Jonathan Plante poursuit ses recherches sur la perception visuelle, les jeux optiques et les différents états de l’image. Les images ruissellent jusqu’à l’œuvre. Les œuvres forment un fleuve. Suivant ce fleuve, le regard atteint l’océan de l’intime; le point aveugle du réel. Dans l’espace d’exposition des images lenticulaires sont activées par le mouvement du spectateur. Un cinéma spatial se déploie grâce aux changements de points de vue sur les œuvres.
Jonathan Plante poursuit ses recherches sur la perception visuelle, les jeux optiques et les différents états de l’image. Les images ruissellent jusqu’à l’œuvre. Les œuvres forment un fleuve. Suivant ce fleuve, le regard atteint l’océan de l’intime; le point aveugle du réel. Dans l’espace d’exposition des images lenticulaires sont activées par le mouvement du spectateur. Un cinéma spatial se déploie grâce aux changements de points de vue sur les œuvres.