Éric Daudelin conviait le public à une sorte de visite d’atelier, à une investigation de sa mémoire, pour mieux comprendre les gestes de la création à travers les techniques qu’il utilise. Aujourd’hui, c’est encore la mémoire qui se ranime, sous une autre forme. C’est une œuvre faite en Grèce au printemps 1973, de laine et de poils bruts, qui a servi de ferment à la présente exposition où le peintre propose des œuvres où le carré domine.
Entrée libre
Entrée libre