Projet d’installation[Séquence], en partenariat avec le Festival Regard sur le court métrage, présente du 9 au 13 mars dans l’Espace Michael Snow, le projet Épopée.
S’inscrivant dans la suite du documentaire Homme à louer (Rodrigue Jean), le projet Épopée se veut une mise en commun entre des praticiens du cinéma et des travailleurs du sexe. Depuis un an le Groupe de recherche sur l’idée et les méthodes du cinéma, le GRIM (C) en dialogue avec des travailleurs du sexe, présentent sur le Web des courts métrages et des documentaires. Respectivement nommé « Fictions » et « Trajets » ces propositions sont riches en commentaires critiques, notamment en ce qui concerne la question de l’exclusion sociale, et donne à voir du même souffle, des projets esthétiques bien ancrés dans une démarche artistique authentique.
Présentée pour la première fois en galerie, l’équipe d’Épopée offre une installation où trois moniteurs diffusent trois différents « Trajets » et où six « Fictions » sont projetées en boucle sur l’un des murs de la salle. Le concept des « Trajets » décrit un parcours dans une zone montréalaise géographiquement délimitée et considérée comme un lieu d’inclusion et d’exclusion. Il s’agit donc de déambulations créées par leurs occupants nous invitant à découvrir leur milieu de vie. Simultanément, les courts métrages s’inscrivant dans le volet « Fictions » donnent à voir des récits dont l’histoire est entièrement assumée par la plume de différents collaborateurs qui ont pour point commun d’être des travailleurs du sexe. De plus, les comédiens des courts métrages sont à la fois des professionnels et des non professionnels.
De cette confusion volontaire des genres, des statuts sociaux et des professions naît le projet Épopée qui propose, en diffusant sur le Web ou en galerie, le passage d’une vision individuelle à une expérience collective, et ce, à l’extérieur des salles de cinéma. Dans un esprit de partage et d’abolition des dynamiques de pouvoirs qui régissent nos comportements, relations et conception du monde, le projet Épopée devient une mise en commun d’intervenants de tout acabit où les stéréotypes ne sont nommés que pour être transcendés.
Épopée sur Facebook
Épopée me
Projet d’installation[Séquence], en partenariat avec le Festival Regard sur le court métrage, présente du 9 au 13 mars dans l’Espace Michael Snow, le projet Épopée.
S’inscrivant dans la suite du documentaire Homme à louer (Rodrigue Jean), le projet Épopée se veut une mise en commun entre des praticiens du cinéma et des travailleurs du sexe. Depuis un an le Groupe de recherche sur l’idée et les méthodes du cinéma, le GRIM (C) en dialogue avec des travailleurs du sexe, présentent sur le Web des courts métrages et des documentaires. Respectivement nommé « Fictions » et « Trajets » ces propositions sont riches en commentaires critiques, notamment en ce qui concerne la question de l’exclusion sociale, et donne à voir du même souffle, des projets esthétiques bien ancrés dans une démarche artistique authentique.
Présentée pour la première fois en galerie, l’équipe d’Épopée offre une installation où trois moniteurs diffusent trois différents « Trajets » et où six « Fictions » sont projetées en boucle sur l’un des murs de la salle. Le concept des « Trajets » décrit un parcours dans une zone montréalaise géographiquement délimitée et considérée comme un lieu d’inclusion et d’exclusion. Il s’agit donc de déambulations créées par leurs occupants nous invitant à découvrir leur milieu de vie. Simultanément, les courts métrages s’inscrivant dans le volet « Fictions » donnent à voir des récits dont l’histoire est entièrement assumée par la plume de différents collaborateurs qui ont pour point commun d’être des travailleurs du sexe. De plus, les comédiens des courts métrages sont à la fois des professionnels et des non professionnels.
De cette confusion volontaire des genres, des statuts sociaux et des professions naît le projet Épopée qui propose, en diffusant sur le Web ou en galerie, le passage d’une vision individuelle à une expérience collective, et ce, à l’extérieur des salles de cinéma. Dans un esprit de partage et d’abolition des dynamiques de pouvoirs qui régissent nos comportements, relations et conception du monde, le projet Épopée devient une mise en commun d’intervenants de tout acabit où les stéréotypes ne sont nommés que pour être transcendés.
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