Comment éviter l’uniformisation des pratiques artistiques de notre milieu?
Participants : Fortner Anderson, Éric Le Coguiec, Martine Viale
Médiatrice : Ève Dorais
Il s’agit d’une discussion improvisée entre trois intervenants, critiques face aux conventions institutionnelles et artistiques. L’on se questionnera sur la possibilité d’échapper au « formatage » qui semble s’étendre toujours davantage dans le monde de l’art. Cette uniformisation des pratiques serait-elle attribuable à la professionnalisation des artistes, aux formations universitaires ou au système d’attribution de bourses et de subventions gouvernementales basé sur le principe de l’acceptation par les pairs? Dans ce contexte, l’expression de la révolte est-elle possible? Peut-on encore s’attendre à ce que les artistes développent des pratiques vraiment singulières, tiennent délibérément des propos incongrus, nous choquent, nous déstabilisent et nous surprennent? Pour y arriver, vaut-il mieux qu’ils refusent une part du parcours habituel? Si oui, quelles en seraient les conséquences?
La conversation sera nourrie, entre autre, par le vécu de certains invités autodidactes ayant connus divers contextes de diffusion, parfois en marge du milieu de l’art contemporain.
Comment éviter l’uniformisation des pratiques artistiques de notre milieu?
Participants : Fortner Anderson, Éric Le Coguiec, Martine Viale
Médiatrice : Ève Dorais
Il s’agit d’une discussion improvisée entre trois intervenants, critiques face aux conventions institutionnelles et artistiques. L’on se questionnera sur la possibilité d’échapper au « formatage » qui semble s’étendre toujours davantage dans le monde de l’art. Cette uniformisation des pratiques serait-elle attribuable à la professionnalisation des artistes, aux formations universitaires ou au système d’attribution de bourses et de subventions gouvernementales basé sur le principe de l’acceptation par les pairs? Dans ce contexte, l’expression de la révolte est-elle possible? Peut-on encore s’attendre à ce que les artistes développent des pratiques vraiment singulières, tiennent délibérément des propos incongrus, nous choquent, nous déstabilisent et nous surprennent? Pour y arriver, vaut-il mieux qu’ils refusent une part du parcours habituel? Si oui, quelles en seraient les conséquences?
La conversation sera nourrie, entre autre, par le vécu de certains invités autodidactes ayant connus divers contextes de diffusion, parfois en marge du milieu de l’art contemporain.
Montréal (Québec) H3B 1A2