Shanie Tomassini
«Les propriétés mathématiques d’un beigne»
Présentée dans la galerie I du 24 mars au 28 avril 2018
Shanie Tomassini aime bousculer l’intégrité de la matière, comme s’il fallait chaque fois éprouver la substance d’une forme pour s’assurer de sa nécessité, de sa cohérence et de sa réalité. Il y a dans sa pratique un délicat travail de sape qui cherche à ébranler les perceptions, à porter de subtiles atteintes au sens et à la forme des objets.
«Les propriétés mathématiques d’un beigne» poursuit cette réflexion sur la confusion des sens à travers la déroute de la forme.
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Karine Payette
«À perpétuité»
Présentée dans la galerie II du 24 mars au 28 avril 2018
Avec «À perpétuité», l’artiste montréalaise Karine Payette poursuit sa réflexion entamée il y a quelques années autour des rapports complexes que l’humain entretient avec les autres espèces. Elle conjugue ici deux thèmes phares de sa pratique multidisciplinaire, soit l’habitat et et le vivant. Si l’univers domestique, les espaces de vie et l’incessante quête de (ré)confort ont formé un aspect majeur de sa démarche, cette installation cinétique constitue le point d’amorce d’un nouveau corpus tourné cette fois vers les environnements artificiels dans lesquels évoluent les animaux, comme les jardins zoologiques, les cirques et les animaleries.
Shanie Tomassini
«Les propriétés mathématiques d’un beigne»
Présentée dans la galerie I du 24 mars au 28 avril 2018
Shanie Tomassini aime bousculer l’intégrité de la matière, comme s’il fallait chaque fois éprouver la substance d’une forme pour s’assurer de sa nécessité, de sa cohérence et de sa réalité. Il y a dans sa pratique un délicat travail de sape qui cherche à ébranler les perceptions, à porter de subtiles atteintes au sens et à la forme des objets.
«Les propriétés mathématiques d’un beigne» poursuit cette réflexion sur la confusion des sens à travers la déroute de la forme.
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Karine Payette
«À perpétuité»
Présentée dans la galerie II du 24 mars au 28 avril 2018
Avec «À perpétuité», l’artiste montréalaise Karine Payette poursuit sa réflexion entamée il y a quelques années autour des rapports complexes que l’humain entretient avec les autres espèces. Elle conjugue ici deux thèmes phares de sa pratique multidisciplinaire, soit l’habitat et et le vivant. Si l’univers domestique, les espaces de vie et l’incessante quête de (ré)confort ont formé un aspect majeur de sa démarche, cette installation cinétique constitue le point d’amorce d’un nouveau corpus tourné cette fois vers les environnements artificiels dans lesquels évoluent les animaux, comme les jardins zoologiques, les cirques et les animaleries.
Montréal (Québec) H3B 1A2