L’exposition se présente sous forme de chroniques inspirées de mes séjours répétés au Saguenay près des Monts-Valin. Le choix des tableaux, réparti sur cinq ans entre 2008 et 2012, regroupe différents corpus où les éléments du ciel, de l’eau, de la neige et de l’animal s’inscrivent en tant que métaphores du silence et de la suspension du temps.
Un premier regroupement de peintures établit un lien entre la nature morte de chasse et le paysage. Ces représentations font référence à la fois aux natures mortes de chasse anciennes et au contexte environnemental de ce début de vingt et unième siècle.
Un autre ensemble de peintures illustre des ciels, fragments ou vues lointaines, avec effets de réflexion dans l’eau ou atmosphère de brume et capte des moments fugitifs où la lumière et le silence imprègnent l’espace.
Un troisième corpus d’oeuvres, dans lequel il est question d’espaces blancs, de solitude et d’intemporalité, prend sa source dans des paysages hivernaux dénudés, où la cabane à pêche devient motif poétique. Absence humaine dans un univers d’isolement où le temps se fige et nous ramène à l’intérieur de nous-même.
Native de Chicoutimi, Nycol Beaulieu a obtenu un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Concordia et une maîtrise en arts plastiques de l’Université du Québec à Montréal. Boursière du Québec, elle a présenté ses peintures et ses dessins dans une douzaine d’expositions individuelles et une centaine d’expositions collectives, au Québec, en Ontario, en Europe et aux États-Unis. Sélectionnée en 1986 au Symposium de la jeune peinture au Canada, à Baie-Saint-Paul, elle y retourne en tant qu’artiste invitée en 1999. Plusieurs articles lui ont été consacrés dans les journaux et les revues d’art. Ses oeuvres font partie d’importantes collections publiques et privées, dont celles du Musée national des beaux-arts du Québec, de Loto-Québec, d’Abitibi Consolidated et du Musée du Bas-Saint-Laurent.
L’exposition se présente sous forme de chroniques inspirées de mes séjours répétés au Saguenay près des Monts-Valin. Le choix des tableaux, réparti sur cinq ans entre 2008 et 2012, regroupe différents corpus où les éléments du ciel, de l’eau, de la neige et de l’animal s’inscrivent en tant que métaphores du silence et de la suspension du temps.
Un premier regroupement de peintures établit un lien entre la nature morte de chasse et le paysage. Ces représentations font référence à la fois aux natures mortes de chasse anciennes et au contexte environnemental de ce début de vingt et unième siècle.
Un autre ensemble de peintures illustre des ciels, fragments ou vues lointaines, avec effets de réflexion dans l’eau ou atmosphère de brume et capte des moments fugitifs où la lumière et le silence imprègnent l’espace.
Un troisième corpus d’oeuvres, dans lequel il est question d’espaces blancs, de solitude et d’intemporalité, prend sa source dans des paysages hivernaux dénudés, où la cabane à pêche devient motif poétique. Absence humaine dans un univers d’isolement où le temps se fige et nous ramène à l’intérieur de nous-même.
Native de Chicoutimi, Nycol Beaulieu a obtenu un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Concordia et une maîtrise en arts plastiques de l’Université du Québec à Montréal. Boursière du Québec, elle a présenté ses peintures et ses dessins dans une douzaine d’expositions individuelles et une centaine d’expositions collectives, au Québec, en Ontario, en Europe et aux États-Unis. Sélectionnée en 1986 au Symposium de la jeune peinture au Canada, à Baie-Saint-Paul, elle y retourne en tant qu’artiste invitée en 1999. Plusieurs articles lui ont été consacrés dans les journaux et les revues d’art. Ses oeuvres font partie d’importantes collections publiques et privées, dont celles du Musée national des beaux-arts du Québec, de Loto-Québec, d’Abitibi Consolidated et du Musée du Bas-Saint-Laurent.