Territoire, images et zones grises
Territoire, images, perception du réel et zones grises sont des idées qui seront explorées dans les ateliers d’Est-Nord-Est ce printemps.
Est-Nord-Est débute sa programmation 2016 en accueillant les artistes Gwenaël Bélanger (Montréal, Qc), Milena Edelstein (São Paulo, Brésil), Audrée Demers Roberge (Québec, Qc) Sanaz Shorabi (Chicago, États-Unis, Iran) et la commissaire et auteure Emmanuelle Choquette (Laval, Qc)
Le public est cordialement invité à venir rencontrer les artistes qui présenteront leur démarche et leur projet de résidence, le jeudi 12 mai 2016 à compter de 17 h dans les locaux du centre Est-Nord-Est à Saint-Jean-Port-Joli situé au 335, avenue de Gaspé Ouest.
Un petit repas amical suivra les présentations.
Bienvenue à tous!
Gwenaël Bélanger vit et travaille à Montréal où il est professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal. Il a été récipiendaire du prix Pierre-Ayot en 2009. Sa démarche se caractérise avant tout par une attitude « de bricoleur » qui consiste à jouer avec les limites de la perception que nous avons du réel et de ses zones grises, à travers des procédés graphiques et photographiques. Il exploite l’interaction entre ce que nous voyons, ce que nous imaginons, et ce dont nous nous souvenons en utilisant toute sorte de stratégies visuelles en vue de créer des glissements de perception et de mettre en place des machinations du regard.
Demers-Roberge vit et travaille à Québec. Elle a étudié Profil art environnemental à l’Université de Laponie à Rovaniemi en Finlande et a obtenu un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université Laval. Elle a de plus complété un microprogramme en agriculture biologique.
Ses représentations sont celles du territoire et de ses lieux, elle aborde leur aspect géologique, végétal, géographique, biologique, culturels et, par le fait même, le concept de paysage. Guidée par les mécanismes des écosystèmes sa recherche définit l’objet d’art, l’artiste et celui qui le regarde comme des constituants de ceux-ci.
Milena Edelstein détient un diplôme de l’Université des Beaux-Arts de São Paulo au Brésil. Elle a participé à plusieurs expositions et développé des projets éducatifs et artistiques pour des musées et des centres culturels. Ses propositions artistiques se caractérisent par l’exploration de l’expérience, du risque et de l’erreur en tant qu’outils dans le processus artistique. Son travail se traduit par la relation entre la réalité et la non-réalité produite par la vidéo et la photographie afin de modifier et questionner l’utilisation de l’espace.
Ainsi, elle explore les possibilités créatrices qu’offre l’image dans son extension dans les médias contemporains.
De nationalité iranienne, Sanaz Sohrabi vit et travaille à Chicago comme artiste et enseignante. Oscillant entre ce que l’image peut être et son sens dans le monde, Sohrabi a recours à la création d’images, au mouvement du corps et à la réactualisation d’instances iconiques, ou historiquement manquantes, de la performance et de la danse postmoderne, afin de créer un lieu d’observation pour explorer la délimitation et la distribution physique et intangible de l’espace, du corps et de l’image.
Elle est titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts de l’Université de Téhéran et d’une maîtrise de l’Institut des Arts de Chicago où on lui a décerné la bourse d’études James Nelson Raymond Fellowship ainsi que le New Artist Society Merit Scholarship. Elle a reçu des bourses de plusieurs institutions dont le Vermont Studio Center, l’ACRE projects et le Ragdale Foundation. Parmi les lieux où son travail visuel ainsi que ses performances ont été présentés, on retrouve le Chicago Artist Coalition, l’Art Expo Chicago, le 6018 North Gallery, le Nightingale Micro Cinema, l’Eisentrager-Howard Gallery et le Delaware Center for the Contemporary Arts.
Emmanuelle Choquette est auteure et travailleuse culturelle. Elle est directrice générale d’Arprim, centre d’essai en art imprimé et siège sur le conseil d’administration du Regroupement des centres d’artistes autogérés du Québec. Elle poursuit également des études à la maîtrise en histoire de l’art, à l’Université du Québec à Montréal.
Ses travaux portent sur l’influence des conditions de production et de diffusion au sein des pratiques artistiques actuelles, dans un contexte de redéfinition de la relation du public et des artistes à l’égard de l’institution. Ses recherches s’ancrent dans la collaboration avec les artistes, notamment pour la publication de textes d’accompagnement d’exposition et d’articles ainsi qu’avec des projets de commissariat.
