéler à quel point chaque culture se nourrit des autres par imitation, ingurgitation, transformation, recyclage permanent.
L’artiste déploie dans ses tableaux un mash-up captivant et coloré : imageries de la Renaissance, textiles indonésiens, motifs de papiers peints ou de vaissellerie, figures de folklore international, gravures, livres d’enfants ou encore bandes dessinées. Les beaux-arts se mêlent aux arts décoratifs, le noble au populaire, l’antique à l’exotique. De ce chaos surgit un bestiaire fabuleux, improbable et fascinant, peuplé de créatures hybrides qui apparaissent déconnectées d’origines précises, dans des espaces incertains. Une mythologie très contemporaine.
Tout au long de l’histoire (échanges, colonisations, conquêtes, assimilations…), c’est cette dissémination des arts, cette pollinisation des imaginaires et des représentations qui composent nos univers mentaux, individuels aussi bien que collectifs; nos perceptions du quotidien, des gens, des idées.
Achjadi redonne vie aux images et aux artefacts en se les appropriant crânement au fil d’un long et minutieux travail de reproduction. Ses tableaux exubérants explorent ce qui fonde nos imaginaires, les liens artistiques et culturels qui nous relient tous.
Artiste d’origine indonésienne, diplômée de Concordia et de Cooper Union (NYC), Diyan Achjadi vit et travaille à Vancouver. Depuis Sugar Bombs – sa première exposition présentée au MAI en 2009 sous le commissariat de Zoë Chan –, l’artiste vancouvéroise expose son travail à l’échelle internationale.