Scott Wallis
Galerie principale ⎜ Main gallery
Le travail de Scott Wallis se veut tant sur l’espace que dans l’espace, explorant et (re)négociant les frontières disciplinaires entre le sculptural et le pictural à travers l’abstraction. Sa pratique s’inscrit en continuité avec une tradition formaliste et moderniste, un héritage résolument assumé, voire revendiqué par l’artiste lui-même
Citant Hal Foster, il soutient ainsi que «le minimalisme apparaît comme un moment charnière où l’autonomie de l’art fut à la fois réalisée et achevée»(1); cette contradiction réside au cœur même de sa démarche.
(1) Traduction libre. The Return of the Real: The Avant-Garde at the End of the Century, Cambridge, Mass. : MIT Press, 1996, p. 54.
Scott Wallis est né à Toronto. Suite à l’obtention d’un diplôme en anglais et en philosophie à la Queen’s University, il oriente ses recherches vers les arts visuels au début des années quatre-vingt-dix. Depuis, il a notamment présenté ses œuvres à la Art Gallery of Hamilton, à la Agnes Etherington Art Centre ainsi qu’au McMaster Museum of Art. Il vit et travaille actuellement à Kingston (Ontario).
Oli Sorenson
Petite galerie ⎜Small gallery
Oli Sorenson définit son attitude comme celle d’un opérateur d’art : «je produis de l’art comme un DJ produit de la musique.» Il s’emploie à (re/dé)construire les structures narratives de l’image en mouvement et à déjouer les conventions du récit en privilégiant l’édition, la citation et l’échantillonnage comme actes créateurs.
Dans la série Antimap, il intervient de façon minimale dans l’agencement d’un motif évoquant Daniel Buren, d’une esthétique rappelant l’Op Art ou les Supports/Surfaces et d’une technique circulant dans les festivals de musique électronique (mapping), une accumulation d’opérations recontextualisées en galerie grâce à laquelle l’artiste affirme trouver sa signature.
Né à Los Angeles, Oli Sorenson est doctorant en Sciences humaines interdisciplinaires à l’Université Concordia. Il détient une maîtrise en média interactif de l’Université du Québec à Montréal (1998). Il a vécu à Londres (1999-2010) où il a pratiqué plusieurs formes d’expression : la peinture, l’installation interactive et le VJing.
Commissaire de performances vidéographiques à la Tate Britain, l’Institute of Contemporary Art et le British Film Institute, il a également été rédacteur d’une chronique mensuelle d’événements vidéo internationaux dans DJ Mag (2003-2008). Il compte à son actif moult expositions, performances vidéo et VJ en Europe et en Asie. Il vit et travaille à Montréal.
Scott Wallis
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Le travail de Scott Wallis se veut tant sur l’espace que dans l’espace, explorant et (re)négociant les frontières disciplinaires entre le sculptural et le pictural à travers l’abstraction. Sa pratique s’inscrit en continuité avec une tradition formaliste et moderniste, un héritage résolument assumé, voire revendiqué par l’artiste lui-même
Citant Hal Foster, il soutient ainsi que «le minimalisme apparaît comme un moment charnière où l’autonomie de l’art fut à la fois réalisée et achevée»(1); cette contradiction réside au cœur même de sa démarche.
(1) Traduction libre. The Return of the Real: The Avant-Garde at the End of the Century, Cambridge, Mass. : MIT Press, 1996, p. 54.
Scott Wallis est né à Toronto. Suite à l’obtention d’un diplôme en anglais et en philosophie à la Queen’s University, il oriente ses recherches vers les arts visuels au début des années quatre-vingt-dix. Depuis, il a notamment présenté ses œuvres à la Art Gallery of Hamilton, à la Agnes Etherington Art Centre ainsi qu’au McMaster Museum of Art. Il vit et travaille actuellement à Kingston (Ontario).
Oli Sorenson
Petite galerie ⎜Small gallery
Oli Sorenson définit son attitude comme celle d’un opérateur d’art : «je produis de l’art comme un DJ produit de la musique.» Il s’emploie à (re/dé)construire les structures narratives de l’image en mouvement et à déjouer les conventions du récit en privilégiant l’édition, la citation et l’échantillonnage comme actes créateurs.
Dans la série Antimap, il intervient de façon minimale dans l’agencement d’un motif évoquant Daniel Buren, d’une esthétique rappelant l’Op Art ou les Supports/Surfaces et d’une technique circulant dans les festivals de musique électronique (mapping), une accumulation d’opérations recontextualisées en galerie grâce à laquelle l’artiste affirme trouver sa signature.
Né à Los Angeles, Oli Sorenson est doctorant en Sciences humaines interdisciplinaires à l’Université Concordia. Il détient une maîtrise en média interactif de l’Université du Québec à Montréal (1998). Il a vécu à Londres (1999-2010) où il a pratiqué plusieurs formes d’expression : la peinture, l’installation interactive et le VJing.
Commissaire de performances vidéographiques à la Tate Britain, l’Institute of Contemporary Art et le British Film Institute, il a également été rédacteur d’une chronique mensuelle d’événements vidéo internationaux dans DJ Mag (2003-2008). Il compte à son actif moult expositions, performances vidéo et VJ en Europe et en Asie. Il vit et travaille à Montréal.
Montréal (Québec) H2T 3B2