Maurice Trépanier est collagiste. Le seul matériel qu’il utilise pour réaliser ses tableaux est le papier-magazine. C’est dans les revues à grand tirage (L’Actualité, Paris-Match, Life, etc.) qu’il trouve tous les éléments iconographiques, ready-made, personnages, paysages, événements, et toute la gamme des couleurs qui composent ses scènes. Sa palette de peintre est un classeur et ses pinceaux, des ciseaux. Ses tableaux sont des compositions de papiers magazine collés avec de l’acrylique sur des surfaces de masonite.
Les images des magazines sont généralement rectangulaires, fragmentaires et rognées par du texte. Pour exprimer cet aspect du papier magazine, Maurice Trépanier a développé un style mettant en évidence les limites physiques des images, les contours des pages, produisant ainsi une sorte de grille en transparence qui révèle la position des images les unes par rapport aux autres.
Les tableaux présentés ici peuvent se regrouper sous deux thèmes: le premier, des scènes animalières ayant pour sujet des animaux pris dans des situations inquiétantes et, le second, des scènes inspirées du monde de l’art : portraits d’artistes (Riopelle, Pellan, Larivée, Lemoyne, Kittie Bruneau, Jana Sterbak) et de galeristes, ateliers, galeries d’art.
Né en 1943, Maurice Trépanier est autodidacte en matière d’art, bien qu’il ait étudié à l’École des beaux- arts de Montréal en 1965-1966. Il a surtout exposé ses tableaux dans des endroits publics (cafés, restaurants, bars), ainsi qu’à la Galerie Aubes et à la Galerie d’art d’Outremont. Il a participé à plusieurs expositions de groupe, notamment à la Biennale internationale du collage contemporain à Paris, aux Concours Duchamp-Villon de la galerie d’art du Cégep Édouard-Montpetit à Longueuil, à la Biennale du dessin de l’estampe et du papier d’Alma et à la galerie Les Impatients à Montréal.
Maurice Trépanier est collagiste. Le seul matériel qu’il utilise pour réaliser ses tableaux est le papier-magazine. C’est dans les revues à grand tirage (L’Actualité, Paris-Match, Life, etc.) qu’il trouve tous les éléments iconographiques, ready-made, personnages, paysages, événements, et toute la gamme des couleurs qui composent ses scènes. Sa palette de peintre est un classeur et ses pinceaux, des ciseaux. Ses tableaux sont des compositions de papiers magazine collés avec de l’acrylique sur des surfaces de masonite.
Les images des magazines sont généralement rectangulaires, fragmentaires et rognées par du texte. Pour exprimer cet aspect du papier magazine, Maurice Trépanier a développé un style mettant en évidence les limites physiques des images, les contours des pages, produisant ainsi une sorte de grille en transparence qui révèle la position des images les unes par rapport aux autres.
Les tableaux présentés ici peuvent se regrouper sous deux thèmes: le premier, des scènes animalières ayant pour sujet des animaux pris dans des situations inquiétantes et, le second, des scènes inspirées du monde de l’art : portraits d’artistes (Riopelle, Pellan, Larivée, Lemoyne, Kittie Bruneau, Jana Sterbak) et de galeristes, ateliers, galeries d’art.
Né en 1943, Maurice Trépanier est autodidacte en matière d’art, bien qu’il ait étudié à l’École des beaux- arts de Montréal en 1965-1966. Il a surtout exposé ses tableaux dans des endroits publics (cafés, restaurants, bars), ainsi qu’à la Galerie Aubes et à la Galerie d’art d’Outremont. Il a participé à plusieurs expositions de groupe, notamment à la Biennale internationale du collage contemporain à Paris, aux Concours Duchamp-Villon de la galerie d’art du Cégep Édouard-Montpetit à Longueuil, à la Biennale du dessin de l’estampe et du papier d’Alma et à la galerie Les Impatients à Montréal.