Hugo Bergeron
Hugo Bergeron est né à Arthabaska, au Québec, en 1981. Bachelier en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal et de l’École supérieure des beaux-arts de Marseille, il a déjà plusieurs expositions à son actif. Artiste pluridisciplinaire, son médium principal est la peinture. Il pratique également l’estampe et le dessin.
En 2007, il est le colauréat universitaire du Prix Albert-Dumouchel, qui encourage la création étudiante en arts d’impression. L’année suivante, ARPRIM, Regroupement pour la promotion de l’art imprimé, présente son exposition d’estampes La fanfare des taches. À travers sa production picturale, l’artiste exprime l’interaction entre l’humain et le paysage. Il se définit lui-même comme un peintre paysagiste qui fait de la peinture chaotique mettant en lumière sa vision désordonnée du monde. En 2008, il participe notamment au symposium Pan! Peinture, qui offre une vitrine à la peinture québécoise actuelle, et au TIAF, le Toronto International Art Fair, spécialisé en art moderne et contemporain.
Son travail est marqué par une esthétique de la démesure. Par un foisonnement de couleurs et d’effets picturaux, l’artiste cherche à rendre sensible la surabondance imposée par la société. Ses paysages sont traités selon le principe de la stratification, laissant au spectateur la liberté de déambuler dans une multitude de détails. Son art déstabilise. Nourri de contrastes et de jeux de composition, il joue sur la limite entre le confort et l’inconfort.
Hugo Bergeron propose une esthétique riche et déroutante; ses œuvres présentent un chaos organisé.
Le concours
Les tableaux faits par des artistes de toutes origines et parmi les plus talentueux seront exposés tout au long de l’événement. Chaque participant réalisera aussi une création en atelier pendant les Jeux.
Les peintres laisseront voir des sujets et des styles diversifiés, des couleurs et des textures attirantes, surprenantes, émouvantes qui resteront gravées dans la mémoire du public venu admirer les œuvres et rendre hommage à ces jeunes artistes, à leur talent et à leur imagination.
Les critères d’appréciation porteront sur l’ensemble des prestations du peintre. La créativité, la cohérence de l’expression ainsi que la maîtrise technique de l’artiste feront l’objet d’une attention toute particulière.
En 2005, à Niamey, le Québécois Rafaël Sottolichio a reçu une mention spéciale du jury pour l’œuvre picturale qu’il présentait à ce concours.
La réglementation des Jeux de la Francophonie fixe le nombre maximum de concurrents au concours de peinture à 30 États et gouvernements inscrits.
Julie Picard
Julie Picard est née à Québec, en 1978. Titulaire d’un baccalauréat en arts plastiques de l’Université Laval, elle a également étudié la création textile à la Maison des métiers d’art de Québec. Elle élabore des sculptures modulaires et déployables fabriquées de matières recyclables. Ses créations éphémères s’inscrivent dans un concept de récupération. L’artiste a à son actif plusieurs expositions individuelles et collectives et a réalisé des résidences de production au Québec et à l’étranger.
En 2008, À grand déploiement est présentée à l’Œil de Poisson, centre de diffusion et de production en art actuel, et lui vaut le Prix Videre Relève des Prix d’excellence des arts et de la culture. L’installation constituée de modules est réalisée grâce à une technique de collage que l’artiste a perfectionnée au fil des années. Celle-ci s’inspire librement du textile pour transformer le papier, son matériau de prédilection. Très légères, mais monumentales, ses créations tridimensionnelles occupent l’espace et le transforment. Ludiques, elles font écho aux décorations de fête par leur mobilité et leur aspect graphique. Avec Mon journal intime, sa plus récente création, elle poursuit son exploration des volumes. L’immensité de la structure contraste avec le caractère aérien du matériau et ne manque pas de captiver le spectateur.
Julie Picard propose une réflexion sur l’idée de pérennité à l’heure où la surconsommation fait des journaux et des magazines des rebuts du quotidien. Elle s’approprie et réanime ces matières, les configurant selon ce que lui inspirent les lieux à habiter. Elle réalise également des scénographies et des sculptures sur neige.
Le concours
Le concours de sculpture, c’est l’originalité, la fantaisie, l’imagination des artistes de la Francophonie qui s’offrent à nous.
Les œuvres seront exposées et le public y aura accès durant toute la durée des Jeux. Chaque participant réalisera aussi une création en atelier pendant l’événement autour d’un thème imposé.
Les critères d’appréciation porteront sur l’ensemble des prestations de l’artiste. La créativité, la cohérence de l’expression ainsi que la maîtrise technique du sculpteur feront l’objet d’une attention toute particulière.
En 2005, à Niamey, le Québécois Marc Dulude a reçu la médaille d’argent alors qu’en 2001, à Hull, la Québécoise Annie Thibault avait remporté la médaille d’or à ce concours.
La réglementation des Jeux de la Francophonie fixe le nombre maximum de concurrents au concours de sculpture à 30 États et gouvernements inscrits.
