Du 3 au 17 février, la Maison du développement durable accueillera l’exposition Sous la peau de la ville de Linda-Marlena, qui explore l’architecture temporaire des chantiers et offre une réflexion sur la renaissance perpétuelle de la ville.
Les citadins ne perçoivent généralement que le vernis des villes, les façades achevées et les éléments décoratifs des édifices. Les zones de construction et les chantiers qui parsèment leur route quotidienne sont considérés comme des sources de désagrément ou, dans le meilleur des cas, comme d’interminables travaux sans intérêt.
En réalité, le bâtiment n’existe aux yeux du citoyen que lorsqu’il est fini, comme si les souvenirs et les images de ce qui existait auparavant avaient disparu. Pour le passant, il s’agit d’un rendez-vous manqué. Linda-Marlena cherche à percer la surface des villes afin de découvrir ce qui se trouve sous la peau de notre environnement urbain.
Son travail porte sur les réalités qui se cachent derrière le vernis des grandes métropoles. Grâce à des photographies grand format, l’artiste cherche à dévoiler les fondations des villes, à exposer la beauté intrinsèque des sites de construction et à immortaliser un instant avant qu’il ne disparaisse à jamais.
Les enjeux d’urbanisme et d’aménagement du territoire prennent de plus en plus de place dans l’imaginaire collectif. Les anciennes façons de faire chevauchent les nouvelles et tel un organisme vivant, la ville doit se réinventer constamment pour faire face aux changements. Durant ces moments de transition, une désorganisation éphémère précède les nouvelles structures. Linda-Marlena présente son regard sur l’ossature d’une ville en constante évolution.
Vernissage
Le vernissage se tiendra à 12 h 15, le 3 février prochain, dans le cadre d’une table ronde intitulée « Le potentiel insoupçonné des chantiers urbains », organisée en collaboration avec le Conseil du bâtiment durable du Canada, section Québec (CBDCa-Qc), et l’Association du design urbain du Québec (ADUQ).
Durée de l’événement : 1 h 15. Contributions volontaires. Pour réserver : www.lamdd.org/rsvp
À propos de Linda-Marlena
Titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts de l’université Concordia et de l’université de Colombie-Britannique, Linda-Marlena Bucholtz Ross a récemment obtenu une bourse de recherche et création du Conseil des arts et des lettres du Québec. Elle a également reçu une mention honorable au Women In Photography International Juried Competition en 2008. Son riche travail multidisciplinaire composé de photographies, d’installations vidéo, de peintures et de sculptures est rassemblé dans des collections publiques et privées. Récemment, ses photographies ont également été présentées dans le journal Prefix Photo. Née en Colombie-Britannique, elle habite désormais Montréal.
Merci!
La Maison du développement durable tient à remercier Copticom, le journal Métro, Novae, ainsi qu’Alcoa, son partenaire principal à la programmation. Les émissions de gaz à effet de serre liées au transport des participants de la programmation 2015 sont compensées grâce à un partenariat avec Planetair.
Les citadins ne perçoivent généralement que le vernis des villes, les façades achevées et les éléments décoratifs des édifices. Les zones de construction et les chantiers qui parsèment leur route quotidienne sont considérés comme des sources de désagrément ou, dans le meilleur des cas, comme d’interminables travaux sans intérêt.
En réalité, le bâtiment n’existe aux yeux du citoyen que lorsqu’il est fini, comme si les souvenirs et les images de ce qui existait auparavant avaient disparu. Pour le passant, il s’agit d’un rendez-vous manqué. Linda-Marlena cherche à percer la surface des villes afin de découvrir ce qui se trouve sous la peau de notre environnement urbain.
Son travail porte sur les réalités qui se cachent derrière le vernis des grandes métropoles. Grâce à des photographies grand format, l’artiste cherche à dévoiler les fondations des villes, à exposer la beauté intrinsèque des sites de construction et à immortaliser un instant avant qu’il ne disparaisse à jamais.
Les enjeux d’urbanisme et d’aménagement du territoire prennent de plus en plus de place dans l’imaginaire collectif. Les anciennes façons de faire chevauchent les nouvelles et tel un organisme vivant, la ville doit se réinventer constamment pour faire face aux changements. Durant ces moments de transition, une désorganisation éphémère précède les nouvelles structures. Linda-Marlena présente son regard sur l’ossature d’une ville en constante évolution.
Vernissage
Le vernissage se tiendra à 12 h 15, le 3 février prochain, dans le cadre d’une table ronde intitulée « Le potentiel insoupçonné des chantiers urbains », organisée en collaboration avec le Conseil du bâtiment durable du Canada, section Québec (CBDCa-Qc), et l’Association du design urbain du Québec (ADUQ).
Durée de l’événement : 1 h 15. Contributions volontaires. Pour réserver : www.lamdd.org/rsvp
À propos de Linda-Marlena
Titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts de l’université Concordia et de l’université de Colombie-Britannique, Linda-Marlena Bucholtz Ross a récemment obtenu une bourse de recherche et création du Conseil des arts et des lettres du Québec. Elle a également reçu une mention honorable au Women In Photography International Juried Competition en 2008. Son riche travail multidisciplinaire composé de photographies, d’installations vidéo, de peintures et de sculptures est rassemblé dans des collections publiques et privées. Récemment, ses photographies ont également été présentées dans le journal Prefix Photo. Née en Colombie-Britannique, elle habite désormais Montréal.
Merci!
La Maison du développement durable tient à remercier Copticom, le journal Métro, Novae, ainsi qu’Alcoa, son partenaire principal à la programmation. Les émissions de gaz à effet de serre liées au transport des participants de la programmation 2015 sont compensées grâce à un partenariat avec Planetair.