Né à Rimouski en 1971, Sébastien Pesot a obtenu un baccalauréat en histoire de l’art à l’Université de Montréal en 1996 et une maîtrise de l’École des arts visuels de Montréal (UQAM) en 2000. Il vit en ce moment en Estrie et enseigne à l’Université de Sherbrooke. Après plus d’une décennie à battre le rythme dans divers groupes punk, Pesot a réalisé des vidéos expérimentales qui ont été présenté dans une vingtaine de pays, à l’intérieur d’une centaine de festivals et événements, tels la 3e, 4e et 5e Manifestation internationale vidéo et art électronique (Montréal), le FIFA (Montréal), Wro 01 et 03, biennale d’arts médiatiques (Pologne) ou Chroma (Mexique) où il a reçu le prix du public pour la meilleure vidéo. Depuis, il travaille principalement à des installations audio-vidéo tout en investissant le champ de la performance et de l’infographie. Son travail solo à entre autres été présenté à Slash-tmp à Berlin (2010), Au Lieu à Québec (2009) et à la Maison de la culture Côte-des-neiges à Montréal (2008). Pour plus d’information, visitez http://www.sebastienpesot.com.
Sa démarche artistique a beaucoup évolué dans les dernières années et ce projet infographique représente un jalon de cette transformation. Au début de sa pratique, ses préoccupations se concentraient alors autour de l’exploration de la plasticité de l’image vidéographique, des possibilités de déconstruction et de reconstruction de l’image vidéo, d’un intérêt marqué pour l’abstraction et le formalisme se rapprochant de la peinture, mais aussi d’un certain niveau d’engagement social. C’est à partir d’installations vidéo, mais aussi de certaines expérimentations musicales et performatives, que son travail tend aujourd’hui à sortir du cadre de l’écran. Deux nouvelles approches prirent alors forme à l’intérieur de sa démarche : un intérêt pour le performatif et l’autoreprésentation ainsi que le déploiement de son travail vidéo dans l’espace physique. Cet intérêt pour la matérialité et la corporéité ne pouvait que s’accompagner du souhait de faire sortir l’image de l’écran, de la réinjecter dans le monde matériel, d’activer certaines relations entre l’image virtuelle et l’environnement physique.
Né à Rimouski en 1971, Sébastien Pesot a obtenu un baccalauréat en histoire de l’art à l’Université de Montréal en 1996 et une maîtrise de l’École des arts visuels de Montréal (UQAM) en 2000. Il vit en ce moment en Estrie et enseigne à l’Université de Sherbrooke. Après plus d’une décennie à battre le rythme dans divers groupes punk, Pesot a réalisé des vidéos expérimentales qui ont été présenté dans une vingtaine de pays, à l’intérieur d’une centaine de festivals et événements, tels la 3e, 4e et 5e Manifestation internationale vidéo et art électronique (Montréal), le FIFA (Montréal), Wro 01 et 03, biennale d’arts médiatiques (Pologne) ou Chroma (Mexique) où il a reçu le prix du public pour la meilleure vidéo. Depuis, il travaille principalement à des installations audio-vidéo tout en investissant le champ de la performance et de l’infographie. Son travail solo à entre autres été présenté à Slash-tmp à Berlin (2010), Au Lieu à Québec (2009) et à la Maison de la culture Côte-des-neiges à Montréal (2008). Pour plus d’information, visitez http://www.sebastienpesot.com.
Sa démarche artistique a beaucoup évolué dans les dernières années et ce projet infographique représente un jalon de cette transformation. Au début de sa pratique, ses préoccupations se concentraient alors autour de l’exploration de la plasticité de l’image vidéographique, des possibilités de déconstruction et de reconstruction de l’image vidéo, d’un intérêt marqué pour l’abstraction et le formalisme se rapprochant de la peinture, mais aussi d’un certain niveau d’engagement social. C’est à partir d’installations vidéo, mais aussi de certaines expérimentations musicales et performatives, que son travail tend aujourd’hui à sortir du cadre de l’écran. Deux nouvelles approches prirent alors forme à l’intérieur de sa démarche : un intérêt pour le performatif et l’autoreprésentation ainsi que le déploiement de son travail vidéo dans l’espace physique. Cet intérêt pour la matérialité et la corporéité ne pouvait que s’accompagner du souhait de faire sortir l’image de l’écran, de la réinjecter dans le monde matériel, d’activer certaines relations entre l’image virtuelle et l’environnement physique.
Alma, QC, G8B 5W1