Hugo Bergeron
Hugo Bergeron est né à Arthabaska, au Québec, en 1981. Bachelier en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal et de l’École supérieure des beaux-arts de Marseille, il a déjà plusieurs expositions à son actif. Artiste pluridisciplinaire, son médium principal est la peinture. Il pratique également l’estampe et le dessin.
En 2007, il est le colauréat universitaire du Prix Albert-Dumouchel, qui encourage la création étudiante en arts d’impression. L’année suivante, ARPRIM, Regroupement pour la promotion de l’art imprimé, présente son exposition d’estampes La fanfare des taches. À travers sa production picturale, l’artiste exprime l’interaction entre l’humain et le paysage. Il se définit lui-même comme un peintre paysagiste qui fait de la peinture chaotique mettant en lumière sa vision désordonnée du monde. En 2008, il participe notamment au symposium Pan! Peinture, qui offre une vitrine à la peinture québécoise actuelle, et au TIAF, le Toronto International Art Fair, spécialisé en art moderne et contemporain.
Son travail est marqué par une esthétique de la démesure. Par un foisonnement de couleurs et d’effets picturaux, l’artiste cherche à rendre sensible la surabondance imposée par la société. Ses paysages sont traités selon le principe de la stratification, laissant au spectateur la liberté de déambuler dans une multitude de détails. Son art déstabilise. Nourri de contrastes et de jeux de composition, il joue sur la limite entre le confort et l’inconfort.
Hugo Bergeron propose une esthétique riche et déroutante; ses œuvres présentent un chaos organisé.
Le concours
Les tableaux faits par des artistes de toutes origines et parmi les plus talentueux seront exposés tout au long de l’événement. Chaque participant réalisera aussi une création en atelier pendant les Jeux.
Les peintres laisseront voir des sujets et des styles diversifiés, des couleurs et des textures attirantes, surprenantes, émouvantes qui resteront gravées dans la mémoire du public venu admirer les œuvres et rendre hommage à ces jeunes artistes, à leur talent et à leur imagination.
Les critères d’appréciation porteront sur l’ensemble des prestations du peintre. La créativité, la cohérence de l’expression ainsi que la maîtrise technique de l’artiste feront l’objet d’une attention toute particulière.
En 2005, à Niamey, le Québécois Rafaël Sottolichio a reçu une mention spéciale du jury pour l’œuvre picturale qu’il présentait à ce concours.
La réglementation des Jeux de la Francophonie fixe le nombre maximum de concurrents au concours de peinture à 30 États et gouvernements inscrits.
Julie Picard
Julie Picard est née à Québec, en 1978. Titulaire d’un baccalauréat en arts plastiques de l’Université Laval, elle a également étudié la création textile à la Maison des métiers d’art de Québec. Elle élabore des sculptures modulaires et déployables fabriquées de matières recyclables. Ses créations éphémères s’inscrivent dans un concept de récupération. L’artiste a à son actif plusieurs expositions individuelles et collectives et a réalisé des résidences de production au Québec et à l’étranger.
En 2008, À grand déploiement est présentée à l’Œil de Poisson, centre de diffusion et de production en art actuel, et lui vaut le Prix Videre Relève des Prix d’excellence des arts et de la culture. L’installation constituée de modules est réalisée grâce à une technique de collage que l’artiste a perfectionnée au fil des années. Celle-ci s’inspire librement du textile pour transformer le papier, son matériau de prédilection. Très légères, mais monumentales, ses créations tridimensionnelles occupent l’espace et le transforment. Ludiques, elles font écho aux décorations de fête par leur mobilité et leur aspect graphique. Avec Mon journal intime, sa plus récente création, elle poursuit son exploration des volumes. L’immensité de la structure contraste avec le caractère aérien du matériau et ne manque pas de captiver le spectateur.
Julie Picard propose une réflexion sur l’idée de pérennité à l’heure où la surconsommation fait des journaux et des magazines des rebuts du quotidien. Elle s’approprie et réanime ces matières, les configurant selon ce que lui inspirent les lieux à habiter. Elle réalise également des scénographies et des sculptures sur neige.
Le concours
Le concours de sculpture, c’est l’originalité, la fantaisie, l’imagination des artistes de la Francophonie qui s’offrent à nous.
Les œuvres seront exposées et le public y aura accès durant toute la durée des Jeux. Chaque participant réalisera aussi une création en atelier pendant l’événement autour d’un thème imposé.
Les critères d’appréciation porteront sur l’ensemble des prestations de l’artiste. La créativité, la cohérence de l’expression ainsi que la maîtrise technique du sculpteur feront l’objet d’une attention toute particulière.
En 2005, à Niamey, le Québécois Marc Dulude a reçu la médaille d’argent alors qu’en 2001, à Hull, la Québécoise Annie Thibault avait remporté la médaille d’or à ce concours.
La réglementation des Jeux de la Francophonie fixe le nombre maximum de concurrents au concours de sculpture à 30 États et gouvernements inscrits.