Territoire, images et zones grises
Territoire, images, perception du réel et zones grises sont des idées qui seront explorées dans les ateliers d’Est-Nord-Est ce printemps.
Est-Nord-Est débute sa programmation 2016 en accueillant les artistes Gwenaël Bélanger (Montréal, Qc), Milena Edelstein (São Paulo, Brésil), Audrée Demers Roberge (Québec, Qc) Sanaz Shorabi (Chicago, États-Unis, Iran) et la commissaire et auteure Emmanuelle Choquette (Laval, Qc)
Le public est cordialement invité à venir rencontrer les artistes qui présenteront leur démarche et leur projet de résidence, le jeudi 12 mai 2016 à compter de 17 h dans les locaux du centre Est-Nord-Est à Saint-Jean-Port-Joli situé au 335, avenue de Gaspé Ouest.
Un petit repas amical suivra les présentations.
Bienvenue à tous!
Gwenaël Bélanger vit et travaille à Montréal où il est professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal. Il a été récipiendaire du prix Pierre-Ayot en 2009. Sa démarche se caractérise avant tout par une attitude « de bricoleur » qui consiste à jouer avec les limites de la perception que nous avons du réel et de ses zones grises, à travers des procédés graphiques et photographiques. Il exploite l’interaction entre ce que nous voyons, ce que nous imaginons, et ce dont nous nous souvenons en utilisant toute sorte de stratégies visuelles en vue de créer des glissements de perception et de mettre en place des machinations du regard.
Demers-Roberge vit et travaille à Québec. Elle a étudié Profil art environnemental à l’Université de Laponie à Rovaniemi en Finlande et a obtenu un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université Laval. Elle a de plus complété un microprogramme en agriculture biologique.
Ses représentations sont celles du territoire et de ses lieux, elle aborde leur aspect géologique, végétal, géographique, biologique, culturels et, par le fait même, le concept de paysage. Guidée par les mécanismes des écosystèmes sa recherche définit l’objet d’art, l’artiste et celui qui le regarde comme des constituants de ceux-ci.
Milena Edelstein détient un diplôme de l’Université des Beaux-Arts de São Paulo au Brésil. Elle a participé à plusieurs expositions et développé des projets éducatifs et artistiques pour des musées et des centres culturels. Ses propositions artistiques se caractérisent par l’exploration de l’expérience, du risque et de l’erreur en tant qu’outils dans le processus artistique. Son travail se traduit par la relation entre la réalité et la non-réalité produite par la vidéo et la photographie afin de modifier et questionner l’utilisation de l’espace.
Ainsi, elle explore les possibilités créatrices qu’offre l’image dans son extension dans les médias contemporains.
De nationalité iranienne, Sanaz Sohrabi vit et travaille à Chicago comme artiste et enseignante. Oscillant entre ce que l’image peut être et son sens dans le monde, Sohrabi a recours à la création d’images, au mouvement du corps et à la réactualisation d’instances iconiques, ou historiquement manquantes, de la performance et de la danse postmoderne, afin de créer un lieu d’observation pour explorer la délimitation et la distribution physique et intangible de l’espace, du corps et de l’image.
Elle est titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts de l’Université de Téhéran et d’une maîtrise de l’Institut des Arts de Chicago où on lui a décerné la bourse d’études James Nelson Raymond Fellowship ainsi que le New Artist Society Merit Scholarship. Elle a reçu des bourses de plusieurs institutions dont le Vermont Studio Center, l’ACRE projects et le Ragdale Foundation. Parmi les lieux où son travail visuel ainsi que ses performances ont été présentés, on retrouve le Chicago Artist Coalition, l’Art Expo Chicago, le 6018 North Gallery, le Nightingale Micro Cinema, l’Eisentrager-Howard Gallery et le Delaware Center for the Contemporary Arts.
Emmanuelle Choquette est auteure et travailleuse culturelle. Elle est directrice générale d’Arprim, centre d’essai en art imprimé et siège sur le conseil d’administration du Regroupement des centres d’artistes autogérés du Québec. Elle poursuit également des études à la maîtrise en histoire de l’art, à l’Université du Québec à Montréal.
Ses travaux portent sur l’influence des conditions de production et de diffusion au sein des pratiques artistiques actuelles, dans un contexte de redéfinition de la relation du public et des artistes à l’égard de l’institution. Ses recherches s’ancrent dans la collaboration avec les artistes, notamment pour la publication de textes d’accompagnement d’exposition et d’articles ainsi qu’avec des projets de commissariat.
Saint-Jean-Port-Joli (Québec) G0R 3G0